Christophe J.

2 jours

Encore et toujours le même discours et la même politique de la main tendue. L”activité humaine à effectivement un impact sur le “climat” Global, et cette activité est directement liée au “progrès” Technologique et la croissance économique synonyme de richesse que tous les pays souhaitent atteindre et avoir. Ce développement à débute et s’est localisé dans certains etats, mais c’est l’ensemble de la planète qui profite de ces avancées d’une manière ou d’une autre, que ce soit via les sciences médicales, sociales, technologique…. Nous tous sur cette planète profitons directement ou indirectement de ces avancées nous sommes donc tous responsables, et dans une certaine mesure selon le pouvoir en place qui parfois spolie le peuple en le privant de tout au bénéfice d’une élite ultra minoritaire, cas encore très courant en Afrique et dans les dictatures totalitaires.
Donc de mon point de vue plutôt que de toujours essayer de trouver des bouc émissaires pour soutirer du pognon et qu’il n’est pas envisageable d’utiliser l’ingerance pour forcer les États à mettre en place une politique “d’urgence climatique” commençons par des mobilisations citoyennes locales massives, par la création de Commissions citoyennes locales pour piloter le projet iinterpeller et travailler le échéant avec l’État déficitaire, partout où c’est nécessaire, créons un réseau mondial de partage des connaissances et savoirs à la portée de tous, et le tout dans une démarche raisonnée renouvelable durable économique sociale zéro déchets…. Une nouveau modèle de société en sortira. Cela semble complexe mais c’est pourtant accessible à tous et relativement facilement. Le document en parle, et ce type d’initiative populaire existe partout dans le monde et fonctionnent, mais sont peu suivi parce-que à ce jour les compagnies dirigent le monde et font la pluie et le beau temps. C’est tout un modèle qu’il faut revoir, et ça ce n’est pas gagné ! Moi j’y crois! Voilà déjà plus de 60 ans qu’on parle d’écologie, d’Environnement, des risques à venir, et j’en passe, et bien maintenant nous y sommes. Il faut donc arrêter de se regarder le nombril et se mettre en action. Aller j’arrête là, parce-que sinon dans une heure j’y suis encore ? ciao.

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