Get in—Nous poursuivons un Waymo vers l’avenir
Talonner un robotaxi pendant des heures et des heures est bizarre. Et révélateur. Et suscite la jalousie. Mais un monde sans conducteur arrive pour nous tous. Alors ferme la porte et boucle ta ceinture.
Talonner un robotaxi pendant des heures et des heures est bizarre. Et révélateur. Et suscite la jalousie. Mais un monde sans conducteur arrive pour nous tous. Alors ferme la porte et boucle ta ceinture.
Ben Affleck a récemment exprimé ses réflexions sur l’influence de l’IA dans l’industrie cinématographique. Lors du sommet CNBC Delivering Alpha 2024, il a partagé son point de vue nuancé sur cette technologie. Un extrait de ses propos a rapidement circulé sur les réseaux sociaux, suscitant un vif intérêt auprès des passionnés de cinéma.
Il soutient que, bien que l’IA soit sophistiquée, elle demeure un outil limité en matière de création artistique. Elle reproduit et interprète des idées, mais ne produit rien d’authentiquement novateur. De plus, Affleck qualifie les systèmes d’IA d’ artisans dépourvus d’un vrai jugement artistique. Selon lui, l’art est basé sur un savoir-faire subtil que l’IA n’a pas.
Cependant, Affleck admet que l’IA pourrait transformer certains volets de la production cinématographique. Elle pourrait alléger les tâches ardues, diminuer les dépenses et raccourcir les délais de production. Par exemple, des séries comme House of the Dragon pourraient voir leur production accélérée grâce à ces avancées technologiques.
Les effets visuels seraient particulièrement touchés. L’IA promet de rendre les effets spéciaux plus accessibles et transforme d’ailleurs ce domaine. Affleck met en garde contre le fait que l’automatisation due à l’IA représente une menace pour les professionnels des effets spéciaux. Ils doivent vite s’adapter, sinon ils risquent d’être dépassés.
Affleck envisage aussi l’IA comme une chance de compenser les pertes de revenus liés aux DVD. Il imagine des scénarios où les studios offriraient du contenu personnalisé, créé par IA. En outre, les fans pourraient générer des vidéos avec des avatars de leurs héros, semblablement à l’achat de produits dérivés aujourd’hui.
Ce contenu généré pourrait captiver les spectateurs les plus dévoués, même s’il peut manquer d’originalité. En effet, Affleck souligne que ces propositions seraient sans doute instables et un peu bizarres. Néanmoins, l’idée de rentabiliser des expériences personnalisées pourrait séduire les producteurs de l’industrie.
Cependant, Affleck souligne : la création cinématographique restera essentiellement humaine. L’IA ne génère rien de véritablement novateur ; elle assemble et reproduit. Le jugement artistique est ainsi irremplaçable. De cette manière, le cinéma, emmené par des réalisateurs et des acteurs, continuera de se transformer tout en préservant l’essence créative de l’art.
a:hover]:text-black [&>a:hover]:shadow-underline-black dark:[&>a:hover]:text-gray-e9 dark:[&>a:hover]:shadow-underline-gray-63 [&>a]:shadow-underline-gray-13 dark:[&>a]:shadow-underline-gray-63″>Le contrôleur de soupape intelligent Aqara T1 fonctionne avec quatre piles AA.
Les forces armées américaines recourent de plus en plus à l’intelligence artificielle, et cette fois-ci, il s’agit d’une mitrailleuse pilotée par IA, dénommée Bullfrog. Cette initiative est menée par l’ACS (Allen Control Systems) et le projet englobe un canon robotisé autonome capable de cibler des drones grâce à une interface alimentée par un logiciel de vision par ordinateur.
Le ministère américain de la Défense a déjà réalisé des tests concernant le projet Bullfrog.
À présent, ACS a pu dévoiler un prototype au Pentagone. Voici d’ailleurs une vidéo démontrant la puissance du Bullfrog.
Steve Simoni, président-directeur général et cofondateur d’ACS, a rapidement partagé ses impressions sur cette mitrailleuse à intelligence artificielle. Il a notamment évoqué le recours intensif aux drones durant le conflit entre la Russie et l’Ukraine.
Il a mentionné les efforts des forces ukrainiennes pour abattre ces appareils avec des fusils AK-47, sans succès.
Devant ce constat, son équipe a perçu une occasion dans le domaine de la robotique. Selon lui, bien qu’il soit difficile pour un être humain de toucher une cible en mouvement, un système automatisé doté de vision par ordinateur et d’algorithmes d’IA peut relever ce défi.
<pSelon le PDG d’ACS, automatiser complètement le processus est devenu une nécessité, en raison des capacités uniques de vol des drones.
Simoni explique que son équipe d’ingénieurs en électricité a déterminé les besoins techniques du projet.
Pour intercepter un drone capable d’accélérations de cinq G à plusieurs centaines de mètres, un système de très haute précision était indispensable.
Ce système devait avant tout intégrer un moteur alimenté par une source électrique stable, associé à des encodeurs pour un suivi en temps réel de l’emplacement de l’arme.
Il souligne que faire opérer un tel dispositif par un humain avec un fusil M4 aurait présenté de sérieux défis.
En revanche, le développement du système Bullfrog à l’ACS s’inscrit dans une perspective plus large de modernisation des forces armées.
Par conséquent, les forces américaines doivent élargir leurs options anti-drones, par exemple en développant un éventail de systèmes d’armement à distance et semi-autonomes.
C’est à ce niveau qu’est venue l’idée de tester d’autres solutions, comme les chiens robots, au Moyen-Orient plus tôt dans l’année.
Un des principaux atouts du Bullfrog concerne son coût opérationnel très compétitif par rapport à d’autres systèmes d’armement.
Cependant, le système demeure sous contrôle humain. Conformément aux normes établies pour les systèmes d’armes létales autonomes, une validation manuelle est nécessaire avant chaque tir,
Néanmoins, comme l’indique Brice Cooper, directeur stratégique d’ACS, la plateforme possède déjà les capacités techniques permettant une autonomie totale, ne dépendant que de l’évolution des besoins du gouvernement.
Cette possibilité soulève cependant des questions éthiques importantes. Mike Clementi, ancien député spécialisé dans le financement de la défense, remet en question la capacité du Bullfrog à distinguer de manière fiable les alliés des ennemis.
Il souligne que l’automatisation complète constituerait un tournant historique dans les pratiques militaires traditionnelles, où l’intervention humaine a toujours joué un rôle dans le processus de prise de décision.
Les citoyens américains résidant dans un parc de mobile homes en Californie, ou près d’une usine désaffectée dans le Michigan, et ayant voté pour Donald Trump, ont-ils manqué de compréhension ? C’est ce qu’ont insinué certains analystes pour commenter la défaite des démocrates, soulignant le paradoxe entre cet échec électoral et le bilan économique plutôt positif du président en fonction, Joe Biden.
Sa tactique, axée sur un investissement public massif, un protectionnisme réajusté pour favoriser le développement des industries écologiques, ainsi que des augmentations fiscales, semblait avoir porté ses fruits : depuis l’entrée en fonction de Biden, l’emploi a augmenté de 12 %, le salaire moyen de 19 % et le taux de chômage est tombé à 4,1 %, approchant son plus bas historique. Tout cela tout en freinant l’envolée des prix causée par la pandémie de Covid et la guerre en Ukraine.
Plus qu’un simple slogan électoral, les « Bidenomics », appellation de cette stratégie économique, ont marqué un véritable changement idéologique aux États-Unis, avec le retour de l’État au cœur des préoccupations.
Pourtant, seulement un quart des personnes interrogées par CNN au lendemain des élections présidentielles estimaient que leur situation économique s’était améliorée par rapport à il y a quatre ans, les autres y voyant au mieux une stagnation, et souvent une dégradation.
Parmi ceux qui ont une vision négative de la situation économique, 70 % ont voté Trump. Comme en 2016, le magnat a reçu le soutien de la classe moyenne, que les démocrates espéraient bien récupérer.
Comment expliquer ce paradoxe apparent, entre un bon bilan macroéconomique pour Joe Biden et une désapprobation des électeurs vis-à-vis des démocrates en matière économique ?
Les attentes étaient élevées lors de l’investiture de Biden : le pays sortait d’une récession post-pandémie de Covid-19, la reprise demeurait fragile et le chômage atteignait 14,7 %. En réponse aux crises majeures, le président a débloqué des milliards de dollars en crédits d’impôts et allocations pour préserver le pouvoir d’achat des ménages et soutenir l’activité économique.
Cette approche a porté ses fruits, mais a conduit à un creusement du déficit public. Actuellement, la dette fédérale s’élève à 35 500 milliards de dollars, soit une hausse de 29 % depuis l’arrivée de Biden à la Maison Blanche.
Une somme que les Américains appréhendent de devoir rembourser, alors que l’inflation les a contraints à épuiser leur épargne accumulée pendant la période de Covid pour maintenir leur consommation, une fois les aides exceptionnelles stoppées. 37 % des ménages affirment qu’ils seraient incapables de couvrir une dépense imprévue de 400 dollars sans recourir à un endettement.
<pPourquoi les aides publiques n’ont-elles pas suffi ? Très vraisemblablement parce que les salaires n’ont pas évolué parallèlement à l’inflation. Durant la campagne, les Démocrates ont souligné que l’augmentation des prix commençait enfin à ralentir. Cependant, les électeurs n’ont pas oublié le déroulement complet de la séquence inflationniste.
En effet, même si la hausse de l’inflation est désormais moins rapide, nous sommes encore loin d’une déflation (une baisse des prix), qui permettrait d’annuler les hausses précédentes. Certaines dépenses nécessaires ont connu une forte augmentation entre l’investiture et la défaite de Biden : + 23 % pour le logement et l’alimentation, + 13 % pour le transport, + 12 % pour l’éducation et + 8 % pour la santé.
Une augmentation des prix ne constitue pas nécessairement un problème… si les salaires progressent en conséquence. Ce qui n’a pas été le cas de manière suffisante. L’économiste Lucas Chancel a récemment rappelé qu’entre 2020 et 2023, le revenu disponible avant redistribution des 50 % des Américains les moins riches a crû moins rapidement que celui de l’ensemble de la population. En revanche, entre 2016 et 2020, la moitié la plus pauvre de la population avait vu sa situation se renforcer davantage que la moyenne.
« L’inflation a sapé le pouvoir d’achat. Les salariés n’oublient pas qu’ils ont été lésés pendant la période où l’inflation était supérieure à la hausse de leur salaire », confirme François Geerolf, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).
En tenant compte de l’inflation et de la distribution des emplois par secteur, le salaire horaire moyen a diminué de 1,54 dollar entre 2020 et 2024 aux États-Unis.
« Une grande partie du vote pour Trump est le reflet de la colère des électeurs face à cette situation : ils ont travaillé durement et ont l’impression de ne pas avoir été récompensés », indique Cécile Coquet-Mokoko, professeure en civilisation américaine à l’université de Versailles St-Quentin-en-Yvelines. À tel point que dans la « Rust Belt » (« ceinture de la rouille »), un ancien bastion industriel du Nord-Est, le bleu démocrate des élections de 2020 est désormais en train de virer au rouge républicain.
Pourquoi les bons chiffres de l’emploi n’ont-ils pas agi comme un rempart contre l’inflation ? Il existe d’abord des raisons conjoncturelles : les négociations salariales, pour s’ajuster à l’augmentation des prix, prennent toujours du temps. Cela peut sembler être un lointain souvenir maintenant, car les salaires progressent plus rapidement que l’inflation. Mais pendant ce temps, la fin de mois de nombre d’employés a été délicate.
Au-delà de cet aspect temporel, des changements plus fondamentaux affectent la structure de l’emploi. Les deux législations clés du mandat de Joe Biden – l’Inflation Reduction Act (IRA) et le CHIPS and Science Act – avaient vocation à créer des « good jobs ». Cela signifie : des emplois manufacturiers bien rémunérés avec des avantages sociaux. Cependant, ces 800 000 postes tant espérés « ne suffisent pas à compenser les millions d’emplois manufacturiers perdus depuis les années 2000 », remarque François Geerolf.
S’il manque ces « good jobs », c’est, selon l’économiste Dani Rodrik, parce que les mesures de soutien actuelles à l’investissement ciblent des secteurs où la productivité dépend davantage de l’automatisation et de nouvelles technologies que de la main-d’œuvre humaine. En d’autres termes, les nouvelles usines font appel à de nombreuses machines et peu d’ouvriers.
Par exemple, l’ouverture d’une usine de puces électroniques en Arizona cette année devrait « générer à peine 6 000 emplois manufacturiers, ce qui représente plus de 10 millions de dollars investis par emploi créé », explique-t-il.
Les services, notamment l’entretien et le soin aux personnes, ont déjà été le moteur des 16 millions de postes créés en quatre ans. Cependant, la classe moyenne cherche à éviter ces emplois moins bien rémunérés.
Dans un pays où « le succès s’acquiert par le travail », selon Cécile Coquet-Mokoko, la précarisation de l’emploi est perçue comme un obstacle à l’ascension sociale. Cet mécontentement est amplifié par le fait que les aides publiques sont perçues de manière variable de l’autre côté de l’Atlantique. De son expérience aux États-Unis, elle se souvient que « l’État providence est quelque chose de mal vu dans la société américaine ; les Américains ont une répulsion à dépendre d’un État protecteur ».
Ainsi, la chercheuse ajoute que « certains votent Trump car ils admirent la figure qu’il représente, un homme qui aurait atteint le sommet grâce à son intelligence et à son audace ».
Conscient de ces éléments, le camp démocrate a proposé d’instaurer un salaire minimum fédéral de 15 dollars de l’heure. Cela reste cependant insuffisant pour endiguer le mouvement des travailleurs vers le parti de Donald Trump.
Enfin, la politique monétaire a entraîné des conséquences néfastes pour les ménages à faibles revenus. En maintenant des taux bas de 2020 à 2022, la Fed (la banque centrale américaine) a certes soutenu l’activité économique, un bénéfice pour les plus défavorisés. Mais cela a également contribué à l’augmentation des prix des actifs financiers et immobiliers, enrichissant les « Américains détenteurs d’un patrimoine confortable, souvent des seniors, dont beaucoup vivent aujourd’hui de leurs rentes », décrit l’économiste Véronique Riches-Flores.
Pour les primo-accédants, acquérir un logement est devenu presque impossible.
« Ceux qui avaient un peu possèdent maintenant beaucoup, tandis que les autres, les défavorisés, accèdent à de moins en moins de choses », résume l’économiste.
Dans ce contexte social tendu, des formes de racisme sont faciles à attiser. « Les républicains ont appelé aux craintes et émotions de l’électorat », indique Cécile Coquet-Mokoko. En affirmant, par exemple, que les emplois créés allaient aux immigrés, Trump a rassemblé les jeunes électeurs et les Latinos. Pour cause : « les générations récemment intégrées, telles que les Latinos, ferment la porte derrière elles par crainte de perdre leurs acquis », complète François Geerolf.
Cependant, ces acquis ne seront pas mieux protégés par Donald Trump. Au contraire.
« Avec la réduction des aides sociales et un protectionnisme qui fera grimper le prix des biens, la classe moyenne risque de déchanter », avertit Véronique Riches-Flores.
Avec Trump, c’est effectivement le retour de la théorie du ruissellement, qui soutient que des baisses d’impôts pour les plus riches stimuleront la croissance au profit de tous.
Découvrez comment OpenAI intégrera l’IA dans notre vie quotidienne à travers la révolution robotique. Qu’est-ce que cela a à nous offrir pour l’avenir ? La réponse se trouve ci-après !
Après avoir repoussé les limites du langage avec ChatGPT, OpenAI se penche maintenant sur un secteur qui suscite à la fois excitation et interrogations : la robotique. Et avec l’arrivée d’une ancienne dirigeante de Meta à la tête de la branche robotique d’OpenAI, cette évolution se réalisera plus rapidement que prévu.
Leur but ? Extirper l’intelligence artificielle des écrans pour l’intégrer dans notre réalité physique. Ce développement pourrait changer en profondeur de nombreux aspects de notre vie quotidienne, des tâches ménagères à la gestion industrielle, en passant par les soins de santé.
Depuis sa fondation, OpenAI a concentré ses ressources sur les IA logicielles. Cela inclut notamment ChatGPT, conçu pour fonctionner dans des environnements virtuels ou de traitement de données. Cependant, l’entreprise a indiqué son projet d’explorer la robotique physique. Elle prévoit d’associer des algorithmes d’apprentissage machine à des appareils capables d’interagir directement avec le monde tangible.
En d’autres termes, OpenAI va incorporer l’IA dans la révolution robotique ! L’enjeu ne se limite pas à créer des robots intelligents, mais à leur fournir une compréhension contextuelle suffisante pour réaliser une variété de tâches adaptées aux besoins concrets.
En intégrant des systèmes d’IA dans la robotique, OpenAI cherche à développer des robots capables d’apprendre rapidement et de manière autonome. Cette compétence améliorera leur rendement au fur et à mesure de leurs expériences. Les possibilités d’application seront considérables, surtout dans les entrepôts, où des robots pourraient trier et classer des produits. De même, dans le domaine de la santé, où l’assistance aux équipes soignantes pourrait être automatisée pour les tâches répétitives ou épuisantes.
Dans le secteur de l’automatisation domestique, des robots IA capables de comprendre et d’exécuter des ordres verbaux pourraient transformer notre approche des tâches quotidiennes : nettoyer, faire des courses ou surveiller des appareils. Grâce aux technologies d’apprentissage par renforcement, ces robots seront en mesure de s’adapter à de nouveaux environnements et d’exécuter diverses instructions.
La possibilité de robots IA interagissant dans nos espaces physiques soulève des préoccupations concernant la sécurité et l’éthique. OpenAI a de son côté déclaré son intention de mettre en place des protocoles de sécurité rigoureux. Ceux-ci auront pour objectif de gérer le comportement de ces robots en cas d’interactions imprévues avec des humains ou des animaux.
De plus, des comités d’éthique ont été créés pour analyser les conséquences des applications de l’IA robotique dans la vie quotidienne. Leur rôle sera de s’assurer que ces technologies soient employées de manière éthique tout en respectant les lois. Toutefois, cette promesse sera-t-elle suffisante pour prévenir les dérives de ces robots IA ?
Je soutiens que, grâce à ce nouveau tournant vers la robotique, OpenAI ne se contente plus de simuler le langage et la pensée humaine. Ils cherchent à établir une interaction directe et dynamique entre l’IA et notre environnement physique. Une avancée qui nous projette vers un avenir semblable à la science-fiction. Les robots de demain seront des alliés incontournables de notre quotidien. Êtes-vous d’accord avec cette vision, ou pensez-vous que l’intégration des robots dans notre vie quotidienne est une perspective dystopique ?
Au cœur de Roubaix, des agences dédiées à l’intelligence artificielle générative se développent pour stimuler l’innovation dans les domaines créatifs et technologiques. Avec une expertise distinctive, ces agences offrent des solutions personnalisées pour satisfaire une clientèle avide de nouveauté. Apprenez comment ces acteurs exploitent leurs compétences pour transformer le paysage numérique, en se concentrant sur l’intégration, la formation et l’optimisation des processus grâce à l’IA générative.
La génération d’IA est essentielle à la transformation numérique d’aujourd’hui. À Roubaix, des agences comme Distilia s’emploient à maximiser l’efficacité et l’innovation des entreprises en développant des produits adaptés et en améliorant les processus en place. Grâce à une approche intégrée, elles soutiennent les entreprises dans l’adoption de l’IA pour réussir leur transformation numérique. Découvrez leur philosophie dans cette présentation de l’agence Ideine.
Les agences de Roubaix vont au-delà de l’intégration de l’IA. Elles offrent également des formations personnalisées pour guider les entreprises dans cette révolution technologique. Par exemple, l’agence Smartforge fournit des formations d’initiation à l’intelligence artificielle, explorant des techniques avancées comme ChatGPT et l’automatisation des tâches. Ces sessions permettent aux entreprises de maîtriser les outils d’IA générative pour en maximiser l’utilisation au quotidien.
Roubaix est un environnement fertile pour l’innovation, soutenu par un écosystème énergique composé de ses entreprises technologiques. L’établissement d’ovhCloud témoigne de cet intérêt pour l’IA, investissant constamment dans le secteur de l’intelligence artificielle générative. Découvrez les contributions notables de Roubaix dans ce domaine d’avenir sur Digitad.
Des agences bien établies, telles que JUST AI, et des entrants récents, comme NetDevices, s’attachent à développer l’IA générative. Ces spécialistes locaux, comme Logitourisme, proposent des solutions innovantes à Roubaix. La variété des services offerts reflète l’évolution continue du secteur, qui s’efforce de répondre de plus en plus précisément aux besoins des clients.
Les agences de Roubaix investissent également dans des outils génératifs pour l’image et le contenu visuel. Des générateurs d’images IA prévus pour 2024 dévoilent un potentiel créatif énorme. Ces outils permettent de réaliser des visuels captivants qui enrichissent le contenu des marques. Pour en savoir plus, consultez les meilleurs générateurs d’images par IA.
Dans une approche proactive, des entreprises comme Gestia Solidaire illustrent la capacité de Roubaix à attirer des financements et à multiplier les opportunités de développement local. En se concentrant sur la formation, la recherche et l’innovation, Roubaix s’affirme comme un centre névralgique dans le domaine de l’IA générative.
Il s’est écoulé deux longues années depuis le lancement de Matter — le seul standard de maison intelligente conçu pour tous les régner — et il y a eu un bon nombre de déceptions autour d’un déploiement parfois bogué, d’une adoption lente par des entreprises comme Apple, Amazon et Google, et d’expériences de configuration frustrantes. Cependant, le lancement de la spécification Matter 1.4 cette semaine montre quelques signes que la Connectivity Standards Alliance (CSA, l’organisation derrière Matter) utilise plus de bâtons et moins de carottes pour amener la coalition de l’industrie de la maison intelligente à coopérer. La nouvelle spécification introduit l’« administration multi-renforcée », une amélioration de la multi-administration — la fonctionnalité d’interopérabilité très vantée qui signifie que votre lumière intelligente Matter peut fonctionner dans plusieurs écosystèmes simultanément. Elle apporte une solution pour faire fonctionner les routeurs de frontière Thread de différentes entreprises ensemble et introduit une manière potentiellement plus facile d’ajouter une infrastructure Matter dans les maisons via des routeurs Wi-Fi et des points d’accès. On peut dire que tout cela aurait dû être en place au moment du lancement de Matter. Mais maintenant, deux ans plus tard, la CSA met enfin en œuvre les corrections qui pourraient aider à faire avancer le standard. Ce sont toutes des choses qui auraient dû être en place lors du lancement de Matter. Matter 1.4 apporte également de grandes mises à jour au support de la gestion de l’énergie, y compris l’ajout de pompes à chaleur, de batteries domestiques et de panneaux solaires en tant que types de dispositifs Matter. Décevant, les caméras de sécurité n’ont pas été incluses cette fois. Le CTO de la CSA, Chris LaPré, a déclaré à The Verge que bien que le support des caméras fasse toujours partie du plan, il n’y a pas de calendrier pour une…
Cela fait deux longues années depuis le lancement de Matter — le seul standard de maison intelligente conçu pour tous les régner — et il y a eu une certaine déception autour d’un déploiement parfois bogué, d’une adoption lente par des entreprises comme Apple, Amazon et Google, et d’expériences de configuration frustrantes. Cependant, le lancement de la spécification Matter 1.4 cette semaine montre des signes que la Connectivity Standards Alliance (CSA, l’organisation derrière Matter) utilise plus de bâtons et moins de carottes pour amener la coalition de l’industrie de la maison intelligente à coopérer. La nouvelle spécification introduit le « multi-admin amélioré », une amélioration du multi-admin — la fonctionnalité d’interopérabilité très vantée qui signifie que votre lumière intelligente Matter peut fonctionner dans plusieurs écosystèmes simultanément. Elle apporte une solution pour faire jouer ensemble les routeurs de bordure Thread de différentes entreprises et introduit une façon potentiellement plus simple d’ajouter l’infrastructure Matter aux maisons via des routeurs Wi-Fi et des points d’accès. On peut dire que cela aurait dû être en place quand Matter a été lancé. Mais maintenant, deux ans plus tard, la CSA met enfin en œuvre les corrections qui pourraient aider à faire avancer le standard. Ce sont toutes des choses qui auraient dû être en place lorsque Matter a été lancé. Matter 1.4 apporte également de grandes mises à jour pour le support de la gestion de l’énergie, y compris l’ajout de pompes à chaleur, de batteries domestiques et de panneaux solaires en tant que types de dispositifs Matter. Décevant, les caméras de sécurité n’ont pas été incluses cette fois-ci. Le CTO de la CSA, Chris LaPré, dit à The Verge que bien que le support pour les caméras fasse toujours partie du plan, il n’y a pas de calendrier pour une sortie. Cependant,…
Le nouveau Mac Mini d’Apple ressemble à quelqu’un qui a frappé le Mac Studio avec un rayonnement de réduction, et j’adore ça. Mais il y a au moins un, euh, problème sensible : vous devez l’atteindre en dessous pour l’allumer. Si cela vous dérange (et que vous n’aimez pas le retourner pour qu’il ressemble à un petit chapeau), vous pouvez automatiser son démarrage et son arrêt en créant un horaire d’alimentation. Je vais vous dire comment. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles vous pourriez vouloir faire cela. Je l’ai fait sur mon MacBook Air parce que je ne l’utilise pas très souvent, et j’en ai eu assez d’ouvrir son couvercle seulement pour trouver un ordinateur portable à l’arrêt. Quelqu’un d’autre pourrait vouloir que son ordinateur se réveille au milieu de la nuit pour effectuer des sauvegardes programmées. D’autres pourraient avoir besoin d’éteindre leur Mac pour des raisons professionnelles. Il était une fois, vous pouviez créer un tel horaire en utilisant un menu de paramètres facile dans Préférences Système. Malheureusement, cette fonctionnalité particulière n’a pas fait le saut vers macOS Ventura lorsque Apple a remplacé Préférences Système par l’application Paramètres système semblable à iOS. La bonne nouvelle est qu’ même après qu’Apple ait supprimé ses paramètres d’horaire d’alimentation faciles à utiliser, vous pouvez toujours créer les automatisations qu’elle permettait. La mauvaise nouvelle est que vous devez utiliser l’outil de ligne de commande d’Apple, Terminal, pour le faire. C’est une tâche décourageante si vous n’avez jamais joué avec des interfaces de ligne de commande, et les instructions d’assistance d’Apple pour configurer l’horaire d’alimentation de cette manière ne sont pas très utiles. Mais ne vous inquiétez pas. Je vais vous décrire comment faire ci-dessous. Mais d’abord, quelques notes. a:hover]:shadow-highlight-franklin dark:[&>a:hover]:shadow-highlight-franklin [&>a]:shadow-underline-black dark:[&>a]:shadow-underline-white”>Comment configurer un horaire d’alimentation macOS a:hover]:text-gray-63 [&>a:hover]:shadow-underline-black dark:[&>a:hover]:text-gray-bd dark:[&>a:hover]:shadow-underline-gray [&>a]:shadow-underline-gray-63…
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