Beaucoup d’influenceurs “ne sont pas suffisamment accompagnés“
L’idée de Magali Berdah avec la création de la FICC est de proposer une formation continue obligatoire pour les influenceurs car selon elle, beaucoup “ne connaissent ni le droit ni le code de la consommation” et ils “ne sont pas suffisamment accompagnés.” Elle précise qu’il s’agit d’une association loi de 1901 qui “n’a rien à voir avec son agence Shauna Events”. Sa société en question est visée par une enquête pour “pratiques commerciales trompeuses” après le conflit très médiatisé entre Magali Berdah et Booba avec le hashtag #influvoleurs. Le rappeur a dénoncé les arnaques de certains influenceurs, qui vantaient les mérites de produits dangereux sur les réseaux sociaux comme Instagram.
Publicités déguisées : la justice en guerre contre les influenceurs
Le parquet a aussi ouvert une enquête sur les menaces et le cyber-harcèlement contre Magali Berdah. Suite aux polémiques dans ce secteur, le gouvernement a la volonté de réguler ces activités. Une proposition de loi trans-partisanes pour créer un statut pour les influenceurs sera examinée à la fin du mois de mars à l’Assemblée nationale. Le 18 janvier, plusieurs agences d’influence marketing avaient déjà annoncé la création d’une première fédération professionnelle, l’Union des métiers de l’influence et des créateurs de contenu (UMICC). Magali Berdah a répondu: “Plus on sera nombreux pour faire avancer la cause des influenceurs, plus ce sera efficace.”
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