Célébration de la victoire de Donald Trump à West Palm Beach
Entouré d’un casting de personnages MAGA en constante expansion, le candidat perpétuel devient à nouveau Président élu.
Entouré d’un casting de personnages MAGA en constante expansion, le candidat perpétuel devient à nouveau Président élu.
L’IA est-elle capable de commettre des erreurs et de transformer des innocents en criminels ? Plongez dans la réalité avec l’histoire de Martin Bernklau, un journaliste allemand injustement accusé par l’IA.
De nos jours, l’IA est employée dans divers secteurs et commence déjà à s’intégrer dans le domaine judiciaire et les enquêtes criminelles. Certains profileurs l’utilisent déjà pour conduire des recherches et des investigations. Mais, peut-on vraiment considérer l’IA comme infaillible à 100 % ? Voici quelques exemples, pas si isolés, qui pourraient vous donner des frissons, surtout quand l’IA fait passer des innocents pour des coupables.
Avant le triste épisode de Bernklau, des témoignages avaient déjà montré que certains systèmes d’IA, censés fournir des données précises et fiables, ont déjà mené leurs utilisateurs à des erreurs. Celles-ci sont souvent qualifiées de « hallucinations » de l’IA. Cela se produit lorsque l’outil s’égare en présentant des informations fictives comme étant factuelles.
Martin Bernklau a été confronté à cette réalité troublante lorsqu’il a fait une recherche personnelle avec Copilot de Microsoft. À sa grande surprise, l’IA le désignait comme un criminel, mentionnant des délits graves tels que des violences, des évasions d’asile et même des accusations de trafic de drogue.
Mais qu’est-il arrivé à Copilot pour accuser le journaliste de criminalité ? Simplement parce que l’IA avait amalgamé son profil personnel avec les affaires criminelles qu’il avait couvertes, reliant ainsi son nom aux crimes reportés.
Plus inquiétant encore, Copilot a divulgué des informations personnelles erronées, y compris l’adresse et le numéro de téléphone de Bernklau. Ces données inexactes, accessibles à tous, ont menacé sa sécurité et ont gravement porté atteinte à sa vie privée.
Cette expérience de Bernklau s’inscrit dans un cadre plus large. Aux États-Unis, une affaire similaire a conduit Mark Walters, un animateur radio, à poursuivre OpenAI. L’outil d’IA avait faussement affirmé que Walters était impliqué dans des activités frauduleuses, des accusations sans fondement. Ce procès pourrait créer un précédent pour les responsabilités des entreprises d’IA face à des allégations de diffamation.
L’intelligence artificielle a fait des faux pas et a faussement accusé des innocents. Ironiquement, même avec ses erreurs, l’IA dans le domaine judiciaire est de plus en plus adoptée. Son objectif est de simplifier la gestion des affaires et de générer des documents juridiques. En Inde, les tribunaux utilisent l’IA pour traduire les procès dans les dialectes locaux, facilitant ainsi la compréhension par tous les participants.
En revanche, en Australie, des tribunaux et des commissions examinent l’intégration de l’IA dans le traitement judiciaire. Cependant, Catherine Terry, avocate et présidente d’une commission sur la réforme de la justice en Australie, évoque les dangers d’une dépendance excessive. Elle affirme que « L’IA pourrait altérer la voix des témoins, qui est essentielle pour la preuve. »
C’est probablement la raison pour laquelle plusieurs tribunaux australiens, comme ceux du Queensland et de Victoria, imposent que toute utilisation d’IA dans les documents juridiques soumis à la cour soit clairement indiquée. Mais cela suffira-t-il à éviter les cas “hallucinants” d’IA dans les affaires judiciaires ?
Selon moi, il est crucial de mettre en place une réglementation stricte concernant l’IA dans le domaine de la justice. L’application de cette technologie doit être accompagnée de contrôles rigoureux. Cela évitera des erreurs graves et garantira une utilisation éthique et responsable de l’IA.
LaLa liste des fautes s’allonge. D’après nos sources, Sand Van Roy, la plaignante dans l’affaire Luc Besson, a déposé ce lundi 4 novembre une plainte en diffamation contre Caroline Fourest et son éditeur, Olivier Nora, le PDG de Grasset. Elle accuse en particulier l’essayiste d’avoir propagé dans son dernier ouvrage une fake news pourtant plusieurs fois démentie, et ce, sans l’avoir consultée.
Dominique Morisseau médite sur l’identité et sur les possibilités du langage dans sa nouvelle pièce, qui se déroule en Haïti.
L'ère du Far West sans loi de l'IA et de la technologie touche à sa fin, car les autorités de protection des données utilisent la législation nouvelle et existante pour se montrer plus sévères.
Edgard Garrido via ReutersMélenchon condamné pour diffamation envers un ancien journaliste du Monde (Jean-Luc Melenchon en septembre 2019 par REUTERS/Edgard Garrido) JUSTICE – Le chef de file de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a été condamné ce vendredi 24 septembre par le tribunal correctionnel de Paris pour diffamation publique à l’encontre d’un ex-journaliste du Monde qu’il avait qualifié en 2016 d’“assassin repenti”. Alors candidat à la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon s’en était pris au journal Le Monde dans un billet sur son blog, “L’ère du peuple”, en novembre 2016. Il y avait qualifié le journaliste Paulo Paranagua, spécialiste de l’Amérique Latine, d’“assassin repenti”. “Les limites admissibles de la liberté d’expression sont dépassées”, estime le jugement, consulté par l’AFP. Un “abus” de la liberté d’expression Le journaliste, désormais retraité, avait déposé une plainte en diffamation en février 2017, mais Jean-Luc Mélenchon ne s’était présenté au juge pour un interrogatoire de première comparution qu’en juillet 2019. “Jean-Luc Mélenchon, qui se fait volontiers donneur de leçons, abuse en réalité de la liberté d’expression et aura tenté sans succès d’échapper à la justice”, a déclaré l’avocat de Paulo Paranagua dans un communiqué. Condamné à une amende de 500 euros avec sursis, Jean-Luc Mélenchon devra verser 1000 euros au journaliste à titre de dommages et intérêts, ainsi qu’une indemnité de procédure de 3500 euros. Paulo Paranagua avait aussi attaqué Jean-Luc Mélenchon pour l’absence à l’époque de mentions légales sur le site melenchon.fr, faisant valoir que cela l’avait empêché d’assigner le chef de la France insoumise en diffamation au civil. Le 10 juillet 2019, le député a été condamné dans le cadre de cette procédure à verser un euro symbolique de dommages et intérêts ainsi que 2000 euros au titre des frais de justice à Paulo Paranagua. À voir également sur Le HuffPost: Le débat entre Jean-Luc Mélenchon et…
Please active sidebar widget or disable it from theme option.
{{ excerpt | truncatewords: 55 }}
{% endif %}