ClermontClermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).– « La suffocation systématique des établissements universitaires a pour but de rendre inévitable cette solution qui sort de nul part : l’augmentation des frais de scolarité. Et il ne s’agit pas de 10 ou 20 euros, mais de montants s’élevant à 1 000 ou 2 000 euros. C’est inacceptable ! » Face à un amphithéâtre rempli à ras bord, l’orateur qui mobilise la foule n’est pas un fervent représentant d’un mouvement étudiant, mais le président de l’université de Clermont-Auvergne (UCA), Mathias Bernard.
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