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Fortnite de retour sur les iPhone

SOPA Images via Getty ImagesFortnite est de nouveau disponible sur les iPhone, grâce aux comptes Microsoft, qui permettent de contourner l’Apple Store.  JEUX VIDÉO – Les utilisateurs d’iPhone et amateurs du jeu phénomène Fortnite vont de nouveau pouvoir y jouer sur leur smartphone, via le service de jeu vidéo à distance de Microsoft, Xbox Cloud Gaming. Ce jeu devenu un univers ultra populaire n’était plus disponible sur les appareils de la marque à la pomme depuis août 2020, quand Apple était entré en conflit juridique avec Epic Games, la maison mère de Fortnite.  Mais les amateurs peuvent désormais retrouver le jeu de tir et survie directement sur un navigateur internet mobile, sans le télécharger sur l’App Store. Dans les 26 pays où il est possible de jouer via le cloud (en streaming, à distance), “vous avez juste besoin d’un compte Microsoft”, explique un communiqué du groupe informatique, et d’un smartphone ou d’une tablette sous iOS (Apple) ou Android (Google), ou encore d’un ordinateur avec Windows (le système d’exploitation de Microsoft). C’est le premier jeu “gratuit” (mais avec des options payantes) que Microsoft ajoute à sa plateforme Xbox Cloud Gaming, mais d’autres devraient suivre. “Enorme nouvelle!” s’est exclamé Tim Sweeney, le patron d’Epic Games, ce jeudi 5 mai sur Twitter. “Fortnite est désormais disponible GRATUITEMENT en streaming sur les navigateurs sur les iPhone, iPad et Android via Xbox Cloud. Pas d’abonnement nécessaire, ni de taxe Apple à 30%”. Monumental news everyone! Fortnite is now available to play FOR FREE streaming to web browsers on iPhone, iPad, and Android via Xbox Cloud. No subscription required, no 30% Apple tax.https://t.co/eHs1Xvh6D2 — Tim Sweeney (@TimSweeneyEpic) May 5, 2022 Un conflit juridique entre Epic Games et Apple Apple avait retiré Fortnite de l’App Store quand Epic a cherché à contourner ses règles et son système de paiement,…

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Google, Apple et Microsoft s’allient pour se débarrasser des mots de passe

d3sign via Getty ImagesGoogle, Apple et Microsoft s’allient pour se débarrasser des mots de passe. (photo d’illustration) INFORMATIQUE – Le calvaire des mots de passe pourrait prendre fin d’ici un an: Google, Apple et Microsoft ont annoncé ce jeudi 5 mai un accord pour construire un système permettant de s’authentifier sans avoir à mémoriser des séries de signes cabalistiques. “Avec la nouvelle fonctionnalité, les consommateurs pourront s’authentifier sur les sites internet et les applications mobiles facilement, sans mot de passe et en sécurité, quel que soit l’appareil ou le système d’exploitation”, a résumé l’association FIDO Alliance (Fast Identity Online Alliance) dans un communiqué. Elle rassemble depuis 2012 des acteurs du secteur pour travailler sur des systèmes d’authentification communs. L’objectif, explique Google, est que les utilisateurs puissent se connecter à un service en ligne simplement en débloquant leur smartphone (via leur méthode habituelle: empreinte digitale, reconnaissance faciale, code de plusieurs chiffres…) Concrètement, un site web pourra demander à l’internaute s’il veut “s’authentifier avec ses identifiants FIDO”. Ce message apparaîtra simultanément sur son téléphone, où l’utilisateur aura juste besoin d’accepter, en déverrouillant son écran, pour être connecté au site. Les smartphones conserveront ces identifiants codés, baptisés “passkey” (clef d’accès). Éviter les piratages de comptes, fuites de données et vols d’identité Les trois géants des technologies se sont engagés à mettre en place ce nouveau système dans les douze mois, sur Android et iOS (les systèmes d’exploitation mobiles de Google et Apple), sur Chrome, Edge et Safari (les navigateurs de Google, Microsoft et Apple) et sur Windows et macOS (les systèmes d’exploitation de Microsoft et Apple pour les ordinateurs). “L’authentification avec des mots de passe uniquement est l’un des problèmes de sécurité les plus importants sur le web”, note Apple dans son communiqué. Incapables de gérer autant de mots de passe différents, les individus…

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Réparer votre iPhone ou MacBook? Apple va enfin vous y aider

via Associated PressApple va vous fournir de quoi réparer vous-mêmes iPhones et MacBooks (photo d’illustration) TECHNO – Apple va donner la possibilité à ses utilisateurs de réparer eux-mêmes leurs smartphones et certains ordinateurs, une concession inattendue de la part du géant des technologies, réputé pour son écosystème très fermé d’appareils et logiciels. Le magasin en ligne, baptisé “Self Service Repair”, permettra d’acheter plus de 200 pièces détachées et outils utiles pour les problèmes les plus courants des dernières gammes d’iPhone (12 et 13), comme les batteries ou écrans défectueux, d’après un communiqué. La marque à la pomme a longtemps restreint les réparations à ses techniciens dans ses magasins -au comptoir baptisé “genius bar”- et certains commerçants autorisés, mais le temps d’attente et les prix y sont généralement élevés. Cette caractéristique d’Apple et des accusations d’obsolescence programmée lui valent régulièrement des reproches sur la durabilité de ses appareils. “On ne pensait pas qu’on verrait ça un jour”, a réagi sur Twitter iFixit, un site web qui se présente comme un guide pour réparer toutes sortes d’objets. Ce qu’Apple propose “n’est pas parfait, mais nous sommes ravis qu’ils admettent enfin ce que nous avons toujours su: tout le monde est assez intelligent pour réparer un iPhone”. Écosystème ultra contrôlé Le nouveau service sera lancé aux États-Unis début 2022, avant d’être étendu à d’autres pays dans l’année, et comprendra bientôt, en plus des smartphones, les ordinateurs équipés de la puce M1, fabriquée par Apple. “Les clients rejoignent ainsi plus de 5000 fournisseurs autorisés et 2800 réparateurs indépendants qui ont accès aux pièces détachées, aux outils et aux manuels”, précise le groupe californien. “Pendant ces trois dernières années, nous avons presque doublé le nombre de lieux qui ont (cet) accès”, a souligné Jeff Williams, le directeur des opérations cité dans le communiqué. Cette décision intervient…

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Un ordinateur Apple-1 en bois vendu aux enchères à Los Angeles

MAISON DE VENTES JOHN MORANL’Apple-1 est mis aux enchères et estimé entre 400.000 et 600.000 dollars. INSOLITE – C’est l’ancêtre du Mac. Un Apple-1 en bois, premier modèle d’ordinateur jamais commercialisé par la firme à la pomme à partir de 1976, a été vendu aux enchères ce mardi 9 novembre dans le sud de la Californie pour 400.000 dollars. La société fondée par Steve Wozniak et Steve Jobs n’a construit au total que 200 Apple-1, tous assemblés à la main chez Steve Jobs, dont la plupart s’étaient vendus à l’époque pour la somme de 666.66 dollars. L’exemplaire mis aux enchères par la maison de ventes John Moran à Monrovia, près de Los Angeles, avait été estimé entre 400.000 et 600.000 dollars, même si les spécialistes s’attendaient à ce que les prix s’envolent. En effet, un Apple-1 en état de marche avait été vendu plus de 900.000 dollars en 2014 par la maison Bonhams. Selon l’expert Corey Cohen, interrogé par le Los Angeles Times, 60 Apple-1 sont recensés à ce jour mais seuls 20 d’entre eux, dont celui vendu par la maison John Moran, fonctionnent toujours. MAISON DE VENTES JOHN MORANL’Apple-1 est mis aux enchères et estimé entre 400.000 et 600.000 dollars. L’exemplaire vendu ce mardi 9 novembre est d’autant plus original qu’il est doté d’un boîtier en bois exotique, le koa, originaire des îles Hawaï, une rareté qui lui vaut de figurer dans une vente autrement consacrée à l’art et au design contemporains. La maison de vente John Moran précise par ailleurs qu’il n’existe que six exemplaires connus d’Apple-1 avec boîtier en koa. En 1976, les Apple-1 étaient parmi les premiers modèles d’ordinateurs personnels déjà assemblés (avec les composants déjà soudés sur la carte-mère en particulier) mais ils se vendaient souvent sans boîtier ni clavier. MAISON DE VENTES JOHN MORANL’Apple-1 est mis aux…

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Avant Noël, Apple réduit sa production d’iPhone 13 faute de puces

SOPA Images via Getty ImagesL’iPhone 13 est sorti le 24 septembre 2021. ÉCONOMIE – Les pénuries touchent aussi Apple. La firme américaine n’atteindra pas ses objectifs de production pour son nouvel iPhone avant les fêtes, à cause de la pénurie mondiale de puces électroniques, d’après un article de Bloomberg paru le mardi 12 octobre. Le géant de l’électronique avait prévu de fabriquer 90 millions d’iPhone d’ici la fin de l’année, mais il devra se contenter de 80 millions, ses fournisseurs Broadcom et Texas Instruments ne pouvant répondre à la demande, selon les sources de l’agence de presse. La marque à la pomme a présenté mi-septembre une nouvelle gamme de smartphones, qui comprend quatre modèles, de la version “iPhone 13 Mini”, commercialisée à partir de 700 dollars (un peu plus de 600 euros), à l’iPhone 13 Pro Max, à partir de 1.100 dollars (950 euros). Une pénurie pour Noël qui se confirme “La demande a été forte dans le monde, surtout en Chine et aux États-Unis”, a commenté mardi Dan Ives, analyste de Wedbush. “Apple va manquer d’au moins 5 millions d’iPhone 13 pour la saison des fêtes si la demande continue à ce rythme”, a-t-il ajouté. Fin juillet, lors de la publication des résultats trimestriels, le patron du groupe Tim Cook avait expliqué s’attendre à ce que les “contraintes d’approvisionnement soient plus importantes” sur le trimestre en cours que pour les trois mois précédents. Il avait rappelé que ces contraintes étaient communes aux entreprises du secteur et pas spécifiques à Apple, et précisé que le problème provenait, pour partie, du fait que la demande était sensiblement supérieure à ce que l’entreprise avait prévu. A voir également sur Le HuffPost: Invention géniale ou fléau? Un “troisième œil” pour marcher et regarder son smartphone dans la rue Source

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Apple contre-attaque pour son App Store face à Epic Games

TECHNO – Apple a fait appel ce vendredi 8 octobre du verdict du procès contre Epic Games, l’éditeur du jeu vidéo “Fortnite”, et notamment de l’injonction d’une juge fédérale à laisser les développeurs d’applications proposer un système de paiement alternatif à celui du fabricant de l’iPhone. La juge américaine avait en bonne partie rejeté les accusations de monopole d’Epic, mais elle avait imposé à Apple plus de liberté pour les éditeurs, ce qui devait notamment leur permettre de contourner la commission prélevée par le géant des technologies. Le géant des technologies demande à ce qu’une suspension de cette mesure soit décidée, dans l’attente d’une décision définitive, qui pourrait, elle, prendre des années. Un juge doit se pencher sur la question en novembre. Système de paiement Apple ne pouvait plus imposer, depuis le 10 septembre, aux développeurs d’utiliser son système de paiement au sein de leurs applications, et donc de payer une commission, avait décidé Yvonne Rogers, une juge d’Oakland (Californie) chargée du contentieux avec le développeur. Elle avait cependant rejeté en bonne partie les accusations de monopole visant Apple et dénoncées par Epic, ce qui représentait une bonne nouvelle pour le géant des technologies accusé de toutes parts d’infractions au droit de la concurrence. Elle avait estimé que le fabricant de l’iPhone n’était pas en situation de monopole illégal: “Apple ne détient pas de monopole sur le marché des transactions dans les jeux mobiles”. Epic Games, le développeur du jeu Fortnite, qui réclamait une telle mesure depuis un an, avait fait appel de cette décision. Son patron, Tim Sweeney, avait promis de “continuer à se battre” pour “une compétition équitable entre les méthodes de paiement au sein des applis”. À voir également sur Le HuffPost: Ils accusent Fortnite de leur avoir volé leurs pas de danse LIRE AUSSI : Facebook s’écroule en…

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Ce faux câble Lightning espionne tout ce que vous tapez

Il ressemble à un câble Apple Lightning, fonctionne comme un câble Apple Lightning, et je peux l’utiliser pour connecter mon clavier à mon Mac. Mais ce câble malveillant enregistre en réalité tout ce que je tape, y compris mes mots de passe, puis envoie mes données à un hacker qui pourrait se trouver à quelques kilomètres de moi.  Publicité Il s’agit de la nouvelle version d’une série d’outils de tests de pénétration créés par un chercheur en cybersécurité qui se fait appeler MG. En 2019, MG avait créé une première version de ce câble et nous en avait fait la démonstration lors de la DEF CON, l’une des plus importantes conventions de hackers au monde, qui se tient chaque année à Las Vegas. Peu après, MG a pu passer à la production de masse et vend désormais ses câbles par l’intermédiaire de la boutique pour hackers Hak5. Mais les câbles les plus récents se déclinent en différentes versions, dont un Lightning-USB-C, et comportent davantage de fonctionnalités.  « Certaines personnes disaient que les câbles USB de type C ne risquaient pas d’être piratés avec ce type d’installation car ils n’ont pas assez d’espace. Clairement, je me suis senti obligé de prouver le contraire », nous dit MG. Les câbles OMG, comme on les appelle, fonctionnent de la manière suivante : ils créent un hotspot Wi-Fi auquel un hacker peut se connecter depuis son propre appareil ; à partir de là, une interface ouverte dans un navigateur ordinaire permet au hacker d’enregistrer les frappes au clavier de la victime. L’implant malveillant est minuscule et impossible à remarquer : il occupe la moitié de la longueur de la coque en plastique. Le chercheur explique également que les nouveaux câbles ont des fonctions de geofencing, grâce auxquelles un utilisateur peut déclencher ou bloquer la charge utile (c’est-à-dire le code…

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App Store d’Apple: Le contentieux autour de “Fortnite” encore loin d’être réglé

REUTERS / Dado Ruvic / IllustrationLa guerre juridique entre Fortnite et Apple est encore loin d’être réglée (image d’illustration). TECHNO – Une juge américaine a rendu ce vendredi 10 septembre une décision majeure dans la bataille qui oppose Apple à Epic Games, l’éditeur du jeu vidéo Fortnite, déterminé à forcer le géant des technologies à faciliter la concurrence sur son App Store (magasins d’applications), au cœur d’une économie de centaines de milliards de dollars. Mais cette décision ne donne pas de clair vainqueur entre Apple, forcé de faire des concessions mais blanchi des accusations de monopoles, et Epic, largement salué comme victorieux mais insatisfait au point de faire appel. Le modèle économique de l’App Store Mis en fonction en 2008, le magasin d’applications mobiles -rapidement imité par les technologies concurrentes- a donné naissance à toute une économie de services accessibles sur son smartphone. Les éditeurs tiers soumettent leurs applications, et si elles sont validées, les utilisateurs d’iPhone ou d’iPad peuvent les télécharger, uniquement via cette plateforme. “Apple a aidé à construire une économie qui rapporte plus de 500 milliards de dollars par an, et ne reçoit qu’une lichette de ce montant pour toute l’innovation qu’elle a facilité et les coûts d’opération”, a affirmé le patron Tim Cook au New York Times début avril, qualifiant l’App Store de “miracle économique”. La firme de Cupertino prélève une commission de 30% sur les ventes d’applications dans l’App Store et sur les achats de biens et services numériques au sein de ces applis. Certains développeurs bénéficient d’un taux réduit de 15% (nouveaux venus, revenus annuels inférieurs à 1 million de dollars, etc…). D’autres sociétés, comme Spotify et Netflix, évitent la commission en n’offrant pas la possibilité de souscrire à leurs services depuis l’appli, et en laissant les consommateurs comprendre d’eux-mêmes qu’ils doivent se rendre sur…

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Apple lance une plateforme de musique classique par abonnement

SOPA Images via Getty ImagesImage d’illustration du logo de l’application Apple Music prise le 18 avril 2021. MUSIQUE – Apple a annoncé ce lundi 30 août le rachat de la plateforme spécialisée dans la musique classique Primephonic et prévoit de lancer l’an prochain une application dédiée à ce genre, une première pour la marque à la pomme dont l’offre musicale était jusqu’ici concentrée dans Apple Music. Sollicité par l’AFP quant au prix d’acquisition de Primephonic, Apple s’est refusé à tout commentaire. Lancé en 2018, l’Américano-Néerlandais Primephonic se veut une alternative aux grands services de streaming musical en ligne, qui propose un son de meilleure qualité et un catalogue classique plus riche et mieux répertorié. Thomas Steffens, directeur général et co-fondateur de Primephonic, n’avait jamais fait mystère de son ambition de voir sa plateforme rachetée par l’un des géants du secteur. Depuis le 30 août, le service n’accepte plus de nouveaux abonnés et se mettra en sommeil le 7 septembre, selon un communiqué publié lundi. Les abonnés de Primephonic se verront proposer un abonnement gratuit de six mois à Apple Music, dans l’attente du lancement de la plateforme de musique classique d’Apple, en 2022. Un abonnement de 9,99 dollars par mois Apple a indiqué à l’AFP que ce nouveau service serait disponible pour 9,99 dollars par mois, contre 14,99 dollars par mois pour Primephonic actuellement. “Nous allons proposer un service dédié de musique classique qui sera véritablement le meilleur au monde”, a promis Oliver Schusser, vice-président d’Apple Music et de Beats, cité dans le communiqué. “Primephonic a été créé pour faire en sorte que la musique classique reste pertinente pour les générations futures”, a indiqué, dans le communiqué, Gordon Getty, l’un des principaux actionnaires du groupe avant son acquisition, et fils du magnat du pétrole et philanthrope Paul Getty. Pour lui, Primephonic et…

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Apple dévoile de nouveaux outils de lutte contre les images d’abus sexuels sur enfants

ABUS SEXUELS – Apple a dévoilé ce jeudi 5 août de nouveaux outils destinés à mieux repérer les images à caractère sexuel impliquant des enfants sur ses iPhone, iPad et son serveur iCloud aux Etats-Unis, suscitant les inquiétudes de défenseurs de la vie privée sur internet. “Nous voulons aider à protéger les enfants contre les prédateurs qui utilisent des outils de communication pour les recruter et les exploiter, et limiter la diffusion de contenus pédopornographiques”, a expliqué le groupe sur son site.  Pour ce faire, Apple prévoit d’utiliser des outils de cryptographie pour comparer les photos téléchargées sur son serveur iCloud avec celles entreposées dans un fichier géré par le Centre national des enfants disparus et exploités (NCMEC).  Le groupe assure qu’il n’a ainsi pas directement accès à l’image.  Quand une photo semble similaire à celle du fichier, Apple ira manuellement vérifier, désactivera le cas échéant le compte de l’utilisateur et enverra un rapport au Centre.  Le groupe prévoit par ailleurs de scanner les images envoyées ou reçues via le service de messagerie iMessage sur les comptes d’enfants liés à un abonnement familial.  Quand des photos explicites sont repérées, elles seront alors floutées et l’enfant sera renvoyé vers des messages de prévention avant de pouvoir éventuellement les ouvrir ou les envoyer. Les parents pourront, s’ils le décident, choisir de recevoir un message quand leur enfant reçoit ou envoie de telles photos.  L’assistant vocal Siri sera aussi formé à “intervenir” quand des utilisateurs font des recherches d’images pédopornographiques en les prévenant que ces contenus sont problématiques.  Ces outils seront disponibles progressivement avec les prochaines mises à jour des systèmes d’exploitation sur les iPhone, iPad, iWatch et iMac aux Etats-Unis. Confidentialité Ces changements “marquent une rupture significative par rapport aux protocoles de confidentialité et de sécurité établis de longue date”, a estimé le Centre…