Louis B.
19 heures
Le combat contre les violences obstricales et gyneco est capital. On parle là d’une atteinte à la dignité en tant qu’Humain lorsque de telles pratiques sont subis. Malheureusement, les conditions de travail à l’hôpital se dégrade de plus en plus. Cela créé une exode des professionnels et un manque chronique de personnel. Les « survivants » restant travail maintenant comme ils « peuvent » sans aller aux toilettes et sans manger pendant 12h. Ces conditions de travail frôle l’indignité et cela à des conséquences sur le cœur du métier : les patients qui en subissent les conséquences au bout du compte mais aussi les professionnels qui rentre chez eux en étant dépité par la manière dont ils ont pris leurs patients en charge, avec une perte de sens total de leur métier. Mais dire que les violences sont généralisés est faux. Dans ce genre de propos sont inclus 99% des professionnels de santé pour qui la dignité humaine, le respect de l’individu, le non-jugement et surtout la liberté de choix libre et éclairé du patient est primordiale. Ce n’est pas juste. Finalement, au lieu de dresser patient contre professionnel, je pense qu’il faudrai avancer main dans la main et revendiquer un hôpital plus humain auprès des décideurs politiques. Mais sans grand espoir…
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