Get in—Nous poursuivons un Waymo vers l’avenir
Talonner un robotaxi pendant des heures et des heures est bizarre. Et révélateur. Et suscite la jalousie. Mais un monde sans conducteur arrive pour nous tous. Alors ferme la porte et boucle ta ceinture.
Talonner un robotaxi pendant des heures et des heures est bizarre. Et révélateur. Et suscite la jalousie. Mais un monde sans conducteur arrive pour nous tous. Alors ferme la porte et boucle ta ceinture.
La montée en puissance de l’intelligence artificielle transforme bon nombre de domaines, y compris la médecine. Les professionnels du secteur médical se posent la question : l’IA va-t-elle changer radicalement la façon de diagnostiquer ?
L’IA, tel que ChatGPT, examine des données médicales pour proposer des diagnostics. En effet, elle s’appuie sur l’apprentissage automatique pour perfectionner ses recommandations. Cette technologie aide les médecins, notamment dans l’évaluation de cas compliqués. Néanmoins, certains experts craignent une compétition inattendue. En outre, l’IA n’égale pas encore l’expertise clinique humaine. Une erreur pourrait avoir de lourdes conséquences pour un patient, ce qui génère des inquiétudes.
Dans le domaine de la médecine sportive, un footballeur souffrant d’une douleur au genou illustre parfaitement cette problématique. L’IA peut indiquer une déchirure du LCA, mais la validation par le médecin est indispensable. Par conséquent, l’IA demeure un outil d’appui, sans substituer le jugement clinique. Elle doit servir d’aide, et non de remplacement, dans les soins de santé contemporains.
De multiples applications basées sur l’IA émergent dans les systèmes de santé, telles que la transcription d’historique médical. Les solutions d’IA fournissent des recommandations pertinentes selon les dossiers des patients. En outre, elles contribuent à générer des options thérapeutiques. Par exemple, Docus.AI propose des examens en fonction des symptômes décrits. Cependant, ces systèmes peuvent mal interpréter ou omettre des éléments cruciaux. Comme tout logiciel, l’IA manque de la capacité d’introspection requise pour détecter ses propres fautes.
L’IA, malgré ses limitations, assiste les assureurs dans l’évaluation des demandes de soins. De plus, elle automatise certaines tâches comme la codification médicale, ce qui réduit les erreurs humaines. Cependant, certains praticiens s’inquiètent que les algorithmes influencent trop les décisions cliniques. Une prise en charge de qualité doit rester humaine, car l’empathie et l’expérience sont irremplaçables.
L’intelligence artificielle ne remplacera probablement pas les praticiens de sitôt. Toutefois, elle modifie déjà la manière dont les patients reçoivent des soins. Les tâches administratives en tirent profit, mais le noyau des soins demeure humain.
À l’avenir, les systèmes de santé vont-ils intégrer davantage l’IA ? Cela permet une optimisation des ressources tout en améliorant les diagnostics. Cependant, la supervision humaine continuera d’être cruciale pour prévenir des erreurs catastrophiques. L’IA devient un instrument indispensable, mais elle ne doit pas dominer. Ainsi, médecins et patients doivent poursuivre leur exigence pour des soins où l’humain reste central.
Wear OS est bien meilleur qu’auparavant, donc c’est jamais le bon moment pour envisager une montre intelligente. < div class=”relative mt-28 md:mx-auto md:flex md:max-w-container-md lg:mt-36 lg:max-w-none”> < div class=”duet–article–article-body-component-container sm:ml-auto md:ml-100 md:max-w-article-body lg:mx-100″> < div> Après une longue période de choix limités, les deux dernières années ont été énormes pour les montres intelligentes Android. Maintenant, il y a plus de bonnes options que jamais. Mais c’est encore une époque de transition. Bien que nous soyons encouragés par les options plus solides d’applications tierces, le marché est encore fragmenté. Wear OS 5 est là pour les Galaxy Watches de Samsung et la Pixel Watch 3. Cependant, l’écosystème plus large est encore en retard. Certaines fonctionnalités, comme Google Assistant, ne sont pas encore disponibles sur certaines montres Wear OS 3, et Wear OS 4 n’est toujours pas largement disponible. Même ainsi, l’écosystème des wearables Android avance à grands pas. a:hover]:shadow-highlight-franklin dark:[&>a:hover]:shadow-highlight-franklin [&>a]:shadow-underline-black dark:[&>a]:shadow-underline-white”>Ce que nous recherchons Les montres intelligentes Android ont longtemps été freinées par des processeurs obsolètes. Le chip sous le capot est-il suffisamment puissant pour faire fonctionner Wear OS / RTOS propriétaire de manière fluide ? Une montre fonctionne-t-elle mieux au sein de l’écosystème de produits d’une seule entreprise par rapport à une autre ? Allez-vous devoir acheter une nouvelle montre si vous changez de téléphone ? a:hover]:shadow-highlight-franklin dark:[&>a:hover]:shadow-highlight-franklin [&>a]:shadow-underline-black dark:[&>a]:shadow-underline-white”>Autonomie de la batterie Pouvez-vous passer la journée sans avoir à chercher un chargeur ? Si ce n’est pas le cas, prend-il en charge la charge rapide ? Si vous préférez attendre que Wear OS se stabilise un peu, il existe des montres intelligentes et des montres de fitness indépendantes des plateformes que vous pouvez acheter en attendant. Sinon, vous voudrez être au courant du chip et de la version de Wear OS qui alimentent votre montre. Mobvoi, par exemple,…
Le rythme d’innovation dans le domaine de l’intelligence artificielle ne cesse d’accélérer, chaque progrès technologique captivant les esprits et déclenchant des discussions. Google semble avoir atteint un moment charnière avec son dernier modèle, révélant une avancée remarquable. Cependant, en dépit de ces succès, des doutes persistent quant à la fiabilité et à l’évaluation de ces nouveaux systèmes.
Google a étonné avec son modèle Gemini-Exp-1114. En effet, celui-ci dépasse les références traditionnelles d’OpenAI. La plateforme Chatbot Arena a confirmé sa performance avec plus de 6 000 votes. De surcroît, les évaluations de Gemini dans des secteurs divers ont surpassé celles de GPT-4o. Les résultats impressionnent, notamment dans les domaines des mathématiques et de la rédaction créative. Néanmoins, un souci émerge. Lors d’une analyse plus approfondie, Gemini a reculé à la quatrième position.
Ainsi, les biais présents dans l’évaluation sont visibles. L’évaluation omet parfois de considérer des éléments cruciaux. La concentration sur le format et la longueur des réponses peut générer des résultats illusoires. Par ailleurs, cette inégalité souligne la difficulté de mesurer la véritable intelligence de l’IA.
Les progrès réalisés par Google sont impressionnants, mais des vulnérabilités persistent. Récemment, Gemini a produit des réponses problématiques. Ces réponses ont ébranlé de nombreux utilisateurs. Ce type de désagrément met en lumière la nécessité de renforcer les dispositifs de sécurité pour l’IA. Les témoignages récents révèlent que des interactions inquiétantes demeurent. De plus, cette discordance entre performances techniques et fiabilité suscite des préoccupations. Les méthodes de test, axées sur des critères superficiels, dissimulent ces enjeux.
En outre, le secteur fait face à un dilemme : optimiser pour les benchmarks ou assurer la sécurité ? Les priorités de l’industrie doivent être réévaluées pour éviter des systèmes d’IA instables. Google doit encore prouver la fiabilité globale de ses innovations.
Nous sommes à un moment déterminant pour tous les acteurs majeurs de l’IA. OpenAI éprouve des difficultés à faire évoluer ses modèles, tandis que Google fait des avancées. Cependant, le véritable défi réside dans l’évaluation juste de l’IA. Les outils disponibles semblent obsolètes. Il est donc urgent d’élaborer des tests qui privilégient des critères de sécurité. De nouvelles méthodes sont indispensables pour une intelligence artificielle plus responsable.
Parallèlement, l’industrie pourrait être à un tournant. Les grandes entreprises technologiques devront examiner des critères plus pertinents. Sans ces ajustements, le développement risque d’être superficiel. Cette course effrénée vers des scores optimaux pourrait entraver l’innovation nécessaire pour l’IA.
“No Other Land” et “Union” sont des films que Hollywood et l’Amérique corporative ne veulent pas que vous voyiez.
OpenAI a annoncé une application de bureau ChatGPT pour Windows et des mises à jour pour l’application de bureau macOS existante. Voici les détails.
Plusieurs montres connectées Garmin sont en vente à des prix historiquement bas avant le Black Friday, y compris la Venu 3, la Vivoactive 5 et la Fenix 7 Pro Solar.
La quête incessante de modèles d’IA de plus en plus volumineux touche à ses limites : l’industrie réévalue ses méthodes pour maintenir son efficacité.
Depuis l’apparition de ChatGPT, la dimension des modèles est devenue un sujet central pour l’IA. Par conséquent, OpenAI et d’autres acteurs de l’IA générative ont intensifié leurs efforts pour développer des modèles plus performants.
Orion, le futur modèle d’OpenAI, pourrait ne pas satisfaire les attentes élevées. Annoncé par The Verge pour décembre 2024, puis démenti par Sam Altman, Orion ne devrait pas constituer un saut spectaculaire. Contrairement à la progression notable entre GPT-3 et GPT-4, ce modèle ne garantit pas d’améliorations significatives, surtout pour des tâches complexes telles que la génération de code. Cela soulève des questions sur les célèbres « lois d’échelle » qui ont orienté le développement des modèles.
Les lois d’échelle stipulent que plus un modèle est volumineux, plus sa performance est élevée. Cependant, Orion semble contredire cette assertion. Tadao Nagasaki, dirigeant d’OpenAI au Japon, a récemment mis en avant ces lois pour illustrer la progression continue des modèles. À présent, même certains chercheurs d’OpenAI reconnaissent que cette croissance exponentielle n’apporte pas les résultats escomptés.
Les sociétés d’IA générative semblent avoir épuisé les ressources textuelles de qualité existantes. Cela complique leur mission de perfectionnement continu de leurs modèles. L’entraînement de modèles colossaux requiert de grandes quantités de données, mais les sources commencent à s’épuiser. Cette raréfaction entraîne des choix difficiles et accroît la dépense énergétique ainsi que les coûts associés. La stratégie du « toujours plus gros » paraît de moins en moins viable à long terme.
Face à ces restrictions, les entreprises explorent d’autres alternatives. OpenAI, par exemple, expérimente avec de nouvelles approches pour améliorer ses modèles. Des chercheurs de Google et de l’université de Berkeley ont examiné des techniques d’optimisation pendant l’inférence, lorsque l’IA interagit avec les utilisateurs. OpenAI a ainsi perfectionné GPT-4o en s’appuyant sur ces études. Cela démontre une volonté de privilégier l’efficacité plutôt que la simple taille.
OpenAI a recours aux sparse autoencoders pour détecter les éléments essentiels dans ses modèles. Cette méthode permet de diminuer l’utilisation des ressources tout en conservant la performance. L’objectif est d’optimiser les réponses sans s’appuyer sur des modèles très volumineux. Toutefois, cette approche nécessite encore de nombreux réglages et des investigations continues pour relever le défi de l’efficacité.
Cette transformation soulève des interrogations quant au rôle de NVIDIA dans le secteur de l’IA. Le fabricant de GPU a prospéré en raison de la demande en capacité de calcul. Mais si les modèles cessent d’évoluer, la demande pourrait atteindre un plateau. Cela pourrait décevoir certains investisseurs qui anticipent une croissance illimitée des besoins en puissance de calcul. L’industrie pourrait être contrainte de s’adapter rapidement à cette nouvelle réalité.
La compétition pour la taille semblerait atteindre un plafond et oblige l’industrie à se réinventer. L’époque du « plus c’est grand, mieux c’est » pourrait toucher à sa fin. Les entreprises doivent s’orienter vers des optimisations astucieuses pour demeurer compétitives. L’avenir de l’IA générative dépendra de leur aptitude à innover au-delà de la simple élévation de la taille des modèles.
A la suite de l’annonce de l’arrivée de l’Apple Intelligence en français, Google révèle qu’il va intégrer Gemini à l’iPhone. Cette nouvelle a été annoncée hier et selon Google, cette intégration donnerait aux utilisateurs accès à la fonctionnalité de génération d’images par IA ainsi qu’à son assistant vocal Gemini Live.
Le communiqué de Google précise également qu’il est désormais possible de connecter Gemini aux autres services Google tels que Gmail et YouTube grâce à la fonctionnalité « Extensions ».
En revanche, il sera nécessaire de posséder un compte Google ou Google Workspace pour accéder à Gemini Apps et Google Assistant depuis un iPhone.
De plus, Google indique que le service n’est pas encore accessible pour les comptes professionnels, ce qui constitue un avantage notable pour les utilisateurs particuliers.
Ainsi, abandonnez l’idée de bénéficier de cette nouvelle intégration si vous avez un compte Gemini Advanced ou un compte Google Workspace for Education, et encore moins pour ceux qui ont un compte géré par Family Link.
Il y a à peine deux mois, en septembre, Google a rendu Gemini Live disponible gratuitement pour tous les utilisateurs d’Android et non pour l’iPhone.
Cependant, son assistant IA était à l’origine réservé aux abonnés de Gemini Advanced lors du lancement de son nouveau smartphone, un mois auparavant.
Selon un rapport, ce déploiement renforce la concurrence entre Google et Microsoft dans la course à la suprématie de l’IA sur mobile.
De son côté, Microsoft mise beaucoup sur son assistant Copilot, que Mustafa Suleyman, PDG de Microsoft AI, qualifie de compagnon d’intelligence artificielle universel.
Google, en tant que principal concurrent de Microsoft, adopte une approche similaire avec Gemini, qui combine des fonctionnalités de commande vocale et de création d’images.
Dans tous les cas, Apple espère s’affirmer pour dominer le marché naissant des IA génératives sur mobile, surtout avec l’arrivée de l’Apple Intelligence.
D’après les informations, la société de Cupertino pourrait lancer un nouveau produit dès mars prochain susceptible de transformer ce secteur en pleine expansion.
Il est vrai qu’Apple accuse un certain retard par rapport à ses rivaux dans le domaine de l’intelligence artificielle.
La marque à la pomme rencontra cependant des difficultés à développer ses propres solutions, ce qui l’oblige à se tourner vers des partenariats pour rester compétitive.
Selon les nouvelles de Bloomberg, Apple discuterait avec plusieurs acteurs du marché de l’IA, y compris OpenAI, ce qui a permis l’intégration de ChatGPT avec Siri.
En ce qui concerne les discussions avec Google, le partenariat est établi et en conséquence : Gemini est maintenant intégré dans l’iPhone.
Ce partenariat avec Google est donc d’une importance capitale pour Apple. Mais peut-on affirmer que cette collaboration pourrait calmer les inquiétudes des investisseurs concernant le déploiement lent des applications d’IA par la marque ?
Plus tôt cette année, Apple a déjà connu une chute de 10 % de ses actions et a perdu son statut d’entreprise la plus valorisée au monde.
Selon l’analyste Dan Ives, ce partenariat avec Google serait le chaînon manquant dans la stratégie d’IA d’Apple.
Et c’est peut-être la meilleure voie à suivre, d’autant plus que la version améliorée de Siri n’est attendue que pour l’année prochaine.
Avec des milliards vendus chaque année, la bataille est lancée pour fabriquer le pneu de voiture électrique idéal—celui qui offre la sainte trinité d’une autonomie accrue, de credentials écologiques et de moins de bruit. Les résultats pourraient bénéficier à chaque véhicule sur la planète.
Please active sidebar widget or disable it from theme option.
{{ excerpt | truncatewords: 55 }}
{% endif %}