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Melania Trump fait son premier meeting en solo pour Donald Trump

ÉTATS-UNIS – C’est seule que Melania Trump a fait pour la première fois campagne ce mardi 27 octobre pour la réélection de son époux le 3 novembre prochain, en offrant son soutien aux victimes du Covid-19 dont le président américain et elle se sont remis, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. C’était la première fois qu’elle faisait un déplacement de campagne pour la réélection de Donald Trump depuis l’annonce de sa campagne en juin 2019. Melania Trump avait annulé la semaine dernière un meeting avec son époux en raison d’une “toux persistante”. Diagnostiquée positive au Covid-19 en même temps que son mari, dans la nuit du 1er au 2 octobre, la “First Lady” avait annoncé mi-octobre qu’elle était désormais négative. Leur fils Barron, 14 ans, a lui aussi été touché.  “Merci pour tout l’amour et le soutien que vous nous avez transmis”, a-t-elle déclaré en Pennsylvanie. “Nous allons beaucoup mieux maintenant”.   Elle a ensuite voulu lancer un message de compassion aux proches des plus de 225.000 Américains tués par le virus. “Comme beaucoup d’entre vous, j’ai fait l’expérience directement des effets du Covid-19, non seulement comme patiente, mais aussi en tant que mère et épouse inquiète”, a-t-elle raconté. “Mais je sais que beaucoup de gens ont perdu des êtres chers ou connaissent des personnes touchées à jamais par cet ennemi silencieux.” “Nous triompherons face à ce virus”, a-t-elle promis.  Melania Trump “pas toujours d’accord” avec Donald La première Dame des États-Unis est aussi revenue sur le mode d’expression sans précédent et parfois douteux de son mari. “Je ne suis pas toujours d’accord avec la façon dont il dit les choses”, a confié la Première dame, provoquant les rires de l’assemblée lors d’un discours à Atglen, dans l’État-clé de Pennsylvanie. “Mais il est important pour lui de parler directement…

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Donald Trump a-t-il vraiment été si catastrophique pour l’environnement?

ENVIRONNEMENT – Le 4 novembre 2020 n’est pas seulement le lendemain d’une élection présidentielle dont les enjeux ont rarement été aussi extrêmes: il s’agit aussi du retrait effectif des États-Unis de l’Accord de Paris sur le climat, décidé en 2017 par Donald Trump, alors récemment élu.  “Le concept de réchauffement climatique a été inventé par les Chinois pour nuire à la compétitivité de l’industrie américaine” avait d’ailleurs déclaré plus tôt le président américain… Alors d’accord, ce tweet climato-sceptique date d’avant sa prise de fonction, mais depuis, il n’a pas changé d’un pouce, joignant le geste à la parole pour défaire en masse les mesures environnementales de son prédécesseur, Barack Obama. Dis comme ça, le tableau a l’air bien sombre, mais il n’est peut-être pas si dramatique qu’il en a l’air pour la planète, comme vous allez le découvrir dans ce nouveau numéro de l’Envert du décor, le podcast environnement du service sciences du HuffPost. Vous pouvez écouter le bilan ”écologique” de Trump dans l’épisode en haut de l’article, mais surtout en vous abonnant sur Apple Podcasts ou Spotify (ou toute autre application de podcast). Vous pouvez également retrouver tous les numéros sur cette page dédiée. Si vous avez apprécié cet épisode, n’hésitez pas à le dire autour de vous et à vous abonner. Les sources utilisées:  . La liste complète des lois/dérégulations de l’administration Trump si l’environnement depuis sa prise de fonctions . L’analyse de Bob Ward sur les raisons de Donald Trump de quitter l’accord de Paris . Le rapport de Human rights watch sur la détérioration de la qualité de l’air aux États-Unis . Sur les émissions de CO2 stables, voire en légère baisse. . Sur le changement de règle de “Clean power” à “Power efficiency”. . Sur les efforts à faire sur l’objectif zéro carbone. . Sur la résistance des villes et…

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Trump a voté par anticipation à West Palm Beach, en Floride

ÉTATS-UNIS – Donald Trump s’est rendu ce samedi 24 octobre, à 10 jours de l’élection présidentielle américaine du 3 novembre, dans un bureau de vote pour voter de manière anticipée à West Palm Beach, en Floride. Le président américain est arrivé dans une bibliothèque pour accomplir son devoir de citoyen de manière anticipée, comme près de 55 millions d’Américains qui ont déjà voté en avance, notamment par crainte du coronavirus. Donald Trump portait un masque lorsqu’il s’est rendu dans le bureau de vote. “C’était un vote très sûr, bien plus sûr que quand vous envoyez votre bulletin par courrier”, a déclaré le président, qui agite régulièrement, sans preuve, la menace de fraudes massives liées au vote par correspondance. “Tout était parfait, de manière très stricte, dans le respect des règles”, a-t-il ajouté, expliquant avoir déposé un bulletin “pour un type appelé Trump”. “Vous allez être très occupés aujourd’hui, on va vous faire travailler très dur”, a-t-il déclaré aux journalistes, avant d’entamer une journée marathon au cours de laquelle il doit tenir trois meetings dans trois États différents: Caroline du Nord, Ohio et Wisconsin.  À voir également sur Le HuffPost: Au débat, Trump attaque Biden sur les affaires de son fils Hunter Source

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Covid-19: Biden promet un vaccin gratuit s’il est élu

CORONAVIRUS – Pas question de faire une sélection. Le candidat démocrate Joe Biden a promis ce vendredi 23 octobre que le vaccin contre le coronavirus serait “gratuit pour tout le monde” dans le cadre de son plan national de lutte contre la pandémie, s’il était élu à la présidence des États-Unis. “Une fois que nous aurons un vaccin sûr et efficace, il devra être gratuit pour tout le monde, que vous soyez assuré ou pas”, a-t-il affirmé, en présentant à Wilmington (Delaware) son projet pour “prendre de l’avance sur le virus”, à 11 jours de l’élection présidentielle Le président Donald Trump, à la traîne dans les sondages, veut également que le futur vaccin contre le virus, qui pourrait être prêt dans les prochaines semaines, soit gratuit. Les démocrates reprochent au milliardaire républicain de n’avoir pas mis en place une réponse fédérale forte à la pandémie, qui a fait plus de 223.000 morts aux États-Unis, pays le plus endeuillé du monde. “Le Covid-19 dépasse tout ce à quoi nous avons fait face dans notre histoire récente et il ne montre pas de signes de ralentissement”, a lancé Joe Biden, soulignant que “le virus se renforce dans pratiquement tous les États” américains. De fait, le pays a enregistré 80.000 nouveaux cas ces dernières 24 heures. “Nous sommes dans cette crise depuis près de huit mois et le président n’a toujours pas de plan”, a déclaré l’ancien vice-président, âgé de 77 ans. “Il a abandonné, il vous a abandonné, il a abandonné votre famille et il a abandonné l’Amérique”, a-t-il martelé dans un discours télévisé. Le candidat démocrate et son équipe sont allés jusqu’à troller le président américain et son manque de réponse à la crise en lançant un faux site internet intitulé “TrumpCovidPlan”.  “Après huit mois de pandémie, on a enfin trouvé…

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Election américaine 2020 : la triche sera au rendez-vous

ÉTATS-UNIS – En route vers la grande magouille. Ce mardi 3 novembre, Donald Trump va tenter de se faire réélire à la Maison Blanche, quatre ans après la victoire surprise de son “Make America Great Again” sur Hillary Clinton. Et au terme d’une campagne insipide au niveau des idées, vampirisée par le coronavirus et le concours de popularité entre Joe Biden et le président sortant, le piètre spectacle offert depuis quatre ans risque de perdurer un peu plus.  En effet, à mesure que l’échéance se rapproche, un faisceau d’indices tend à montrer que le combat électoral ne sera pas beau à voir partout aux États-Unis, du fait des républicains. De nombreuses initiatives visant à décourager les Américains d’aller aux urnes, voire à rendre leurs bulletins irrecevables, émergent ainsi aux quatre coins du pays.  Comme l’écrivait le Guardian durant l’été, rien de bien étonnant à cela avec un président sortant qui a fait de la triche un “mode de vie”, pour citer sa nièce Mary. Un homme qui trichait adolescent à ses examens, a fraudé les impôts et volerait même les parties de golf auxquelles il aime tant s’adonner. Petit tour d’horizon des manœuvres qui se mettent progressivement en branle outre-Atlantique…  Vraie ou fausse urne?  Pour entrer de plain-pied dans le sujet, quoi de mieux qu’un exemple explicite? En Californie, le parti républicain a installé des urnes illégales destinées à recueillir les bulletins par correspondance… en vue de les remettre lui-même aux autorités. Pris la main dans le sac, les dirigeants conservateurs ont assumé et, avec la bénédiction de Donald Trump, ils ont continué.  Forcément, cette manœuvre choque outre-Atlantique et les autorités locales craignent qu’elle permette aux républicains de compromettre l’élection, par exemple en imaginant qu’ils fassent disparaître certains bulletins qui n’iraient pas dans leur sens. Ou qu’ils bourrent les urnes…

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Au débat, Donald Trump attaque Joe Biden sur les affaires de son fils Hunter

ÉTATS-UNIS – Pendant une semaine, Donald Trump a accusé sur tous les tons Joe Biden de corruption. Ce jeudi 22 octobre, il a porté pour la première fois l’attaque frontalement lors de l’ultime débat télévisé entre les deux candidats, sans faire bouger les lignes de défense érigées par son rival. Avant l’ultime duel télévisé entre les deux prétendants à la Maison Blanche, l’équipe de campagne de Donald Trump avait été claire: si les journalistes ne le faisaient pas, le président républicain allait lui-même demander à l’ancien vice-président pourquoi il avait “autorisé son fils Hunter à monnayer un accès” vers son père? Le cadet de Joe Biden a fait des affaires en Chine et en Ukraine notamment, quand son père était le vice-président de Barack Obama entre janvier 2009 et janvier 2017. Le journal conservateur New York Post a publié le 14 octobre des emails récupérés sur un ordinateur portable censés prouver qu’il a mêlé son père à ses entreprises en Ukraine. Ces accusations, que Joe Biden a balayées sans en faire grand cas, sont devenues le nouveau cri de ralliement des partisans du président qui, en meeting, a lui-même qualifié la famille Biden “d’entreprise criminelle”. Sur la scène de Nashville ce jeudi, il n’a pas tardé à décocher son premier coup, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article. Lors d’un échange sur la pandémie et son impact économique, Donald Trump a lancé: “ces horribles emails… Vous devez une explication aux Américains”. “Quelqu’un vient de faire une conférence de presse, il était supposé travailler avec vous et votre famille, ce qu’il raconte est accablant”, a-t-il poursuivi.  Quelques heures plus tôt, Tony Bobulinski, qui se présente comme un ancien associé d’Hunter Biden, venait d’affirmer devant la presse que Joe Biden avait été associé à des projets de son fils en…

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Présidentielle américaine: Biden promet de sortir du pétrole, un choix politique risqué

AP Photo/Julio CortezJoe Biden a assumé vouloir se détourner à terme de l’industrie pétrolière lors de son débat face à Donald Trump ce 22 octobre à Nashville, dans le Tennessee. PRÉSIDENTIELLE AMÉRICAINE – Joe Biden a-t-il ouvert une porte aux républicains? Le candidat démocrate a pris un risque politique lors de son débat face à Donald Trump ce jeudi 22 octobre, en assumant vouloir se détourner à terme de l’industrie pétrolière, dont dépend largement l’économie de plusieurs États-clés de la présidentielle américaine. “Je me détournerai progressivement de l’industrie pétrolière, oui”, a clairement dit le candidat démocrate à la Maison Blanche. “J’arrêterai parce que l’industrie pétrolière pollue considérablement”, a-t-il insisté, soulignant que cette dernière devait être “remplacée au fil du temps par les énergies renouvelables”. “C’est une sacrée déclaration”, lui a rétorqué Donald Trump, prenant à témoin les électeurs de plusieurs États industriels. “Il détruit l’industrie pétrolière. Est-ce que vous vous en souviendrez au Texas? Est-ce que vous en souviendrez en Pennsylvanie, en Oklahoma, en Ohio?”, a interrogé le président. Pour Trump, les éoliennes “tuent tous les oiseaux” L’ancien homme d’affaires new-yorkais a qualifié de “désastre économique” le plan environnemental de son adversaire. Les démocrates “veulent détruire les immeubles pour pouvoir réduire la taille des fenêtres”, a-t-il avancé. “Si cela ne tenait qu’à eux, il n’y aurait même pas du tout de fenêtres”.    Donald Trump a par ailleurs accusé l’énergie éolienne d’être “extrêmement coûteuse” et “très intermittente”, et de “tuer tous les oiseaux”.  Il a également dénoncé l’hostilité de son adversaire aux gaz de schiste, une industrie dont dépendent de nombreux emplois en Pennsylvanie, un État pivot que se disputent âprement les deux candidats.  Depuis 2018, les États-Unis sont devenus, grâce au développement du schiste, le premier producteur de pétrole au monde et exportent plus de barils qu’ils n’en importent. Un développement qui…

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Trump et Biden, pour leur dernier débat, évitent les vagues avant l’élection

PRÉSIDENTIELLE AMÉRICAINE – Après la cacophonie totale de la première rencontre télévisée et un deuxième rendez-vous brutalement annulé, le dernier face-à-face entre Donald Trump et Joe Biden s’est déroulé dans un calme étonnant ce jeudi 22 octobre. Les deux candidats se sont en effet affrontés à Nashville, dans le Tennessee, avec des échanges bien plus respectueux que fin septembre dans l’Ohio sans pour autant céder sur leur programme à douze jours de la présidentielle américaine. Donald Trump s’est notamment montré à l’écoute et précis dans ses attaques, tout en gardant la tête froide, lorsque le débat s’est ouvert sur le coronavirus. Accusant son rival de vouloir reconfiner le pays pour lutter contre l’épidémie, le président a sorti une panoplie de chiffres et sa vision de “la vie avec le virus”.  “Quelqu’un qui est responsable d’autant de morts ne devrait pas pouvoir rester président”, a contre-attaqué le candidat démocrate, en prédisant “un hiver sombre” pour le pays le plus endeuillé au monde, avec plus de 222.000 décès dus au coronavirus. Ce dernier a reproché au républicain de ne “toujours pas avoir de plan” pour endiguer la pandémie. “Il n’y a pas un seul scientifique sérieux au monde qui pense que ça va disparaître bientôt”, a-t-il martelé, alors que le locataire de la Maison Blanche ne cesse d’assurer le contraire et de promettre un vaccin “dans les semaines à venir”. Tout en retenue (contrainte et forcée) Les échanges, bien que vifs, ont été nettement plus audibles que lors de la rencontre précédente. Cette fois Joe Biden a été lui aussi dans la retenue, ne voulant probablement pas bousculer son statut de favori dans les sondages pour le moment. Quelques semaines plus tôt, le démocrate de 77 ans avait traité le 45e président des États-Unis, 74 ans, de “menteur”, de “raciste” puis de…

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Biden attaque Trump et sa politique “criminelle” face aux migrants

AFPBiden attaque Trump et sa politique “criminelle” face aux migrants PRÉSIDENTIELLE AMÉRICAINE – Le deuxième et dernier débat avant l’élection du 3 novembre 2020, après avoir abordé le coronavirus, le racisme ou encore l’environnement, s’est tourné ce jeudi 22 octobre vers une information dévoilée la veille concernant la politique migratoire de Donald Trump. Selon une association américaine de défense des droits humains, les parents de quelque 545 enfants de migrants qui avaient été séparés aux États-Unis après avoir illégalement traversé la frontière, sont pour le moment introuvables. Joe Biden, interrogé sur le sujet, a accusé le président d’avoir mené une politique “criminelle” vis-à-vis des enfants migrants. “Ces enfants sont seuls, nulle part où aller (…) c’est criminel”, a lancé l’ancien vice-président de Barack Obama (vidéo ci-dessous). Trump says “we’re trying very hard” to find the parents of more than 500 children separated at the border.  Biden: “These 500-plus kids came with parents. …Coyotes didn’t bring them over, their parents were with them. They were separated from the parents” #Debates2020pic.twitter.com/yMzVozsPiC — Bloomberg QuickTake (@QuickTake) October 23, 2020 “Nous travaillons dur pour essayer de les retrouver”, a assuré Donald Trump en réponse, attaquant au passage Biden d’avoir participé à la construction des cages dans lesquels des enfants de migrants ont été détenus comme l’avaient montré des photos et vidéos à l’été 2018.  Biden a reconnu que l’administration Obama avait expulsé et détenu des familles à la frontière avant de mettre fin à cette politique. “Nous avons fait une erreur, et cela a mis trop longtemps à être corrigé”. President Trump defended his administration’s policy of separating families at the border. And then we went after Biden and Obama for creating detention facilities in the first place: “Who made the cages, Joe?” Key moments from the presidential debate: https://t.co/C70Bwb7Epmpic.twitter.com/XmWebvSwK4 — POLITICO (@politico) October…

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Pendant le débat avec Biden, Trump a agacé New York et ses habitants

capture ABCPendant le débat avec Biden, Trump a agacé New York et ses habitants PRÉSIDENTIELLE AMÉRICAINE – Le dernier débat avant l’élection du 3 novembre 2020 s’est ouvert ce jeudi 22 octobre sur le lourd dossier du coronavirus. Donald Trump et Joe Biden se sont affrontés, dans un calme olympien en comparaison de leur premier affrontement télévisé, sur la gestion du Covid-19, le premier promettant la réouverture du pays et des écoles, le second implorant un port du masque obligatoire sur tout le territoire et jugeant que “quelqu’un qui est responsable d’autant de morts ne devrait pas pouvoir rester président”. Alors que Trump a promis un vaccin “dans les semaines à venir” malgré les mises en garde de scientifiques qui ne s’attendant pas à une vaccination massive avant l’été 2021, le président a regretté que certains États se claquemuraient en attendant pour se protéger du virus, dont New York. President Trump slams Gov. Gretchen Whitmer: “Take a look at what’s happening with your friend in Michigan — where her husband’s the only one allowed to do anything. It’s been like a prison.” pic.twitter.com/qsLZgzSWsc — The Hill (@thehill) October 23, 2020 “Regardez ce qu’il se passe à NYC, dans cette ville magnifique où j’ai habité pendant tant d’années, qui vibrait… Elle est en train de mourir, tout le monde quitte New York.” La ville américaine continue d’imposer depuis le mois de mars des règles très strictes, dont le port du masque, la distanciation sociale et la fermeture de nombreux espaces intérieurs (restaurants, bars, cinémas, théâtres…). Une politique qui a permis de faire chuter brutalement le nombre de contaminations au coronavirus, mais qui a fait de New York “une ville fantôme” selon Trump. Un commentaire qui a sérieusement agacé les New-Yorkais sur les réseaux sociaux. Beaucoup de personnalités, dont le maire, et des…