Six-Word Sci-Fi : Histoires Écrites par Vous
Voici le sujet de ce mois-ci, comment soumettre, et une archive illustrée des favoris passés.
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Après l’annulation de son émission sur Fox, Carlson a passé une année dans la nature, à peaufiner sa vision de ce à quoi pourrait ressembler l’avenir du trumpisme. Cet automne, il a emmené son spectacle en tournée.
Les troubles liés au commerce international vont-ils s’intensifier suite à l’élection présidentielle américaine du 5 novembre prochain ? Donald Trump annonce pour sa part une intensification de la guerre commerciale. Le candidat républicain envisage d’augmenter de 10 points de pourcentage les tarifs douaniers sur tous les produits importés, et de 60 points pour ceux en provenance de Chine.
Cette hausse est significative, sachant que le droit de douane moyen mondial s’établit à 3,9 %. Aux États-Unis, il est même légèrement inférieur, à 3 %. Si le candidat l’emporte, ce durcissement du protectionnisme américain modifierait considérablement les échanges et l’équilibre du commerce international.
Est-ce un point de divergence majeur entre Kamala Harris et Donald Trump ? La candidate démocrate est relativement discrète sur ce sujet et suit globalement les traces de Joe Biden. Durant son mandat, celui-ci n’a guère dévié de l’héritage laissé par Donald Trump, qui avait lancé une guerre commerciale dès 2017, en particulier avec la Chine.
En augmentant les droits de douane sur divers produits stratégiques, le candidat républicain visait à la fois à contrer les déséquilibres commerciaux mondiaux et à réduire le déficit commercial des États-Unis, qui dépendent fortement de l’étranger pour l’approvisionnement en biens.
Il cherchait aussi à réindustrialiser le pays après une période où la part de l’industrie dans l’économie américaine a chuté de 21 % du PIB en 1980 à 10 % aujourd’hui.
« La désindustrialisation des États-Unis résulte en partie des stratégies des entreprises nationales qui, dès les années 1980, ont développé des chaînes de valeur mondiales, en divisant leur processus de production en plusieurs étapes et en externalisant les étapes moins rentables, ce qui a finalement permis d’augmenter la rentabilité des entreprises américaines axées sur l’innovation, » précise Benjamin Bürbaumer, économiste à Sciences Po Bordeaux.
Après son élection, Joe Biden a maintenu les droits de douane élevés par son prédécesseur et a même introduit des augmentations sur certains produits tels que les voitures électriques, l’acier et l’aluminium.
Cette continuité en matière de protectionnisme américain provient de la redéfinition des rapports de force entre les grandes puissances économiques mondiales. La part de la Chine dans les exportations mondiales n’a cessé d’augmenter depuis le début des années 2000, et ce pays a comblé (ou s’apprête à le faire) son retard technologique dans plusieurs secteurs.
En approchant de la pointe de l’innovation, la Chine menace désormais les fondements de la suprématie américaine, incitant Washington à tenter de conserver un écart.
« Les mesures protectionnistes ne limitent pas seulement la circulation du commerce mondial. C’est une façon pour les États-Unis d’intervenir de manière extraterritoriale dans la production chinoise pour tenter de garder durablement la Chine dans une position de retard sur le plan technologique, » analyse Benjamin Bürbaumer.
Car la guerre commerciale est principalement technologique. Donald Trump avait ouvert ce front en 2019 en tentant d’interdire toute collaboration ou commande des opérateurs de télécommunications américains avec Huawei, dans le but d’empêcher la domination de la société chinoise en matière de technologies 5G.
Joe Biden a poursuivi cette tendance en limitant fortement les partenariats des entreprises américaines avec des sociétés chinoises dans les domaines de l’intelligence artificielle et de l’informatique quantique, ainsi que leurs investissements dans ces entreprises.
S’il existe une continuité dans la politique menée par les deux présidents, Joe Biden a toutefois ajouté un aspect de politique industrielle qui faisait défaut dans la stratégie de son prédécesseur. Cette approche s’est concrétisée à travers le Chips Act de 2022, qui vise à stimuler la production de semi-conducteurs aux États-Unis, et l’Inflation Reduction Act (IRA), adopté la même année, combinant des subventions pour les industries américaines de la transition énergétique et des aides à l’achat assorties de conditions de production locale.
Le démocrate n’a donc pas uniquement agi sur le plan fiscal, mais a aussi cherché à orienter et à dynamiser les investissements vers des secteurs jugés stratégiques. Avec un certain recul, quels sont les résultats du protectionnisme américain, notamment l’augmentation des droits de douane ?
À court terme, cette politique entraîne une hausse des prix si le distributeur et le fabricant étranger ne modifient pas leurs marges. Les ménages américains ont donc supporté une grande partie du coût de cette politique. Concernant les déséquilibres commerciaux que Donald Trump souhaitait corriger, on peut observer une dissociation des économies américaine et chinoise.
« Il y a eu une baisse significative de la part de la Chine dans les importations des États-Unis, » précise Sébastien Jean, économiste au Cnam. « Celle-ci est passée de 27 % à 14 %. »
Cela a des répercussions pour le reste du monde. En effet, ce que la Chine n’exporte plus vers les États-Unis, elle l’envoie ailleurs, notamment vers l’Europe. Une intensification de la guerre commerciale en cas de victoire de Donald Trump pourrait exacerber ces impacts.
En ciblant tous les produits et pays, une simple hausse de 10 % sur l’ensemble des pays représenterait une augmentation des taxes de plus de 300 milliards de dollars par an. Comparativement, l’ensemble des mesures commerciales entreprises durant son premier mandat a engendré une hausse de seulement 84 milliards de dollars.
Si le découplage entre la Chine et les États-Unis devrait s’accentuer, Sébastien Jean souligne qu’il est en partie factice :
« Les importations en provenance de Chine ont effectivement diminué, mais comme il n’y a pas eu de réduction du déficit commercial, cela signifie que ce que les États-Unis n’importent plus de la Chine, ils l’importent d’autres pays. Les pays qui ont le plus augmenté leurs exportations vers les États-Unis sont le Vietnam et le Mexique, et eux-mêmes ont largement accru leurs importations en provenance de Chine. »
En d’autres termes, les entreprises chinoises ont en partie contourné les restrictions imposées par les États-Unis en s’installant dans des pays voisins.
Quant au déficit commercial des États-Unis, la guerre commerciale s’avère donc être un échec. Le solde entre les exportations et les importations a même continué de s’aggraver, atteignant en 2023 le seuil symbolique de 1 000 milliards de dollars.
De quoi placer en péril la première économie mondiale ? Paradoxalement, non. C’est l’un des privilèges du dollar, qui permet de soutenir les déficits.
« Quand un pays a un déficit de cette ampleur, cela signifie qu’il dépense plus que ses revenus et qu’il s’endette auprès de l’étranger, » résume Sébastien Jean. « Dans tout autre pays, cela conduirait à une crise, mais grâce au rôle du dollar dans le système financier international, les États-Unis n’ont jamais de difficulté à trouver des prêteurs. »
Sur le plan industriel, « l’impact des politiques de Joe Biden reste difficile à évaluer, » poursuit l’économiste. « On constate une forte augmentation des investissements et des dépenses de construction dans le secteur manufacturier, mais pas encore d’effet sur la production. »
Cependant, ces politiques marquent une inflexion « grâce à leur orientation claire du capital vers tout ce qui concerne l’électronique, l’informatique et les industries vertes – batteries, énergies renouvelables, etc. », ajoute Sarah Guillou, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Dans ce dernier domaine, « l’industrie américaine accusait un important retard. »
Cette faiblesse des États-Unis dans le secteur manufacturier est en partie le résultat de leur force dans le numérique.
« Les facteurs de production (travail, capital) sont limités dans une économie. Pendant des décennies, les États-Unis ont orienté le capital vers le secteur numérique, avec succès, » explique Sarah Guillou. « Cette allocation du capital s’est faite au détriment de l’industrie, mais pas de la croissance. Grâce à ces investissements dans les technologies numériques, les États-Unis disposent aujourd’hui d’une industrie parmi les plus puissantes au monde. »
« La recherche et développement (R&D) permet une appropriation démesurée de la valeur ajoutée du produit fini, » ajoute Benjamin Bürbaumer. « C’est donc le monopole sur la propriété intellectuelle qui constitue la source des revenus des entreprises américaines. »
Le cas d’Apple illustre bien cette dynamique : l’entreprise conçoit des téléphones et délègue leur fabrication, mais c’est elle qui se réserve in fine la majorité des revenus générés par la vente d’un iPhone, au détriment des sociétés qui fabriquent les différents composants ou de celles qui les assemblent. Nvidia, Qualcomm, Broadcom, pour ne citer que quelques autres géants américains des technologies, tirent également leurs profits de leur monopole intellectuel.
« Si la Chine réussit à rivaliser avec la capacité d’innovation des entreprises américaines, le modèle de ces entreprises est menacé, » constate Benjamin Bürbaumer.
Ainsi, qu’importe qui l’emportera lors de l’élection aux États-Unis : les forces qui ont conduit le pays vers une politique protectionniste continueront d’exister. D’une part, Kamala Harris n’envisage pas une diminution des tensions commerciales. D’autre part, Donald Trump promet d’accroître considérablement le niveau de confrontation.
Aucune des deux parties, démocrates ou républicains, n’a contribué à relancer l’Organisation mondiale du commerce (OMC), qui est en stagnation depuis des années, symbolisant un multilatéralisme censé veiller à une résolution collective des conflits.
Les opérateurs mobiles affirment que le verrouillage des appareils les aide à réduire les coûts. Les groupes de protection des consommateurs voient les choses un peu différemment.
AFP“Oui la France va prendre le tournant de la 5G” a annoncé Emmanuel Macron le 14 septembre 2020 à l’Elysée devant des entreprises du numérique, en ironisant sur ceux qui préfèreraient “le modèle Amish” et le “retour à la lampe à huile”. La chemise sans cravate façon start-upper, les mains écartées sur son pupitre et le corps en avant comme le télévangéliste néolibéral qu’il a été en 2017, le président de la République s’apprête, devant un public conquis d’avance, à écraser une fois plus de son mépris celles et ceux qui n’embrassent pas avec enthousiasme les dessins que la classe bourgeoise conçoit pour les autres. Le lancement de la 5G est une étape essentielle pour toute une fraction de la classe dirigeante, une étape historique qui ne répond à aucune autre nécessité que celle d’offrir aux entreprises des télécommunications et à leurs actionnaires un relais de croissance. Le petit parterre de chefs d’entreprise a-t-il été soulagé par la réaction du président face à l’opposition croissante au développement de la 5G dans le pays? Ou s’y attendaient-ils déjà? Certainement. Mais la sortie du chef de l’Etat a dû les ravir: non seulement elle valide la fuite en avant nommée 5G, et toutes les retombées financières qu’elle charrie, mais en plus elle apporte une charmante justification idéologique à de ce qui n’est finalement qu’un vulgaire business plan dépourvu de toute considération sociale, sanitaire et écologique, car c’est ainsi que fonctionne le capitalisme, n’en déplaise à ses chargés de communication. Une charmante justification idéologique à ce qui n’est finalement qu’un business plan dépourvu de toute considération sociale. Emmanuel Macron est venu rendre à ce relais de croissance (de dividendes) ce supplément d’âme qui manque tant aux développeurs de la 5G. Et si l’on a principalement retenu de sa sortie la référence drôle et…
TECHNOLOGIES – Cette semaine, la 5G aura été au cœur de l’affrontement entre les “innovateurs” et les “Amishs” après les propos d’Emmanuel Macron. Mais au-delà de la polémique politique, qu’en pensent les Français alors que l’attribution des fréquences de cette technologie mobile doit débuter à la fin du mois dans le pays? Force est de constater qu’ils sont bien plus mesurés que certains… Ce jeudi 17 septembre, une enquête d’opinion d’Ifop pour le site Lemon.fr dévoilée par Le Parisien vient nous éclairer sur le sujet. Elle montre que les Français sont majoritairement pour le déploiement de cette nouvelle technologie qui promet des débits cent fois plus rapides. Mais ce sondage révèle également que la population est sensible à l’impact environnemental que la 5G pourrait avoir et à bien d’autres conséquences potentielles. Comme le noteLe Parisien, 63% de la population souhaite que les pouvoirs publics facilitent le déploiement de la 5G. Plus surprenant: chez les sympathisants d’EELV, on compte 57% d’opinion favorable au déploiement de cette technologie, et ce malgré la fronde des écologistes contre les nouvelles antennes et la demande de moratoire de 70 élus de gauche et écologistes, dont Jean-Luc Mélenchon et Yannick Jadot, ce dimanche. Mais ce sondage (réalisé du 14 au 16 septembre, auprès d’un échantillon de 1.020 personnes, représentatif de l’ensemble de la population vivant en France métropolitaine âgée de 18 ans et plus, et d’un échantillon de 1.031 personnes, représentatif de la population vivant dans les villes de 100.000 habitants et plus) met aussi en lumière la prudence et la réticence des Français sur les volets santé, vie privée et environnement de la 5G. D’ailleurs, les Français sont plus méfiants à l’égard de la 5G en ce qui concerne ses potentielles conséquences sur la vie privée (72%) ou sur l’environnement (65%) que sur la santé (51%)!…
JONGHO SHIN via Getty Images“Pas de raison de stopper la 5G en elle-même”, selon l’Arcep 5G – “Nous pensons qu’il n’y a pas de raison de stopper la 5G en elle-même”, a déclaré ce mercredi 16 septembre Sébastien Soriano, le président de l’Arcep, régulateur des télécoms, qui juge toutefois urgent d’apporter des garde-fous face au débat qui s’enflamme. “Pour nous, les télécoms ont toujours été un sujet un peu technique, et là on rentre un peu dans le grand bain politique. On voit pour la première fois des partis, des personnalités politiques qui prennent position sur la technologie elle-même, et ça c’est nouveau”, a-t-il déclaré sur Radio Classique, assurant vouloir “rester neutre dans ce débat” en tant qu’autorité indépendante du gouvernement. “Il y a urgence à travailler sur les garde-fous” “Compte tenu des préoccupations qui sont exprimées politiquement et dans la société, nous pensons qu’il n’y a pas de raison de stopper la 5G en elle-même. En revanche, il y a urgence à travailler sur les conditions, sur les garanties, sur les garde-fous à apporter par rapport à ces préoccupations”, a-t-il ajouté. Près de 70 élus de gauche et écologistes, parmi lesquels Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot ou la maire de Marseille Michèle Rubirola, ont demandé dimanche dans une tribune un moratoire sur le déploiement du futur réseau mobile. Une demande balayée par le président Emmanuel Macron, qui a réaffirmé lundi que “la France (allait) prendre le tournant de la 5G”, en ironisant sur ceux qui préféreraient “le modèle Amish” et le “retour à la lampe à huile”. Mardi, un rapport commandé par le gouvernement au début de l’été ― précisément pour répondre à la demande de “moratoire” d’abord exprimée par la Convention citoyenne pour le climat ― a souligné qu’il n’y avait pas “d’effets néfastes avérés à court terme” sur la…
POLITIQUE – “Parce qu’il vaut mieux en rire”, ils seront désormais les “Amish de la Terre”. En réaction aux propos d’Emmanuel Macron, qui a défendu la 5G en ironisant sur ces détracteurs qui “croient au modèle Amish”, les écologistes ont repris le mot du chef de l’État pour dénoncer son “mépris” pour la cause environnementale et ses défenseurs. Devant les investisseurs de la “French Touch”, Emmanuel Macron a balayé la demande de moratoire de la gauche et des écologistes sur le déploiement de la 5G. “J’entends beaucoup de voix qui s’élèvent pour nous expliquer qu’il faudrait relever la complexité des problèmes contemporains en revenant à la lampe à huile! Je ne crois pas que le modèle Amish permette de régler les défis de l’écologie contemporaine”, avait ironisé le chef de l’État. La réaction la plus acerbe aux propos présidentiels est venue de l’Insoumis Manuel Bompard: “Lui n’a en tout cas pas la lumière à tous les étages”, a-t-il tweeté. Mais il n’a pas été le seul. Dans la soirée ce mardi 15 septembre, plusieurs associations écologistes, dont “Les Amis de la Terre” renommée pour l’occasion “les Amish de la Terre” sur les réseaux sociaux, ont organisé un rassemblement devant l’Élysée pour dénoncer “le mépris” d’Emmanuel Macron. “Nous sommes tous les Amish de la Terre”, ont-ils scandé, en brandissant des bougies. ?#JesuisAmish ACTION RÉACTIVE CE SOIR CONTRE LE MÉPRIS DE MACRON Rassemblement à la bougie contre la 5G ce soir devant l’Elysée : lampes à huile, masques et calèches seront de sortie ! infos ▶️https://t.co/gYm8m9FJ5k — Les Amish de la Terre FR (@amisdelaterre) September 15, 2020 Le sujet de la 5G avait déjà fait l’objet de propositions de la Convention Climat: les 150 membres tirés au sort avaient notamment défendu “un moratoire en attendant les résultats de l’évaluation sur la santé…
CHARLES PLATIAU via Getty ImagesEmmanuel Macron a défendu ce 14 septembre la 5G, quelques jours après une tribune de la gauche et des écologistes qui réclament un moratoire sur la question. “Je ne crois pas que le modèle Amish permette de régler les défis de l’écologie contemporaine”, s’est moqué le chef de l’État. TECHNO – “Oui la France va prendre le tournant de la 5G”, a lancé Emmanuel Macron lundi 14 septembre devant des entreprises du numérique, en ironisant sur ceux qui préfèreraient “le modèle Amish” et le “retour à la lampe à huile”, au lendemain de la demande de moratoire de 70 élus de gauche et écologistes. “La France est le pays des Lumières, c’est le pays de l’innovation (…) On va tordre le cou à toutes les fausses idées. Oui, la France va prendre le tournant de la 5G parce que c’est le tournant de l’innovation”, a insisté le chef de l’État devant une centaine d’entrepreneurs et entrepreneuses de la “French Tech” réunis dans la salle des fêtes de l’Élysée. Il s’exprimait au lendemain de la demande de moratoire sur le déploiement de la 5G de 70 élus de gauche et écologistes, dont Jean-Luc Mélenchon et Yannick Jadot. L’attribution des fréquences de cette technologie mobile doit débuter à la fin du mois en France. “J’entends beaucoup de voix qui s’élèvent pour nous expliquer qu’il faudrait relever la complexité des problèmes contemporains en revenant à la lampe à huile! Je ne crois pas que le modèle Amish permette de régler les défis de l’écologie contemporaine”, s’est moqué le chef de l’État, en référence à cette communauté religieuse américaine hostile à la technologie et qui vit comme au XVIIIe siècle. En costume mais sans cravate, Emmanuel Macron s’est dit ravi de retrouver le milieu des start-up, au cours du premier événement de grande…
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