Pour la première fois dans l’Hexagone, un ex-président va être équipé d’un bracelet électronique à la cheville et devra solliciter des autorisations pour ses déplacements. Le pourvoi de Nicolas Sarkozy, reconnu coupable d’actes de corruption active et de trafic d’influence dans l’affaire Bismuth, a en effet été rejeté par la Cour de cassation, le mercredi 18 décembre.
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