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« abattus par la police »dans l’indifférence générale ? Dans le traitement des faits divers, la considération de la maladie mentale reflète celle de la société en général : c’est un sujet en marge. Elle est teintée de la même crainte, du même rejet, comme si elle ne pouvait pas toucher tout un chacun. Une peur et un dégoût – de bons moteurs pour l’audience – que des médias ne se gênent pas d’utiliser.
C’est un « forcené »
à Nancy, « abattu »
– comme un animal donc – par la police après qu’il avait « balancé »
(sic) tout son mobilier par l…
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