« Il m’a dit que si nous étions victimes de viol en Équipe de France, il faudrait garder le silence »
Antony Blinken a propulsé la diplomatie américaine dans le XXIe siècle. Lui-même est surpris par les résultats
Deux guerres majeures. Une Chine en pleine ascension. Des pirates informatiques partout. Il est le secrétaire d'État américain et il dit qu'il est là pour aider.
Les humains se démènent pour contrôler le climat – à l’aide de drones, de lasers et de sel
Les pays désertiques comme les Émirats arabes unis cherchent des moyens de faire pleuvoir. Les nouvelles technologies pourraient rendre cela possible, mais à quel prix ?
L'ACLU se bat pour votre droit constitutionnel à créer des deepfakes
Les États américains cherchent à criminaliser certaines utilisations de contenu généré par l'IA. Les groupes de défense des droits civiques s'y opposent, arguant que certaines de ces nouvelles lois sont en conflit avec le Premier Amendement.
Elle a gagné 10 000 $ par mois en escroquant des applications comme Uber et Instacart. Rencontrez la reine de la mafia...
Priscila Barbosa est arrivée aux États-Unis avec le rêve de réussir. En utilisant des plateformes de gig economy, elle a bâti un empire commercial à partir de rien. Il y avait juste un énorme problème.
La fête du financement par capital-risque est terminée
Les jours de gloire du capital-risque touchent à leur fin, laissant derrière eux une multitude d'entreprises technologiques surchargées et un marché baissier prêt à s'effondrer.
Télétravail, je t’aime
De nature assez sociable, l’annonce d’un télétravail à durée indéterminée, durant le premier confinement, m’a tout de suite foutu des sueurs froides. L’idée de ne parler à mes collègues qu’à travers à un écran interposé me semblait complètement inhumain. Il s’avère que c’est plutôt le travail au bureau qui l’est. J’en suis aujourd’hui certaine, je n’ai jamais été aussi épanouie professionnellement et personnellement que depuis que je travaille de chez moi. Publicité Détestant terminer à pas d’heure, j’ai toujours préféré commencer un peu plus tôt. Avant la crise sanitaire, j’étais tout à fait déterminée à l’idée de me lever à 6h du matin pour avoir un semblant de vie personnelle avant d’aller au bureau. J’en profitais pour travailler sur mes projets personnels ou faire du sport avant d’enfourner au fond de mon gosier une tranche de pain à la va vite, aller me doucher et prendre part aux cauchemars des Parisiens : les transports en commun. À raison de trois lignes de métro différentes pour aller au travail, je perds littéralement deux heures de ma vie quotidiennement dans les transports. Debout, souvent écrasée entre le sac à dos d’un startupper et une femme d’affaires qui hurle au téléphone, il est rare de pouvoir trouver une place assise pour au moins lire en paix. Y a-t-il plus stressant et épuisant que de voir des gens se tasser et se hurler dessus pour aller au travail ? Comme une sorte d’animal revenu à l’état sauvage, j’ai eu énormément de mal à retrouver le chemin du travail Parfois, j’aperçois mon reflet dans la vitre du métro, mes cernes dépassant de mon masque, je pense à ces moments de bonheur en télétravail. Durant ces deux heures qu’aurais-je pu faire ? Dormir un tout petit plus et avoir quand même le temps de faire du…
Laissez-moi tranquille avec votre télétravail
Cela fait déjà un an et demi qu’on nous gonfle avec le télétravail. Une inévitable révolution pour les entrepreneurs en slim noirs et chemises blanches qui écrivent sur LinkedIn qu’ « en chinois, il n’y a qu’un mot pour crise et opportunité », une boîte de Xanax et un alcoolisme naissant pour d’autres. Au départ contraint de nous plier à ce nouveau modèle de vie jusqu’à devenir des avatars Microsoft Teams en surpoids, le monde d’avant avait fini par nous rattraper, comme pour nous rappeler que rien ne change. Et avec lui, le retour dans nos bureaux mal éclairés où règne l’odeur de plats réchauffés mélangée à celle de nos collègues, venant ainsi abattre le mirage d’un monde fait de digital nomades pratiquant le brand content la journée et les podcast inspirationnels la nuit. J’en ai des frissons en l’écrivant. Bien sûr, ce retour a la normal n’eut le même effet chez tous. Pour les premiers, cela signifiait des trajets quotidiens enfermés dans des rames de trains tel du bétail et des collègues qui étalent leurs jambes sous le bureau avant de vous apostropher de « Ça dej où ? » tous les jours à 11h59. Pour les seconds, ce fut une bénédiction puisque la vie de bureau consiste, la plupart du temps, à discuter du dernier épisode de Koh-Lanta à la machine à café, descendre sur le trottoir fumer quatre clopes avant de ne rien foutre devant un tableau Excel abscons. Et entre les deux, ceux qui ne savent pas. Si aujourd’hui on ne compte que 25% de salariés en télétravail et que la guerre semblait gagnée, une cinquième vague du COVID-19 qui agit comme ce pote lourd qui n’arrive pas à terminer sa vanne (et quelque décisions politiques absurdes) pourrait bien nous faire basculer de nouveau dans le…
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