“Wicked” et “Gladiator II” offrent des affrontements nostalgiques et à moitié satisfaisants
Avec un retour musical à Oz et une épopée sanglante de la Rome antique, les studios hollywoodiens parient sur le spectacle à gros budget.
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À l’occasion de ses nouvelles mémoires, l’acteur de “Dune” réfléchit à certaines de ses expériences de lecture formatrices.
Les poèmes créés par l’intelligence artificielle (IA) sont généralement plus appréciés que ceux composés par des humains.
Une étude récente menée par l’Université de Pittsburgh met en lumière une découverte étonnante. Les lecteurs non experts, qui ont pris part à l’étude, trouvent les poèmes d’IA plus accessibles et simples, une caractéristique qui semble faire toute la différence.
Les chercheurs ont présenté des poèmes de 10 poètes emblématiques, tels que Emily Dickinson et Shakespeare. Ils ont également inclus des poèmes imitant leurs styles, générés par ChatGPT 3.5. Les participants ont fréquemment cru que les poèmes d’IA étaient rédigés par des humains. Étonnamment, ils ont même jugé les poèmes humains comme étant moins authentiques. Cette tendance démontre la compétence de l’IA à reproduire des styles complexes tout en demeurant accessible.
La « complexité et l’opacité » des poèmes humains attirent les amateurs éclairés. Cependant, ces attributs peuvent décourager les lecteurs occasionnels. À l’opposé, les poèmes d’IA transmettent émotions et thèmes de manière plus immédiate. Grâce à cette clarté, l’IA capte l’attention des lecteurs qui désirent une lecture rapide et limpide. Ces derniers n’ont souvent ni le temps ni l’envie d’explorer un texte en détail.
Les participants ont aussi jugé les poèmes d’IA comme étant d’une meilleure qualité globale. Ce constat remet en question les idées reçues sur la poésie. Cela amène à se demander : que recherchent les lecteurs dans un poème ? La réponse varie selon leurs attentes et leur expérience littéraire.
La poétesse Joelle Taylor, récipiendaire du prix TS Eliot, a réagi à cette étude. Un poème ne consiste pas seulement en une série d’algorithmes sophistiqués. « La poésie va au-delà d’une simple logique », déclare-t-elle. Elle définit cet art comme un mélange d’émotions, de contestation et de surprises inattendues. Joelle Taylor critique également les bases de données utilisées pour former l’IA. À ses yeux, ces modèles reflètent des traditions anciennes et peu diversifiées, éloignées de la richesse de la poésie humaine contemporaine.
Les chercheurs de l’étude incitent à réfléchir sur la régulation de l’IA. Ils préconisent d’assurer une transparence concernant l’origine des textes générés. Les lecteurs doivent savoir si un écrit émane d’une machine ou d’un auteur humain. L’IA doit-elle devenir une norme en matière artistique ? Cette question complexe pousse à redéfinir la place des émotions humaines dans la création.
Je trouve cette demande des chercheurs plutôt utopique. Comment pourrait-on réellement restreindre les machines à rédiger des poèmes en toute liberté ? Si l’intention est d’attirer plus de lecteurs plutôt que de s’investir dans des récits élaborés, ils devraient plutôt standardiser leur méthode et adhérer à la simplicité des IA.
Des influenceurs générés par l’IA à partir d’images volées de créateurs de contenu pour adultes de la vie réelle inondent les réseaux sociaux.
Ben Affleck a récemment exprimé ses réflexions sur l’influence de l’IA dans l’industrie cinématographique. Lors du sommet CNBC Delivering Alpha 2024, il a partagé son point de vue nuancé sur cette technologie. Un extrait de ses propos a rapidement circulé sur les réseaux sociaux, suscitant un vif intérêt auprès des passionnés de cinéma.
Il soutient que, bien que l’IA soit sophistiquée, elle demeure un outil limité en matière de création artistique. Elle reproduit et interprète des idées, mais ne produit rien d’authentiquement novateur. De plus, Affleck qualifie les systèmes d’IA d’ artisans dépourvus d’un vrai jugement artistique. Selon lui, l’art est basé sur un savoir-faire subtil que l’IA n’a pas.
Cependant, Affleck admet que l’IA pourrait transformer certains volets de la production cinématographique. Elle pourrait alléger les tâches ardues, diminuer les dépenses et raccourcir les délais de production. Par exemple, des séries comme House of the Dragon pourraient voir leur production accélérée grâce à ces avancées technologiques.
Les effets visuels seraient particulièrement touchés. L’IA promet de rendre les effets spéciaux plus accessibles et transforme d’ailleurs ce domaine. Affleck met en garde contre le fait que l’automatisation due à l’IA représente une menace pour les professionnels des effets spéciaux. Ils doivent vite s’adapter, sinon ils risquent d’être dépassés.
Affleck envisage aussi l’IA comme une chance de compenser les pertes de revenus liés aux DVD. Il imagine des scénarios où les studios offriraient du contenu personnalisé, créé par IA. En outre, les fans pourraient générer des vidéos avec des avatars de leurs héros, semblablement à l’achat de produits dérivés aujourd’hui.
Ce contenu généré pourrait captiver les spectateurs les plus dévoués, même s’il peut manquer d’originalité. En effet, Affleck souligne que ces propositions seraient sans doute instables et un peu bizarres. Néanmoins, l’idée de rentabiliser des expériences personnalisées pourrait séduire les producteurs de l’industrie.
Cependant, Affleck souligne : la création cinématographique restera essentiellement humaine. L’IA ne génère rien de véritablement novateur ; elle assemble et reproduit. Le jugement artistique est ainsi irremplaçable. De cette manière, le cinéma, emmené par des réalisateurs et des acteurs, continuera de se transformer tout en préservant l’essence créative de l’art.
L’Exposition de Madrid a l’intention de sauver la technique – la peinture colorée appliquée aux statues – des siècles d’indifférenceDans un coin sombre du Prado, non loin d’une crucifixion surdimensionnée et d’une sculpture d’un Christ mort, couché avec des yeux de verre, des dents d’ivoire et des ongles en corne, se trouve une autre représentation de Jésus qui est remarquable par sa poignance, son humanité et son histoire.La petite scène en terre cuite peinte, intitulée Los primeros pasos de Jesús (Les Premiers Pas de Jésus), est domestique plutôt que divine et montre un nourrisson joufflu et rayonnant se dirigeant vers son père tout aussi rayonnant. Son créateur était l’artiste baroque espagnole Luisa Roldán qui, bien qu’elle soit devenue la première femme sculptrice de la cour royale en 1692, fait seulement maintenant ses débuts dans le musée sacré de Madrid. Continue reading…
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