Accord de Paris : que les États-Unis en sortent ou y restent, qu’est ce que ça change ?
Fabrice P.
2 heures
Prenons un peu de recul. Que nous a appris l’année 2020? Que l’Organisation Mondiale de la Santé avait eu un rôle plus que trouble dans la gestion du Covid, Que les conseils scientifiques peuvent être perclus de conflits d’intérêts majeurs et prendre des décisions allant contre l’intérêt des populations, Que la science en 2020 peut dire tout et son contraire sans aucune preuve et changer d’avis du jour au lendemain sans prendre la peine d’apporter la moindre justification (Avril: les masques sont dangereux! Juillet: Les masques sont indispensables! Qu’est ce qui a changé entre temps? personne ne le sait!) Qu’on préfère écouter sur des questions médicales l’informaticien Bill Gates (qui par ailleurs n’a jamais été capable d’empêcher les virus de pourrir mon Windows), plutôt que des sommités médicales dans leur domaine comme les professeurs Raoult ou Perrone Que le consensus scientifique, ça consiste essentiellement à faire passer sur les plateaux télés les mêmes scientifiques aux financements douteux en accord avec le narratif dominant et à calomnier, insulter et diffamer tous les autres (quand bien même ces autres, dans le cas de la COVID ont des résultats concrets infiniment meilleurs que ceux des premiers) Avec toute cette expérience acquise en 2020, est-il aujourd’hui autorisé de questionner le narratif du réchauffement climatique et de se demander si derrière le réchauffement climatique, il y aurait peut-être un agenda différent qui n’a rien a voir avec l’écologie (comme l’agenda COVID n’a plus rien à voir avec aucune question médicale)?
C’est une question difficile, mais, même si on n’apporte pas de réponse à cette question, il y a toutefois un intérêt à se poser la question, non? Parce que si on réfléchit deux secondes à l’écologie, les réponses pertinentes qui viennent en tête sont toujours les mêmes: circuits courts agriculture biologique/permaculture/limitation autant que possible des OGMs et pesticides de synthèse réparer et recycler plutôt que jeter et racheter etc. Or, que nous proposent les mondialistes?
Agriculture: Plus d’OGM, les fermes de milles vaches, plus de pesticides, rien à foutre des abeilles, et importer des oignons de Nouvelle-Zélande même si les oignons poussent très bien dans le champs en face de chez toi. Énergie: Remplacer des voitures polluantes par des voitures propres sur batteries…. sans jamais mentionner que le cycle de vie desdites batteries est tout aussi polluant que celui des voitures à essence. Qui plus est, plusieurs pays, comme l’Allemagne, ont fermé de nombreuses centrales électriques basées sur la combustion d’énergie fossile pour atteindre leurs objectifs écologiques fixés par l’accord de Paris… et se fournissent en électricité chez des pays voisins qui doivent par conséquent consommer plus de charbon ou d’uranium. Quelle logique implacable!! Et si on regarde bien, pratiquement tous les gestes écologiques qu’on nous demande sont basés sur le même genre de non-sens!
Recyclez vos déchets!! Ces derniers seront envoyés par cargos hyper polluants sur des plages de pays du tiers monde! Quand l’écologie consiste à aller chier chez le voisin pour garder ses propres toilettes propres. Sauvez les océans ! mais ne pas parvenir malgré tout son pouvoir politique à bannir les fourchettes en plastique à usage unique.Et on peut faire continuer cette liste ad nauseam… Ça n’est que mon opinion, mais en tant que personne très préoccupée par la planète et l’environnement, je constate que Trump n’est pas le candidat de l’écologie, mais je constate que ceux d’en face ne le sont pas plus malgré leurs discours larmoyants. En revanche ils sont bien prompts a dépenser des centaines de milliards d’argent public dans des processus parfois flous, supposément pour le bien de la Planète. Rudy
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