Pourquoi Josh Brolin aime James Joyce
À l’occasion de ses nouvelles mémoires, l’acteur de “Dune” réfléchit à certaines de ses expériences de lecture formatrices.
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“C’est de la maltraitance“, s’insurge Nassima, qui travaille comme accompagnante d’élève en situation de handicap (AESH) depuis 15 ans. Bien qu’elle soit passionnée par son travail, elle se sent néanmoins épuisée, tout comme une vingtaine d’autres AESH et enseignants rassemblés devant le rectorat de l’académie de Montpellier, ce mercredi 20 novembre. Ils exigent un statut de fonctionnaire, le recrutement urgent d’au moins 200 AESH supplémentaires ainsi qu’une augmentation de leur rémunération.
Le récit de leur quotidien est difficile à entendre. Nassima relate qu’elle a récemment dû déplacer un élève gravement handicapé, sur le sol, sous le regard de tous. Elle n’a plus l’impression de prendre soin de ces enfants de manière digne. “Parfois, ils font des crises, nous lancent des objets, nous crachent dessus, nous insultent“, décrit Nassima. Des situations stressantes qu’elle arrive à comprendre. “Ils sont frustrés, tout comme nous, certains n’ont même pas de notions de langage, donc ils s’expriment par la violence“, souligne l’AESH.
Ce personnel se plaint également de l’organisation de leurs missions. Depuis quelques années, avec la mise en place des PIAL (pôles inclusifs d’accompagnements localisés), les emplois du temps peuvent changer soudainement. Ces modifications compliquent la vie d’enfants qui ont besoin de stabilité. Anita, AESH depuis près de 10 ans, déclare : “Nous arrivons dans des classes où nous ne connaissons personne, avec des enfants dont nous ignorons tout, même leur handicap, et le fonctionnement de l’enseignant“. De plus, elle explique qu’elle doit laisser les élèves qu’elle accompagne depuis plusieurs mois. “C’est compliqué, car un lien de confiance pédagogique se crée, et des émotions nous lient aussi. Nous les aimons et ils nous aiment“, insiste-t-elle.
Parmi les 2.500 AESH de l’Hérault, la majorité sont des femmes, mais quelques hommes exercent également ce métier. Jamel, en poste depuis 2009, est tout aussi engagé dans son travail mais souligne la faiblesse des salaires de ses collègues. “Je suis en 30 heures, donc je parviens à toucher un SMIC, mais la plupart ne dépassent pas les 1.000 euros par mois“, précise-t-il.
Pour toutes ces raisons, les syndicats FO et le SNALC demandent un recrutement urgent d’au moins 200 AESH. Ils souhaitent obtenir un statut de fonctionnaire, non seulement pour échapper à la précarité, mais aussi pour attirer de nouveaux profils. Ils désirent être reconnus et ne plus être “considérés comme des serpillières“.
Après avoir chanté sous les fenêtres du rectorat la “chanson des AESH en colère”, ces deux syndicats ont été reçus par des représentants de la DASEN de l’académie de Montpellier.
chanson “aesh en colère”
Dana White, le PDG de l’Ultimate Fighting Championship, a aidé Trump à atteindre les jeunes électeurs masculins. Maintenant, White dit qu’il en a fini avec la politique : “Je ne veux rien avoir à faire avec cette merde.”
Avec “Nightbitch”—dans lequel Amy Adams se transforme en chien—le réalisateur dépeint la parentalité comme une transformation viscérale.
George C. Wolfe trouve son inspiration pour sa production—avec Audra McDonald dans le rôle de la première Mama Rose noire de Broadway—en regardant les pasties tournoyer lors d’un spectacle de burlesque.
Coca-Cola est soumis à un examen attentif pour avoir utilisé l’IA pour générer sa nouvelle publicité de vacances.
Dans la troisième saison de la série américaine The Wire, un policier de Baltimore, à l’approche de sa retraite, choisit de convertir des bâtiments abandonnés en une zone où le trafic de drogues serait contrôlé. L’objectif est de diminuer la violence, la criminalité, et les maladies… Cependant, le policier – l’inoubliable « Bunny » Culvin – n’a informé personne que cette initiative est illégale et qu’elle se terminera dès qu’elle sera exposée. Pourtant, les résultats obtenus surpassent largement ceux de nombreuses années de « guerre contre la drogue ». Dans la saison 3 de la série française Hippocrate, un ancien médecin devenu réalisateur entreprend une démarche similaire. Face à l’état apocalyptique de notre système hospitalier, Thomas Lilti imagine que quelques soignants pourraient rouvrir, sous l’internat de l’hôpital de la région parisienne, des chambres désaffectées pour accueillir des patients que l’on s’obstine là-haut à ne pas vouloir, ou plutôt à ne plus pouvoir, recevoir et soigner. Là encore, il s’agit d’une tentative de sauver un système en crise à travers une opération secrète ; les frontières entre légalité et obligation morale se brouillent ; le risque de découverte, de dénonciation et de renvoi, voire pire, est bien présent. Dans The Wire, la zone est nommée Hamsterdam, en allusion à la capitale néerlandaise où certaines drogues sont bien connues pour y être en vente libre. Dans Hippocrate, elle est désignée sous le nom d’Hôpital California. Cela fait écho à la chanson « California Dreamin’ » – c’est un rêve, ou peut-être un cauchemar – mais aussi à « Hotel California », le célèbre tube des Eagles, où il est question d’un endroit d’où il est impossible de s’échapper. Que se passe-t-il lorsque les espaces clos deviennent des passoires, les professions se transforment en système D et les sous-sols se métamorphosent en mouroirs ? Quand des secteurs entiers de la société se…
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Excellente nouvelle pour les éleveurs de chèvres, cette intelligence artificielle va les assister dans l’évaluation de la douleur chez leurs bêtes de ferme afin d’éviter les fautes de diagnostic !
Si vous êtes éleveur ou vétérinaire, la compréhension et la détection de la douleur chez les animaux constituent un véritable défi ! Contrairement aux humains, les animaux ne peuvent pas verbaliser leur ressenti. Les manifestions de douleur chez eux peuvent se traduire par des cris, une perte d’appétit ou des comportements anormaux.
Cependant, ces signes demeurent souvent subjectifs et exigent une connaissance approfondie ainsi que des années d’expérience pour être interprétés correctement. C’est là que l’intelligence artificielle déploie sa magie ! En effet, des chercheurs de l’Université de Floride ont mis au point une technologie novatrice permettant de détecter la douleur… directement sur le visage des chèvres. Explications !
L’IA excelle dans la reconnaissance de motifs, un secteur où elle peut surpasser les aptitudes humaines. Prenons l’exemple de Google Lens qui est capable d’identifier une image de chat en la comparant avec des millions d’autres. En s’appuyant sur cette technologie existante, les chercheurs ont imaginé une IA capable d’identifier la douleur animale à partir de signaux subtils sur le visage.
En intégrant des décennies d’expertise vétérinaire, cette IA pourrait « assimiler » les expressions de douleur. Cela offrirait aux éleveurs la possibilité de détecter les signes de souffrance chez leurs animaux de manière plus fiable et moins intrusive.
Les chercheurs du Collège de médecine vétérinaire de l’Université de Floride ont expérimenté cette technologie sur des chèvres. L’équipe a enregistré les visages de 40 animaux, certains en bonne santé et d’autres malades. Les vidéos ont été intégrées dans un modèle d’IA qui a appris à différencier les visages des animaux malades de ceux des animaux en bonne santé.
Cette IA capable d’interpréter la douleur chez les animaux constitue un progrès significatif. Effectivement, elle a permis aux chercheurs de repérer la douleur avec une exactitude variant entre 62 % et 80 %. Bien que ces résultats soient encourageants, les chercheurs soulignent qu’un échantillon de données plus étendu est nécessaire pour affiner et développer la précision de l’algorithme. Oui, nous connaissons déjà la rengaine : d’autres études sont à mener pour corroborer cette découverte !
Quoi qu’il en soit, cette innovation basée sur l’IA concernant le bien-être animal représente une nouvelle ère dans notre quotidien. Peut-être qu’un jour, chaque éleveur disposera d’un dispositif capable de « lire » les émotions et la santé de ses animaux. De quoi améliorer leur qualité de vie et réduire leurs souffrances. Qu’en pensez-vous ?
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