Un regard sur Wick Is Pain
Le documentaire Wick Is Pain, réalisé par Jeffrey Doe, propose une plongée captivante dans les difficultés rencontrées lors de la création du premier film John Wick. Suivant le parcours de l’acteur Keanu Reeves et du réalisateur Chad Stahelski pendant une décennie, ce film montre comment une production indépendante s’est transformée en une franchise à succès rapportant plusieurs milliards.
Événement spécial à Santa Monica
Lors d’une projection spéciale à Santa Monica, Reeves et Stahelski se sont joints à Doe, ainsi qu’à d’autres membres de l’équipe comme la productrice Erica Lee et le scénariste Derek Kolstad, pour une session de questions-réponses. Ils ont abordé les moments forts et les défis décrits dans le documentaire, illustrant l’évolution de leur travail.
La douleur de la création
Stahelski a évoqué le titre du documentaire, en soulignant qu’« tout ce qui en vaut la peine demande des efforts ». Reeves a abondé dans ce sens, en parlant des mois de formation physique exigeante qu’il subissait pour chaque film. Il ajouta qu’il était toujours prêt à pousser ses limites, affirmant que « Wick, c’est la douleur et on adore ça ». Il est évident que la volonté de souffrir pour réussir est une constante dans ce processus créatif.
Travail d’équipe et chorégraphie
Reeves a souligné l’importance de ses interactions avec les cascadeurs. Il a partagé que chaque mouvement d’action est le résultat d’un travail collectif : « Lorsque je fais 100 projections, six cascadeurs en subissent les conséquences », a-t-il déclaré. Cela souligne l’aspect collaboratif du tournage et l’importance de chaque membre de l’équipe dans la création de scènes d’action époustouflantes.
Rendre hommage aux cascadeurs
Les cascadeurs, présents lors de la projection, ont été salués par Reeves qui a exprimé sa gratitude pour leur contribution. Il a précisé : « Je n’exécute pas les cascades, ce sont les cascadeurs qui le font », rappelant que sans leurs talents, les séquences d’action ne seraient pas aussi mémorables. Stahelski a même plaisanté sur des moments où les cascadeurs prenaient des risques considérables, soulignant le dévouement et la passion de toute l’équipe.
Un regard vers l’avenir
Au-delà de Wick Is Pain, Reeves a également évoqué le prochain spin-off de la franchise, Ballerina, avec Ana de Armas. Il a exprimé son enthousiasme pour ce projet, en certifiant que le film restera fidèle à l’esprit de John Wick. « C’était chouette de revêtir à nouveau le costume », a-t-il déclaré, laissant entrevoir que ce nouveau chapitre pourrait enrichir l’univers déjà riche de John Wick.
Une aventure cinématographique unique
Reeves a partagé qu’il considère cette décennie d’aventures cinématographiques comme « quelque chose de spécial à avoir été documenté ». Il a ajouté que ce documentaire représente une partie significative de sa vie et de sa carrière. Avec une pointe d’humour, Stahelski a conclu en rappelant que, pour réussir dans cette saga, il fallait « toujours tuer le chien », une allusion au point de départ émotionnel du premier film.
Wick Is Pain est désormais disponible en digital, offrant aux fans une vue précieuse sur les coulisses de la franchise. Pour en savoir plus, jetez un œil aux vidéos disponibles sur YouTube.
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