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Avec un retour musical à Oz et une épopée sanglante de la Rome antique, les studios hollywoodiens parient sur le spectacle à gros budget.
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Les cartes des récents incendies dans la région ressemblent à celles de la Californie en août, avec des centaines de points rouges.
L’histoire unique de El Museo lui a permis d’être à l’avant-garde de ce qui est désormais plus largement accepté comme la raison d’être des musées.
Sur cette image, on peut voir une trentaine de militants d’extrême droite venus de toutes les régions de France qui se tiennent derrière leurs étendards. Cette photo, prise le 11 novembre 2024, montre une partie de l’extrême droite néofasciste tricolore : on y retrouve des Niçois d’Aquila popularis, des Savoyards de l’Edelweiss, des Auvergnats de Clermont non-conforme, ainsi que des Parisiens du Groupe union défense (GUD) et leurs camarades hooligans de la Jeunesse Boulogne. « French racist crew », écrit le néonazi Gwendal D. dans sa publication sur Instagram. Tous étaient réunis à Varsovie, la capitale polonaise, pour la marche annuelle de l’indépendance, un événement majeur célébré à travers le pays. Cela fait plusieurs années que plusieurs dizaines de néofascistes français se rassemblent dans un « black bloc nationaliste ». Ils portent des cagoules décorées de croix celtiques, exhibent des drapeaux ornés de soleils noirs – un symbole ésotérique nazi – et allument des fumigènes. Mais pourquoi cela se produit-il ?
Sur cette image, une trentaine de militants d’extrême droite venus de toutes les régions de France se tiennent derrière leurs étendards. On y retrouve des Niçois d’Aquila popularis, des Savoyards de l’Edelweiss, des Auvergnats de Clermont non-conforme, ainsi que des Parisiens du Gud et leurs camarades hooligans de la Jeunesse Boulogne. /
Crédits : DR
Ce rassemblement nationaliste est organisé depuis 2010 et attire, en plus des Français, des militants néofascistes de l’ensemble de l’Europe. Cette année, environ 100.000 personnes ont défilé dans les rues de Varsovie. Selon Przemysław Witkowski, chercheur et journaliste polonais reconnu pour son expertise sur l’extrême droite locale, les Français participent en grand nombre, notamment grâce à leurs connexions avec le magazine néofasciste en ligne Szturm.
Avez-vous aperçu le salut nazi au centre de l’image ? /
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Szturm, lancé en 2014, promeut régulièrement dans ses colonnes les groupes nationalistes-révolutionnaires français, ainsi que ceux d’Italie, des pays scandinaves ou d’Ukraine, qui se déplacent également pour rejoindre ce « black bloc nationaliste ». Le magazine était étroitement lié au Bastion social, mouvement néofasciste éphémère dissous en 2019 par le gouvernement français, où s’étaient infiltrés Edelweiss, le GUD et les prédécesseurs de Clermont non-conforme. Szturm a également des liens importants avec son homologue italien CasaPound et le régiment ukrainien Azov, connu pour l’inclusion de néonazis parmi ses membres. Ce média vante les mérites d’un spiritualisme fasciste, voire d’un fascisme ultra-religieux, promeut la révolution islamique iranienne ou le Ku Klux Klan, et fait l’éloge du IIIème Reich… La publication « défend également les saluts nazis, l’utilisation de la croix celtique, du fasci ou de la swastika ».
Initialement orchestrée par des néofascistes, qui n’étaient que quelques centaines, la Marche de l’indépendance a gagné en ampleur durant les années 2010, avec le soutien d’une droite ultra-conservatrice qui y voit « un point de défense des “valeurs traditionnelles” », selon Przemysław Witkowski. « En Pologne, nous n’avons pas de cordon sanitaire contre l’extrême droite, et même plutôt le contraire », précise le chercheur. « Il existe une sorte de lien de transmission, où l’influence passe de blogs ultra-radicaux à des éditorialistes de droite extrême. Ces derniers ont commencé, vers 2015, à soutenir cette marche principalement par anti-communisme. »
« La marche a continué à croître, atteignant plus de 20.000 participants, engendrant un effet boule de neige. »
Cette normalisation a culminé en 2018, lors du centenaire de l’indépendance du pays. La droite populiste au pouvoir, le parti Droit et justice (le PiS), souhaitait commémorer cet anniversaire, mais appréhendait d’être éclipsée par la marche nationaliste. « Ils ont exercé des pressions sur les nationalistes les plus “modérés” pour assainir la marche, car ils ne désiraient pas de clichés de ministres aux côtés de drapeaux suprémacistes dans la presse internationale », se rappelle Przemysław Witkowski. « En 2018, le PiS a interpellé des leaders néofascistes sur la base de règles antiterroristes, afin d’empêcher la formation de leur bloc. Depuis lors, ils revendiquent l’appellation de “black bloc nationaliste”, car ils estiment que la marche n’est plus nationaliste, ou en tout cas pas assez à leur goût. » Pourtant, la majorité des slogans demeurent racistes, parfois suprémacistes. Avant l’arrivée au pouvoir du PiS en 2015, quelques confrontations avec la police avaient eu lieu en marge de la manifestation, comme le souligne Przemysław Witkowski :
« Bien qu’il ne s’agisse pas d’émeutes, les nationalistes avaient incendié des installations colorées aux couleurs de l’arc-en-ciel, agressé des véhicules de journalistes ou tenté de mettre le feu aux portes de l’ambassade russe… »
Depuis son institutionnalisation, la marche attire des centaines de milliers de manifestants à travers la Pologne. L’année dernière, StreetPress était présent à celle de Wroclaw, la troisième ville du pays, pour notre série Kop, consacrée aux supporters de football les plus radicaux.
Ce rassemblement a permis aux néofascistes français de côtoyer leurs homologues de toute l’Europe, avec des militants d’Active club estoniens, lituaniens ou néerlandais, des groupuscules suédois ou flamands… /
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Les néofascistes français ont profité du long week-end pour rendre visite à leurs camarades polonais, participant à des entraînements en sports de combat, des conférences et prenant des selfies avec le poing levé au cœur du bloc nationaliste. Parmi eux se trouvaient des néonazis de Clermont non-conforme, des nationalistes-révolutionnaires d’Aquila popularis (Nice), de Valyor Chambéry (anciennement Edelweiss), ainsi qu’un groupe d’Île-de-France rassemblé sous un drapeau parisien. Parmi ces militants figuraient des membres du GUD récemment dissous, des hooligans néonazis de la Jeunesse Boulogne et des Pitbulls, ainsi que des randonneurs des Baroudeurs. Quatre groupes où les militants sont fortement interconnectés et où les frontières sont floues. À la coordination, on retrouve Gwendal D., plus connu sous son pseudonyme « Kenneth », ancien membre du groupuscule néofasciste Lyon populaire, qui est allé combattre en Ukraine aux côtés du régiment Azov contre les troupes russes. Ce fut l’occasion pour ce petit milieu de se montrer entouré de symboles néonazis, mais aussi de rencontrer des néofascistes venus de toute l’Europe, ralliés avec des militants d’Active club, lituaniens ou néerlandais, et des groupuscules suédois ou flamands…
Outre les groupuscules français habitués aux violences, les Nationalistes – le parti pétainiste et néofasciste dirigé par Yvan Benedetti – avait également annoncé sa participation, comme chaque année, à ce qu’ils considèrent comme « la plus grande marche nationale d’Europe ». Le parti ne manque pas de faire l’éloge de son voyage polonais, entre conférences « sur l’avenir de l’Europe » et défilés aux côtés de militants polonais, tchèques, slovaques, italiens, hongrois, serbes, croates, grecs, lituaniens… Des éloges relayées sur le canal Telegram de Forteresse Europe, représentant sa liste pour les élections européennes portée par l’avocat prisé des néofascistes, Pierre-Marie Bonneau.
Si j’avais proposé plus tôt que nous invitions quelqu’un coincé à venir avec nous à New York, Hugh aurait dit non. Mais maintenant, il n’y avait vraiment aucun moyen pour lui de se désister.
Avec “Nightbitch”—dans lequel Amy Adams se transforme en chien—le réalisateur dépeint la parentalité comme une transformation viscérale.
Les astronomes se sont précipités pour collecter autant de données que possible sur le mini-lune temporaire de la Terre avant qu’elle ne parte. Ils ont découvert qu’elle pourrait avoir une origine lunaire.
Avec les nombreux styles qu’il propose, Midjourney reste à mon avis la meilleure IA générative d’images. Et malgré l’émergence de nouvelles startups, celle de David Holz maintient sa position de leader avec l’ajout de nouvelles fonctionnalités. Dont les références de style qui font de Midjourney un vrai leader dans la génération d’images par intelligence artificielle.
Actuellement à la version 6, Midjourney ne cesse se mettre à jour pour le grand plaisir de ses millions d’utilisateurs.
Cela dit, les codes de référence de style vous permettront de générer des images de haute qualité, avec un rendu sans précédent.
Donc, au lieu de toujours opter pour le style aléatoire, vous pouvez choisir entre ces sept styles pour peaufiner vos images sur Midjourney.
Le premier Midjourney, le –sref 1324941598, crée une ambiance onirique aux tons roses, avec des fleurs de cerisier délicates qui lui confèrent un aspect romantique et éthéré.
Le deuxième style, le –sref 1435990713, évoque quant à lui une photographie d’époque grâce à ses teintes sépia.
Son rendu cinématographique se caractérise cependant par un contraste marqué et des ombres profondes. Ce qui le rend particulièrement adapté pour une conversion en vidéo via Runway.
Pour une atmosphère plus sombre, le troisième style, le –sref 1798457390, propose une esthétique violette et vaporeuse.
Son éclairage tamisé et son ambiance mélancolique rappellent l’univers de la dark fantasy, avec la particularité d’intégrer une silhouette humaine.
Le quatrième style Midjourney que je vais vous présenter, le –sref 1872206420, se distingue par son traitement en noir et blanc. Il transforme d’ailleurs le sujet en une composition presque abstraite, épurée jusqu’à ses éléments fondamentaux.
Le cinquième style, le –sref 2579690665, se démarque par sa palette colorée dominée par le jaune, évoquant l’art numérique tout en conservant l’essence de la photographie de paysage traditionnelle.
L’avant-dernier style, le –sref 20240916, revisite les tons roses avec une approche différente du premier.
Son ciel surréaliste et son atmosphère pré-orage créent une ambiance kawaii. Celui-ci nous rappelle d’ailleurs l’univers des animations lo-fi.
Le dernier style, le –sref 448502317, va donner un rendu photographique distinct des autres effets plus artistiques. Cela dit, son traitement moderne réinterprète le style des anciennes gravures maritimes.
Pour vous donner une idée du résultat que vous allez obtenir en jouant avec les styles de références Midjourney, j’ai pris un prompt assez basique.
Vous pouvez bien évidemment essayer avec votre propre invite. La mienne sert uniquement de référence. La voici : « Paysage de plage au coucher du soleil avec du sable doux et doré, un voilier flottant doucement sur une eau bleue calme, la lumière chaude du soleil se reflétant sur les vagues, des ombres douces projetées sur la plage ».
“Longue nuit de jour, le rêve sans fin.”
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