NYT Connections indices aujourd’hui : Indices, réponses pour le 7 novembre
Connections est un jeu de mots du New York Times qui consiste à trouver les “liens communs entre les mots.” Comment résoudre le puzzle.
Connections est un jeu de mots du New York Times qui consiste à trouver les “liens communs entre les mots.” Comment résoudre le puzzle.
L’auteur best-seller du New York Times de “La Suite” discute de certains romans de suivi remarquables, y compris ceux d’Erica Jong, Chaim Potok et Scott Turow.
Les mots croisés cryptiques intriguent depuis longtemps ceux qui apprécient les défis mentaux. Ces jeux testent à la fois la logique et l’imagination. Alors que l’intelligence artificielle avance dans divers secteurs, une question demeure : peut-elle maîtriser l’art délicat des mots croisés cryptiques ?
Cette année, un événement sans précédent a eu lieu lors du prestigieux concours de mots croisés du Times. Une IA nommée Ross s’est mesurée à des championnants humains aguerris. Incarnée par un chien buveur de café, Ross faisait partie de l’application Crossword Genius et était prête à prouver son talent. Les concurrents humains, situés au siège de News UK à Londres, ont démontré leur rapidité remarquable en déchiffrant des indices complexes tout en anticipant les suivants.
Un atout présumé de l’IA est sa capacité à gérer plusieurs problèmes en même temps. Ainsi, Ross a tenté de résoudre plusieurs indices simultanément. Néanmoins, malgré sa rapidité et son savoir étendu, l’IA n’a pas réussi. Mark Goodliffe, un champion connu du concours, a terminé la grille avant que Ross ne puisse la compléter.
Ross a été capable de résoudre des indices compliqués, mais certains indices subtils ont échappé à ses algorithmes. Par exemple, l’indice suivant s’est révélé un véritable casse-tête pour l’IA : Refonte radicale de l’image du sport automobile. La solution, FIREBRAND (F1 RE-BRAND), révèle toute la complexité des jeux de mots subtils qui nécessitent plus qu’une simple logique algorithmiqu
Ce défi a mis en lumière une faiblesse majeure des IA dans la résolution de mots croisés cryptiques. Contrairement aux humains, capables de rire ou d’avoir une intuition face à un jeu de mots, l’IA ne possède pas ce sens de l’humour et cette perception des subtilités comiques. Même si elle « sait » presque tout, l’IA manque de la finesse nécessaire pour appréhender un jeu de mots comme une personne.
Les mots croisés cryptiques comportent souvent un indice secret, une touche personnelle du créateur. Ce lien invisible entre le créateur et le résolveur demeure inaccessible à l’IA. La capacité de réaliser qu’une personne a délibérément dissimulé un jeu de mots derrière un indice est un don profondément humain. Cette sensibilité, cette étincelle de compréhension, échappe encore à Ross et à ses semblables.
Pour le moment, les humains peuvent se réjouir de conserver un avantage sur l’IA dans l’univers des mots croisés cryptiques. Des spécialistes suggèrent même que la sécurité en ligne pourrait un jour intégrer des tests basés sur la capacité à résoudre des indices de mots croisés. Cela assurerait que l’humain garde sa place dans un environnement numérique de plus en plus automatisé.
À mesure que l’IA continue de progresser, le défi reste à relever. Mais une chose est certaine : le petit sourire complice qu’un résolveur éprouve en trouvant la bonne solution est un plaisir que seule l’expérience humaine peut procurer.
Dans le film de Jesse Eisenberg, un bromance accrocheuse obscurcit une tentative réfléchie d’explorer l’héritage de l’Holocauste.
Une baignoire que l’on remplace par une douche, un ascenseur devenu essentiel pour accéder à son habitation… Les intervenants du logement social doivent s’ajuster au vieillissement de leurs résidents. « En tout, 13 % des ménages locataires du parc social [soit environ 600 000, NDLR] affirment avoir besoin d’aménagements spécifiques dans leur logement suite à une perte d’autonomie, que ce soit en raison du vieillissement ou du handicap », soulignait un rapport de l’Ancols (Agence nationale de contrôle du logement social) publié en août 2024.
En réponse à ce constat, les bailleurs sociaux ont déjà commencé à transformer leurs biens de manière significative. En 2022, 36 000 logements ont été adaptés à la demande des ménages. Le souci, c’est que ces aménagements coûtent cher (entre 5 000 et 10 000 euros par logement en moyenne) et que les organismes n’ont pas toujours les ressources nécessaires pour les mettre en œuvre.
Les situations diffèrent d’un organisme à l’autre et selon le territoire où ils se trouvent. C’est ce qu’indique Cécile Belard du Plantys, directrice générale de Paris Habitat, l’organisme public de logement parisien. « Nous avons la chance de bénéficier d’un fort soutien de la ville », se félicite-t-elle. Mais la responsable est consciente que « ce n’est pas le cas de tous les bailleurs dans toutes les zones ». Certains reçoivent peu de soutien, limitant ainsi leur agir.
Les options d’adaptation ne dépendent toutefois pas uniquement des ressources financières disponibles, mais également d’autres facteurs, comme la nature des bâtiments. De fait, avec 40 000 logements sur 126 000 construits au début du 20e siècle et une population dans laquelle 38 % ont plus de 65 ans, Paris Habitat doit réaliser davantage d’efforts d’adaptation que d’autres organismes. Un défi confirmé par Thierry Asselin, directeur des politiques urbaines et sociales à l’Union sociale pour l’habitat (USH) :
« Un bailleur possédant un patrimoine plutôt ancien aura proportionnellement plus de personnes âgées et de logements non adaptés. »
Heureusement, certains territoires sont moins touchés par ce problème, comme certaines villes de Normandie. C’est ce qu’affirme Sébastien Coeuret, responsable handicap et vieillissement de la CDC Habitat dans les zones de Caen, Rouen et Le Havre. Dans cette région, l’organisme gère un total de 20 000 logements, plus récents. Il confie qu’il répond à « 60 demandes d’adaptation par an avec un budget de 300 000 euros, ce qui, pour le moment, ne pose pas de difficultés ».
Cependant, même dans ces territoires, la question du financement va inévitablement surgir, compte tenu du vieillissement démographique. Actuellement, le principal mécanisme financier en place est le dégrèvement de la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB). Ceci permet aux bailleurs de bénéficier d’une exonération de taxe foncière équivalente au coût des travaux réalisés. « Dans de nombreux cas, cela couvre l’intégralité de la dépense », explique Cécile Belard du Plantys. Cependant, le logement doit être soumis à la taxe foncière, ce qui exclut ceux construits il y a moins de 25 ans.
Dans ces situations, les bailleurs doivent trouver d’autres sources de financement. « Cela peut être la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) qui, via la Prestation de compensation du handicap (PCH), finance une partie des travaux, généralement à hauteur de 60 % », précise Sébastien Coeuret.
La CDC Habitat peut compenser le reste avec ses propres fonds, mais ce n’est pas le cas pour tous les bailleurs. « À ce moment-là, c’est souvent le locataire qui doit avancer le coût, ce qui constitue un obstacle évident. »
Le vieillissement de la population met en péril cet équilibre déjà fragile. « Les personnes âgées représentent déjà plus d’un tiers de nos locataires, met en lumière Florian Maillebuau, directeur des politiques sociales de Paris Habitat. Et nous prévoyons une augmentation de 20 % d’ici 2030. » Cela implique un besoin de financement accru. En Normandie, « il faudra clairement, dans les années à venir, ajuster le budget pour faire face à l’augmentation des demandes », renchérit Sébastien Coeuret.
Face à ce challenge, certains bailleurs semblent mieux préparés que d’autres. Les organismes les plus armés, comme Paris Habitat, sont déjà « assistés par une convention avec la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV), ainsi que par des partenariats avec la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) », souligne Cécile Belard du Plantys. D’autres, plus modestes, affichent des ressources humaines plus limitées et pourraient avoir plus de difficultés à obtenir ce type de soutien.
Ces incertitudes sont d’autant plus vives que les bailleurs ont de plus en plus de mal à puiser dans leurs fonds propres. Ceux-ci ont en effet été considérablement réduits suite à la baisse des APL (Aide personnalisée au logement) votée en 2017 sous Emmanuel Macron. En effet, pour compenser cette baisse, les bailleurs doivent acquitter la Réduction de loyer de solidarité (RLS), une diminution de leurs loyers qui représente une perte de revenus de 1,3 milliard d’euros par an.
Ces fonds propres sont pourtant essentiels pour les bailleurs, car les aides à l’adaptation des logements ne suffisent pas à elles seules. « Le dégrèvement de la TFPB est un outil important, mais qui ne suffit pas à lui seul », souligne Thierry Asselin. Dans le cas où le logement ne peut être adapté, les bailleurs ont deux options : reloger la personne dans un autre bien, à court terme, ou, à plus long terme, construire de nouveaux logements adaptés.
La création de nouveaux logements constitue donc une partie de la solution. Cependant, celle-ci est en difficulté : elle est passée d’environ 120 000 logements en 2016 à 82 000 en 2023. Les raisons en sont la diminution des revenus des bailleurs, ainsi que l’explosion des prix du foncier et l’inflation, qui a fait grimper le coût des matériaux. Ces contraintes poussent les bailleurs à privilégier l’adaptation des logements existants.
« Pourtant, il est également nécessaire de construire de nouveaux logements de petite taille, adaptés aux besoins des demandeurs », affirme Thierry Asselin.
Face à la difficulté de construire, les bailleurs les plus solides choisissent de racheter directement des biens privés déjà existants. La CDC Habitat a ainsi acquis, il y a deux ans, l’équivalent de 30 000 logements à l’échelle nationale. Paris Habitat agit de la même manière, avec la ville de Paris qui « préempte de l’existant et nous le revend à un prix inférieur », explique Cécile Belard du Plantys. Cependant, même pour les organismes « solides », la facture devient de plus en plus élevée.
Au congrès HLM d’octobre 2023, les bailleurs sociaux avaient obtenu de l’État un engagement d’1,2 milliard d’euros sur trois ans pour la rénovation thermique. Les bailleurs espéraient ainsi faire d’une pierre deux coups, en utilisant les rénovations thermiques pour adapter les logements.
Toutefois, l’enveloppe a été réduite à 350 millions pour 2 ans, selon l’Union sociale pour l’habitat, qui considère cette baisse comme « inacceptable ». La fédération des organismes HLM déplore aussi « l’absence de mesures budgétaires de relance » dans le Projet de loi de finances pour 2025, malgré « l’ampleur de la crise du logement ».
Réponses à chaque indice pour l’édition du 5 novembre 2024 du mini crossword quotidien Arkadium sur Mashable.com.
À quelques jours des élections, l’usage de l’intelligence artificielle se généralise dans les campagnes politiques. Les publicités occupent tous les espaces, mais leur crédibilité à l’ère de l’IA pose des interrogations.
L’IA révolutionne profondément la manière dont les publicités politiques sont conçues et diffusées. Les messages électoraux inondent particulièrement la télévision, la radio et les réseaux sociaux. Cela accentue également l’efficacité des messages. Les candidats exploitent l’IA pour étudier le comportement des électeurs, cerner leurs préoccupations et ajuster leur narration. Cela permet une personnalisation des campagnes inédite.
En outre, l’IA contribue à la création rapide de contenus visuels et sonores. Cela signifie que des vidéos peuvent présenter des images réalistes de candidats ou des voix générées qui semblent authentiques. En fait, ces technologies avancées estompent la frontière entre le réel et l’illusoire. Cela remet en cause la fiabilité des messages partagés.
L’utilisation de l’IA dans la publicité politique soulève des questions éthiques cruciales. Les deepfakes et les fake news se diffusent plus aisément, ce qui peut manipuler indûment l’opinion publique. Les spécialistes notent que l’IA facilite la fabrication de publicités fallacieuses, difficiles à différencier des authentiques. Ces outils performants peuvent altérer des propos ou des images, faussant ainsi la perception des électeurs.
Le vice-président exécutif des affaires médicales de l’Université du Michigan, Dr Marschall Runge, a discuté de ces problématiques sur FOX45 News. Il a souligné la nécessité de réguler l’usage de l’IA pour prévenir les abus. Il met en avant que l’IA, sans un encadrement approprié, pourrait exacerber la désinformation pendant les élections et perturber la confiance du public dans le processus démocratique.
Les discussions sur la régulation de l’IA dans le domaine politique s’intensifient. Beaucoup d’experts appellent à des réglementations renforcées, notamment pour restreindre l’utilisation des deepfakes et des technologies manipulatrices. Ces échanges visent à assurer un processus électoral juste et transparent, tout en favorisant l’innovation.
En réponse à ces inquiétudes, certaines plateformes de médias sociaux et de diffusion prennent des initiatives préventives. Elles s’efforcent de repérer et de bloquer les contenus générés par l’IA qui pourraient induire le public en erreur. Toutefois, l’efficacité de ces mesures demeure un défi face à l’avancement rapide de la technologie.
L’intelligence artificielle redéfinit la stratégie de communication politique. Les campagnes électorales deviennent plus ciblées et sophistiquées, suscitant à la fois admiration et inquiétude. Alors que l’IA présente des bénéfices indéniables en termes de personnalisation et de réactivité, elle pose également des défis significatifs. Le respect de la vérité et de l’intégrité électorale demeure crucial, même à l’ère des technologies avancées.
Célébration du cent cinquantième anniversaire du compositeur, lors d’un festival à Bloomington, Indiana.
Leur version de “Cendrillon” ou “Raiponce” pourrait être perturbante. Mais transformer l’Allemagne en une nation unifiée, croyaient-ils, signifiait déterrer sa culture authentique.
La société de recherche IA Perplexity étudie la pertinence d’utiliser l’IA pour fournir des informations essentielles sur le vote avec un nouveau Centre d’informations électorales qu’elle a révélé vendredi. Le hub offre notamment des réponses générées par IA aux interrogations sur le vote ainsi que des résumés de candidats, et le 5 novembre, jour du scrutin, la société a annoncé qu’elle diffuserait en temps réel le comptage des votes, en s’appuyant sur des données de The Associated Press. Perplexity précise que ses informations à destination des électeurs, qui englobent les critères de vote, les lieux et les horaires, sont basées sur des données fournies par Democracy Works. (Ce même groupe alimente des fonctionnalités similaires chez Google). Et que ses réponses liées aux élections proviennent “d’un ensemble sélect des sources les plus fiables et instructives.” La porte-parole de Perplexity, Sara Platnick, a confirmé par e-mail à The Verge que AP et Democracy Works sont des partenaires officiels du hub. Platnick a précisé les sources de Perplexity : Nous avons choisi des domaines qui sont non partisans et vérifiés, y compris Ballotpedia et des organisations médiatiques. Nous surveillons attentivement nos systèmes pour garantir que nous continuons à privilégier ces sources lors de la réponse aux interrogations concernant les élections. Le hub fournit des précisions sur le contenu figurant sur le bulletin de vote pour l’emplacement que vous saisissez (par exemple, une adresse ou une ville). Il existe également des onglets pour suivre les élections pour le président, le Sénat américain et la Chambre des États-Unis au fur et à mesure qu’elles se déroulent à partir de mardi, avec des décomptes par État affichant le pourcentage de votes comptés et le candidat en tête. a:hover]:text-gray-63 [&>a:hover]:shadow-underline-black dark:[&>a:hover]:text-gray-bd dark:[&a:hover]:shadow-underline-gray [&>a]:shadow-underline-gray-63 dark:[&a]:text-gray-bd dark:[&a]:shadow-underline-gray”>Capture d’écran : Hub électoral Perplexity Les résumés générés par IA que j’ai…
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