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Avignon (Vaucluse).– Il est onze heures passées mercredi 23 octobre et Gisèle Pelicot quitte la place qui lui a été attribuée depuis le 2 septembre, tout à droite de la salle de la cour criminelle, en contrebas des avocats généraux, et en face, de l’autre côté de la pièce, de son ex-mari, Dominique Pelicot. Avec cinquante autres hommes, il est accusé d’avoir violé et fait violer son épouse, en la droguant au préalable, pendant une dizaine d’années. Le tout sous l’œil de caméras.
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