Un revirement soudain aux airs de reniement. La France a annoncé, mercredi 27 novembre, qu’elle ferait valoir un principe d’« immunité » diplomatique pour ne pas appliquer le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) à l’encontre du premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou. Cette immunité devra « être prise en considération si la CPI devait nous demander [son] arrestation et [sa] remise », a indiqué le Quai d’Orsay dans un communiqué.
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