Dans l’Afghanistan des Talibans
Puis dans les jours qui suivent, une sorte d’apaisement recouvre rapidement une Kaboul mise sous cloche, explique le photographe qui suit alors l’étrange cohabitation entre civils et Talibans au coeur de la capitale (où il retrouve ces derniers au zoo ou encore au parc d’attraction). « En observant les Talibans dans Kaboul, ils ressemblaient à des soldats en permission, qui découvraient pour la première fois certains loisirs », image le photographe. Mais dans le même temps, le joug des Talibans se déploie progressivement sur les femmes, les artistes, les musiciens, dans les écoles, les universités et tout îlot de liberté.
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