L’histoire du chanvre
Valérie J.
18 heures
Il semble que le commerce et l’interdit marchent bien ensemble et permettent de faire du business dans un esprit de liberté et d’individualisme à l’image des huiles essentielles en vente libre. l’intuition animal permet de se soigner naturellement. Sans faire d’erreur. Cela met la médecine dans une impasse et parfois des liens sans logiques se font entre ceux qui attendent tout du soignant, sans prendre soin de leur santé et en incriminant le soignant. L’essentiel est que la liberté et l’individualisme continuent à se renforcer (je plaisante un peu). Ceux qui veulent faire preuve d’intelligence collective pour améliorer la connaissance peuvent toujours se servir de Google, Wikipédia ou Facebook. Sans trop se vendre…il y a tellement de gens tordus qui se baladent sur ce réseau. Bref les dosages de médicaments, la connaissance de principes naturels, les vertues, la chimie, la mycologie sont des spécialités de pharmacien(ne) et de préparateurs qui sont ont évolées et le commerce à orienter la connaissance vers du profitables. C’est pareil pour tout les moteurs qui ont été inventé sans essences. Personnellement je n’y connais rien mais mon ex belle mère qui était infirmière mais aurait aimé être médecin, ma proposé du gingembre dans du jus d’orange chaud un soir…mais c’est une famille qui connait bien l’hypnose : ceci explique peut-être cela (le lien est assez perso mais peut trouver écho). Sinon c’était une erreur de connaissance. Et ma mère adoptive qui avait des études de bio, très observatrice et aimant empailler des bestioles mortes n’a jamais voulu voir que son mari était très malade (là c’est un lien entre ce que l’on sait et ce que l’on veut voir). Je crois qu’il s’agit donc de liberté face à des substances existantes et de curseur que l’on met sur une ligne de connaissance, sur une ligne de croyance et une troisième de valeur ou mesure et qui se croisent à un point C comme conscience dans une balance en face de l’économiquement intéressant.
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