Le prix que le Liban paie pour la guerre Hezbollah-Israël
Les partisans du groupe restent fermes face au déplacement généralisé et aux milliers de décès.
Les partisans du groupe restent fermes face au déplacement généralisé et aux milliers de décès.
Alors que la guerre se prolonge, les défis logistiques sont compliqués par la politique, des évacuations répétées et la peur d’être tué.
Même de nombreux critiques les plus sévères de Benjamin Netanyahu ont soutenu la campagne militaire à Gaza. “Nous voyons une guerre différente de celle que vous voyez,” déclare l’écrivain Yossi Klein Halevi.
Le romancier Howard Jacobson a soutenu qu’une trop grande couverture médiatique des enfants palestiniens morts est une nouvelle forme de “calomnie du sang” contre les Juifs.
ISRAËL – Les adversaires du Premier ministre israélien sortant Benjamin Netanyahu n’ont plus que quelques heures, ce mercredi 2 juin, pour annoncer un accord sur un nouveau gouvernement censé propulser le pays dans une “nouvelle ère” et tourner la page sur plus de deux ans de crise politique. Des tractations marathon se sont poursuivies tard dans la nuit de mardi à mercredi à l’approche de la date-butoir fixée, à mercredi soir par la présidence pour la formation d’une coalition. Mais que ce soit fumée noire ou fumée blanche, le bloc de l’opposition devra de préférence annoncer ses résultats avant 11h00 GMT et le début d’un vote en plénière au Parlement pour désigner le prochain président de l’État hébreu, une fonction largement honorifique. “Nous sommes dans la bonne direction” Les négociations ont rassemblé pendant trois jours les équipes des principaux dirigeants de la gauche, du centre et d’une partie de la droite, dont celle de Yamina, la coalition du chef de file de la droite radicale Naftali Bennett, pressenti comme futur Premier ministre dans le cadre d’une rotation au pouvoir. “Tout le monde travaille dur pour essayer de finaliser un accord dès que possible”, a indiqué mardi en fin de soirée à l’AFP une source proche des discussions menées autour du centriste Yaïr Lapid. “Nous sommes dans la bonne direction”, avait affirmé le dirigeant de la formation arabe israélienne Raam (islamiste, 4 députés), Mansour Abbas, en arrivant à la réunion. “Tant que ce n’est pas fini, rien n’est fini”. Surmonter les divisions et les prétentions ministérielles Les regards sont tournés vers cette formation et l’autre parti arabe israélien, la Liste unie, alors qu’il ne reste au camp anti-Netanyahu que quatre soutiens à rallier pour atteindre le seuil de 61 députés requis pour pouvoir former un gouvernement. Mansour Abbas s’est dit dans le…
ISRAËL – Prise 4, action! Plus de 6,5 millions d’Israéliens votent ce mardi 23 mars pour une quatrième élection en moins de deux ans qui porte sur l’avenir politique du Premier ministre Benjamin Netanyahu, jugé pour “corruption” mais aussi architecte d’une intense campagne de vaccination anti-Covid. Les bureaux de vote ont ouvert à 6h et doivent fermer à 21h, prélude à la diffusion des premiers sondages à la sortie des bureaux de vote. Pour ou contre “Bibi” ?, surnom de Benjamin Netanyahu. Telle reste la question d’un feuilleton politique qui n’en finit pas. “J’espère que c’est la dernière élection” afin de pouvoir mettre un terme à la crise politique, a d’ailleurs lancé le Premier ministre sortant en votant à Jérusalem. Pour ce quatrième épisode, les acteurs ont changé. Le général Benny Gantz, rival de Benjamin Netanyahu lors des trois précédents scrutins âprement disputés, a vu son étoile politique pâlir après avoir pactisé avec son ancien ennemi, pour former au printemps dernier un gouvernement “d’urgence” face à la crise sanitaire. Succès de la vaccination anti Covid-19 Ce gouvernement a implosé en décembre, rupture sur laquelle Benjamin Netanyahu a vite tiré un trait en lançant presque aussitôt une intense campagne de vaccination à la faveur d’un accord avec le géant pharmaceutique Pfizer: des millions de doses ont été livrées en échange de données biomédicales sur les effets du vaccin anti Covid-19. Aussi Benjamin Netanyahu, 71 ans, dont les 12 derniers au pouvoir, a-t-il orchestré sa campagne électorale autour des succès de la vaccination. Près de 50% de la population a reçu les deux doses… c’est-à-dire près des deux tiers des électeurs. Face à Benjamin Netanyahu, les premiers rôles reviennent désormais au centriste Yaïr Lapid, au frondeur Gideon Saar et au ténor de la droite radicale Naftali Bennett, suivis par une dizaine de partis qui, dans le système proportionnel israélien, doivent…
Menahem KAHANA / AFPDans la ville de Bnei Brak, près de Tel Aviv en Israël, le 7 septembre 2020. ISRAËL – Benjamin Netanyahu a annoncé ce dimanche 13 septembre un confinement national d’au moins trois semaines faisant ainsi de l’État hébreu la première économie développée à réimposer une telle mesure pour juguler une seconde vague de contamination au coronavirus. “Aujourd’hui, le gouvernement a décidé de mettre en oeuvre un confinement strict de trois semaines avec l’option d’étendre cette mesure”, a déclaré le Premier ministre israélien. Les autorités avaient imposé la semaine dernière un couvre-feu à une quarantaine de villes du pays, notamment dans les villes arabes et juives ultra-orthodoxes, dans l’espoir de freiner la propagation du virus ce qui n’a pas empêché le nombre de cas de progresser. À l’approche des fêtes juives, le pays a vécu les derniers jours sous le signe d’un débat entre tenants d’un “seger khelki” et autres d’un “seger clali”, soit entre défenseurs d’un confinement partiel ou général. Le gouvernement a opté non seulement pour le confinement général, mais a étendu la mesure sur au moins trois semaines, pendant les fêtes juives, pour tenter de limiter la propagation de la Covid-19 au moment où les familles se rassemblent et les fidèles se retrouvent dans les synagogues. Fin du confinement vers le 9 octobre Le confinement entrera en vigueur à partir de vendredi pour la fête de Rosh Hashana (nouvel an juif), se poursuivra pendant Yom Kippour et se terminera au dernier jour de Soukkot, vers le 9 octobre prochain, ont précisé les autorités. Selon les données collectées par l’AFP, Israël est le 2e pays au monde ayant enregistré le plus de cas de nouveau coronavirus par habitant au cours des deux dernières semaines après Bahreïn, nouvel allié avec lequel il doit d’ailleurs signer mardi à Washington…
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