L’histoire des hikikomori, des jeunes Japonais vivant coupés du monde
Mickael W.
une heure
Pourvu que ça ne soit pas transformé en un effet de mode, ou embellit de sorte que finalement, ce soit un simple état catalogué dans le vaste champs des symptômes de la dépression, que cela soit abouté à cette dernière, et qu’il soit catégorisé dans la portion congrue insignifiante dans le champs social, et que le thème soit saisi par des groupes de réalisateurs ou producteurs de films ou séries ou des investisseurs américains qui voudront s’emparer de cette information et rentabiliser large en pognon sur un état du corps et de l’esprit en déprime et qui se détériore.
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