Avec Paul Elek, doctorant en sociologie et ancien attaché parlementaire, Théophile Kouamouo balaie l’actualité politique du week-end et de la semaine qui vient.
C’est cette semaine que s’ouvre une sorte de round fait de manifestations dans la rue dans un contexte d’inflation, notamment d’explosion des prix de l’électricité. Un contexte qui n’empêche pas l’exécutif Emmanuel Macron / Elisabeth Borne de tenter d’avancer sur la réforme des retraites et de durcir encore les modalités d’accès à l’assurance chômage.
La rue peut-elle aujourd’hui faire reculer Macron ? Doit-elle faire reculer Macron ? Alors même que le calendrier des mobilisations peut paraître un peu chaotique et que ce n’est pas l’entente parfaite.
Une journée d’action spéciale personnel de santé a lieu le 22 septembre, puis une semaine plus tard se tient une journée qui se veut « grève générale », à laquelle ni la CFDT ni FO vont participer. Et le Parti communiste de Fabien Roussel boudera la grande marche contre la vie chère de la NUPES d’octobre, tenue par Europe écologie les Verts et la France Insoumise.
On a connu mieux comme entente… L’affaire d’Adrien Quatennens, député insoumis du Nord qui a reconnu des actes violents envers sa conjointe, dimanche dernier – le 18 septembre, n’arrange rien, bien au contraire.
L’analyse de Paul Elek.
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