Le 9 décembre 1984, Felix Tiouka, le président de la nouvelle Association des Amérindiens de Guyane française, délivre une « adresse au gouvernement et au peuple français », intitulée « Notre terre, nous l’aimons et nous y tenons ». Il y décrit la « situation de dominés » des Amérindiens de Guyane, qui sont les descendants des premiers habitants ayant vécu avant l’arrivée des Européens. Il revendique le « droit de prendre en charge [leur] propre développement économique, social et culturel ».
En savoir plus sur L'ABESTIT
Subscribe to get the latest posts sent to your email.
Laisser un commentaire