Ancienne QAnon, elle explique pourquoi elle a quitté ce mouvement
Richard A.
15 heures
vous voulez un complot? celui des firmes et de leurs complices qui vous cachent des vérités effrayantes!
ASTRA ZENECA :
AstraZeneca – 2018
Le laboratoire pharmaceutique Astra-Zeneca a accepté de payer 110 millions de dollars pour de régler à l’amiable deux poursuites intentées par l’État du Texas à son encontre et cancernant ses pratiques douteuses pour la vente de deux médicaments : le Seroquel et le Crestor.
AstraZeneca – 2010
AstraZeneca LP et AstraZeneca Pharmaceuticals LP paiera 520 millions $ suite aux accusations d’avoir commercialisé illégalement son médicament anti-psychotique Seroquel pour des usages non approuvés par la Food and Drug Administration (FDA), ainsi que d’avoir provoqué de fausses demandes de paiement soumises à des programmes d’assurance fédéraux, comprenant les programmes Medicaid, Medicare et TRICARE, au ministère des Anciens Combattants, aux programmes sociaux des employés de la santé et du Bureau des prisons.
AstraZeneca – 2005
la Commission européenne a infligé au groupe une amende de 60 millions d’euros pour avoir fait de fausses déclarations devant différents offices nationaux des brevets afin d’obtenir des certificats complémentaires pour prolonger de cinq ans la protection du Losec, un de ses médicaments phares utilisé dans le traitement des ulcères de l’estomac et d’autre part, d’avoir abusé des règles nationales concernant l’autorisation à la mise sur le marché des médicaments, afin d’éviter ou de retarder l’arrivée sur le marché de versions génériques de son médicament Losec
Astrazeneca – 2003
AstraZeneca a plaidé coupable suite à une accusation de délit de fraude dans les soins de santé et a accepté de payer 355 millions $ pour régler des accusations criminelles et civiles prouvant qu’il s’était engagé dans un programme national de commercialisation illégal d’un médicament contre le cancer prostate.
SANOFI
Sanofi – 2020
Le groupe pharmaceutique Sanofi a annoncé lundi 3 février au soir sa mise en examen pour « tromperie aggravée » et « blessures involontaires » dans l’affaire de la commercialisation de l’antiépileptique de référence Dépakine durant la pé riode allant de 1990 à avril 2015.
Sanofi – 2011
Le groupe pharmaceutique Sanofi est épinglé par un rapport du Sénat américain l’accusant d’avoir versé plus de 5 millions de dollars (environ 3,56 millions d’euros) à des associations médicales et à un scientifique afin qu’ils fassent pression auprès de la FDA pour retarder la mise sur le marché de la version générique du Lovenox en assurant que celle-ci pourrait ne pas être aussi sûre que l’original. Le sénateur démocrate du Montana Max Baucus, qui préside la commission des finances du Sénat, a souligné que les compagnies pharmaceutiques ne peuvent pas, tout simplement, être autorisées à dépenser des millions de dollars pour acheter des opinions de médecins qui prétendent à l’objectivité mais qui, bien au contraire, favorisent leurs produits.
PFIZER
Pfizer – 2016
Le géant pharmaceutique américaine Pfizer a écopé d’une amende de 84,2 millions de livres (99 millions d’euros) pour avoir surfacturé un médicament antiépileptique au système de santé publique (NHS) britannique.
Pfizer – 2010
L’anesthésiste Scott Reuben – référence dans son domaine et auteur d’une kyrielle d’études sur le traitement de la douleur post-opératoire pratiquement toutes financées par la firme Pfizer – n’a jamais mené les études qui ont fait l’objet d’au moins 21 publications dans diverses revues médicales prestigieuses, telles Journal of Clinical Anesthesia, Anesthesiology, Anesthesia and Analgesia, etc. Les études fictives en question avaient pour objet de démontrer l’efficacité du traitement des douleurs post-opératoires principalement par Celebrex, Lyrica et autres produits de Pfizer, qui a été le sponsor quasi exclusif de Reuben entre 2002 et 2007.
Pfizer – 2009
En 2009, Pfizer accepte de verser une amende record de 2,3 milliards de dollars US aux autorités américaines. La société était accusée d’avoir fait la promotion abusive de médicaments interdits par la FDA ; notamment le Bextra, le Geodon, le Lyrica et le Zyvox
Pfizer – 2009
Pfizer a signé jeudi 30 juillet un accord avec l’Etat de Kano, au nord du Nigeria, pour verser des indemnisations de 75 millions de dollars après des tests médicaux qui auraient entraîné la mort d’au moins onze enfants et des dommages physiques à 189 autres, dont la cécité, la surdité, des dommages cérébraux et des paralysies.
Pfizer – 2008
Quatre ans après que les risques de complications cardiovasculaires du Bextra et le Cerebrex soit devenu largement médiatisées, le groupe américain a annoncé un accord d’un montant de 894 millions de dollars qui vise à l’abandon des plaintes liés à ses anti-inflammatoires Bextra et Celebrex aux Etats-Unis. Le Bextra, soupçonné d’augmenter les risques d’accidents cardiaques, a été retiré du marché américain en 2005, quant au Celebrex, toujours commercialisé, le laboratoire préfère mettre fin à de coûteuses procédures judiciaires en concluant un accord à l’amiable afin d’indemniser les plaignants et rembourser leurs frais judiciaires.
Pfizer – 2004
En 2004, Pfizer a dû payer 430 millions de dollars d’amende pour la publicité illégale de son antiépileptique Neurontin (Gabapentine), incitant les médecins à le prescrire dans des indications non autorisées, ce qui a porté les chiffres de vente à plus de 3 milliards par an. Pfizer a eu recours à des ghostwriters (« auteurs fantôme », employés par des sociétés de communication et n’ayant pas d’existence officielle), qui ont réécrit les études en fonction des exigences du service marketing de la firme, comme le montrent les échanges de courriels rendus publics. Kay Dickersin, experte de renom qui dirige le centre d’essais cliniques de l’université John Hopkins, nous apprend que sur les 21 essais cliniques qu’elle a eu à expertiser, 5 étaient favorables et 16 défavorables au Neurontin. Parmi les 16 montrant son inefficacité en dehors de l’épilepsie, seuls 6 ont été publiés, dont deux partiellement.
Johnson & Johnson – 2019
Un jury a condamné mardi Johnson & Johnson à payer huit milliards de dollars de dommages et intérêts pour n’avoir pas prévenu qu’un de ses médicaments antipsychotiques avait des effets indésirables chez les hommes.
Cette amende pourrait ne pas être la dernière. Johnson & Johnson fait face à une série de plainte devant les tribunaux d’État pour n’avoir pas suffisamment averti de cet effet du Risperdal, notamment en Pennsylvanie, en Californie et dans le Missouri.
Johnson & Johnson – 2019
C’est un jugement qui avait valeur de test dans une crise nationale. Un juge de l’Oklahoma a condamné lundi le laboratoire pharmaceutique Johnson & Johnson à une amende de 572 millions de dollars (515 millions d’euros), au titre de ses responsabilités dans le scandale des opioïdes. « La crise des opiacés a ravagé l’Etat de l’Oklahoma. Elle doit être contenue immédiatement », a lancé le juge, estimant que le laboratoire américain avait adopté des pratiques « trompeuses de marketing et de promotion des opiacés ». Celle-ci a provoqué la mort de 400.000 personnes entre 1999 et 2018 et fait encore plus de 130 morts par jour!
Johnson & Johnson – 2013
Le groupe pharmaceutique américain Johnson & Johnson (J&J) a payé 2,2 milliards $ pour mettre fin à des poursuites pour la promotion abusive ainsi et pour le versement de pots-de-vin à des pharmaciens, notamment pour la vente d’un traitement de la schizophrénie. Le groupe est accusé d’avoir fait la promotion du Risperdal et d’autres médicaments pour des utilisations non homologuées par les autorités américaines.
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