Deux nouveaux documentaires sur la technologie que vous devez vraiment voir

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Deux nouveaux documentaires sur la technologie que vous devez vraiment voir

a:hover]:shadow-highlight-franklin dark:[&>a:hover]:shadow-highlight-franklin [&>a]:shadow-underline-black dark:[&>a]:shadow-underline-white”>Partage d’écranIl n’y a pas beaucoup de gens qui font aussi bien le travail d’expliquer la technologie aux humains ordinaires que Rich DeMuro. Vous le connaissez peut-être comme “Rich sur Tech” à la télévision si vous vivez à LA, où il est journaliste technologique pour KTLA. Vous avez peut-être aussi entendu son émission de radio / podcast ou lu sa newsletter. Je suis son travail depuis une éternité, et nos chemins se sont croisés plusieurs fois à divers événements alors que nous courions pour jouer avec de nouveaux iPhones ou téléphones Pixel. Comme tout bon journaliste, Rich utilise perpétuellement un million de gadgets. Alors je lui ai demandé de partager son écran d’accueil actuel et de me dire un peu comment tout fonctionne. J’ai obtenu même plus que ce que j’avais espéré.Le téléphone : Je porte généralement trois téléphones avec moi… ma carte SIM principale est dans un iPhone, puis j’ai généralement le dernier Samsung et Pixel en référence. Je réponds à beaucoup de questions sur ces téléphones chaque jour pour mes abonnés et parle de ce qu’on peut en faire dans mon émission de radio (et podcast !), Rich Sur Tech. Donc c’est pratique de les avoir sous la main, car la façon de faire les choses est légèrement différente sur chacun.Le fond d’écran : Mon fond d’écran est généralement assez ennuyeux. Je ne mets pas beaucoup de réflexion dessus. Parfois, je laisserai mes enfants choisir quelque chose de cool pour me représenter pour la saison, mais autrement, mon fond d’écran peut rester pendant des mois. Je le prends toujours de l’application Backdrops. Je vais simplement dans la catégorie “Abstrait” et je le trouve là.En général, les fonds d’écran de mes téléphones s’alignent, mais parfois je vais les changer indépendamment.Les applications : Sur iPhone : YouTube Music,…

‘C'est grossier’ : Les entreprises de trottinettes électriques menacent de quitter l'Italie après la mise à jour du code de la route

ACTUALITÉS

‘C’est grossier’ : Les entreprises de trottinettes électriques menacent de quitter l’Italie après la...

Peur pour les emplois après que le parlement a voté pour des casques, une assurance et de lourdes amendes pour les conducteurs ‘indisciplinés’ et le stationnement sauvage, au milieu d’une augmentation des accidents de la routeSur une route près de la congestion routière de la Piazza Venezia à Rome, un conducteur de trottinette électrique zigzague à travers une foule de piétons, qui essaient à leur tour de ne pas trébucher sur une trottinette abandonnée sur le trottoir. À la traversée adjacente, deux conducteurs de trottinette électrique passent à toute vitesse devant un feu rouge tandis qu’un autre glisse autour du virage avec son passager capturant le trajet sur son téléphone mobile.De telles scènes sont devenues courantes dans la capitale italienne et d’autres villes ces dernières années, au milieu de l’explosion de popularité des trottinettes électriques en libre-service. Mais maintenant, le gouvernement durcit le ton sur l’utilisation indisciplinée de ces véhicules dans le cadre d’une réforme plus large du code de la route.

Trump souhaite éliminer les réglementations sur l'IA, mais la Californie s'oppose.

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE

Trump souhaite éliminer les réglementations sur l’IA, mais la Californie s’oppose.

Alors que l’UE dispose actuellement d’une législation régissant l’utilisation de l’IA, l’AI Act, les États-Unis semblent vouloir exploiter tout le potentiel de cette technologie en éliminant toutes les régulations. C’est ce qu’en tout cas espère le président récemment réélu, Donald Trump. Il affirme que les protections contre l’IA sont inutiles et souhaite absolument annuler le décret qui imposait de telles protections.

Une confrontation va alors se dessiner entre Gavin Newsom, gouverneur de Californie, et Donald Trump, nouvellement élu président américain.

Newson, en compagnie des législateurs de Californie, essaye de protéger le pays contre cette décision de Trump.

Mais parviendront-ils à contrecarrer le nouveau président ? Quoi qu’il en soit, une session législative exceptionnelle débutera le 2 décembre prochain.

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Conflit entre Trump et la Californie concernant les régulations de l’IA

Donald Trump a fait savoir son projet de révoquer le décret présidentiel de Joe Biden qui mettait en place des recommandations volontaires pour réguler l’intelligence artificielle , destinées aux entreprises technologiques et aux agences gouvernementales.

Les militants craignent également que la future administration n’utilise ces technologies pour faciliter des expulsions massives, conformément aux engagements pris durant la campagne.

Pendant ce temps, la Californie a déjà initié des démarches réglementaires sur l’IA plus tôt cette année.

Cependant, les législateurs locaux indiquent que d’autres priorités pourraient dominer les discussions lors de la session extraordinaire de Newsom.

Néanmoins, les observateurs considèrent que des signes d’un nouveau conflit politique potentiel se dessinent.

L’intelligence artificielle pourrait rapidement passer d’un sujet technique abstrait à un champ de bataille entre l’administration Trump et les dirigeants démocrates californiens.

Cette situation représenterait une opportunité supplémentaire pour les démocrates de remettre en question les politiques de Trump. Mais également celle de ses nouveaux alliés technologiques qui, eux aussi, soutiennent un désengagement réglementaire concernant l’IA.

Un risque inacceptable pour la sécurité et les droits civiques

Quoi qu’il en soit, les experts en sécurité de l’intelligence artificielle ne se concentrent pas sur des scénarios apocalyptiques non fondés.

Ils se préoccupent plutôt de l’utilisation des outils d’IA dans des domaines délicats. Ces domaines incluent la santé, le logement, l’emploi, les applications juridiques, l’immigration et le secteur militaire.

Ces spécialistes soulignent également que les risques réels associés à ces technologies s’articulent autour de la discrimination, ainsi que de la surveillance intrusive et de la violation des droits civiques.

De son côté, Samantha Gordon, directrice des programmes chez TechEquity, met en lumière une question essentielle.

Ces systèmes, bien que conçus pour modéliser des situations, sont de plus en plus employés comme des substituts de prise de décision par le secteur public et privé.

« Recourir à l’IA dans la prise de décision est une pratique que je qualifie de risquée », a-t-elle déclaré. 

Elle met également en exergue les dangers potentiels de confier des choix cruciaux à des algorithmes dépourvus de jugement éthique.

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« Il n’existe pas vraiment de régulations concernant l’IA à déréglementer »

Il convient de noter que la domination californienne dans le secteur de l’intelligence artificielle est en grande partie due à un environnement concurrentiel quasiment inexistant.

Au niveau national, le cadre législatif demeure largement stable, avec un Congrès qui, jusqu’à présent, n’a pas élaboré de réglementation significative sur le sujet.

La députée démocrate Rebecca Bauer-Kahan souligne d’ailleurs cette absence de réglementation

Selon elle, face aux intentions de déréglementation de Trump et de la majorité républicaine, il existe très peu d’éléments à déconstruire.

En l’absence d’un cadre légal fédéral, le président Biden a pris l’initiative en octobre 2023 de publier un décret énonçant des principes directeurs pour l’usage de l’IA.

Ce texte repose principalement sur cinq axes politiques. Ainsi, de veiller à la protection du public américain lors de la création, de l’utilisation et de la mise en œuvre de systèmes automatisés.

Le décret demande alors aux agences fédérales de développer des stratégies qui favorisent à la fois l’innovation technologique et la protection contre les risques.

Dans cette dynamique, l’administration a créé l’US AI Safety Institute, placé sous l’égide du ministère du Commerce.

Son objectif est de renforcer les mécanismes de supervision et de sécurité concernant l’intelligence artificielle.

Dès le premier jour de son mandat …

Donald Trump a d’ores et déjà révélé son projet de révoquer le décret de Biden. Même dès son premier jour en fonction.

La plateforme républicaine pour 2024 qualifie ce décret d’entrave à l’innovation technologique. Mais lui reproche également d’imposer des croyances idéologiques radicales au développement de l’IA.

Avec une nouvelle administration, des agences comme le département de la Sécurité intérieure pourraient, en effet, bénéficier d’une large latitude d’action.

Les défenseurs des droits rappellent pourtant que les garde-fous existants étaient déjà assez fragiles.

Et selon le rapport de l’organisation Mijente, le département n’a même pas donné suite aux recommandations limitées de l’administration Biden.

A la suite de la victoire électorale de Trump, certains acteurs du secteur technologique ont manifeste un optimisme compréhensible.

Comme le montre Marc Andreessen, investisseur influent, qui a ouvertement déclaré sur X la fin des limitations.

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Pour une législation globale contre les violences sexistes et sexuelles

ECONOMIE

Pour une législation globale contre les violences sexistes et sexuelles

Alors que le procès des viols à Mazan se déroule et que la date du 25 novembre, journée internationale contre les violences faites aux femmes, approche, la prise de conscience concernant l’ampleur des violences sexistes et sexuelles (VSS) est grandissante.

Effectivement, sept ans après le début du mouvement #Metoo, le discours se libère de plus en plus : en 2023, les forces de l’ordre ont enregistré 271 000 victimes de violences conjugales, la majorité étant des femmes, un chiffre qui double par rapport à 2016. D’après l’étude annuelle du Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI), 85 % des victimes sont des femmes, alors que 86 % des mis en cause sont principalement des hommes de nationalité française (83 %).

Pourquoi une coalition pour une loi-cadre intégrale ?

La newsletter d’Alternatives Économiques

Chaque dimanche à 17h, notre analyse de l’actualité de la semaine

Malgré une hausse massive des plaintes (+ 282 % entre 2018 et 2022), les VSS demeurent largement impunies. En 2021, 94 % des affaires de viol ont été classées sans suite, une statistique alarmante qui met en lumière l’échec des systèmes existants à faire face à ce problème social important. C’est pourquoi 60 associations, incluant La Fondation des femmes, le planning familial et le Collectif national des droits des femmes, ont initié le 18 octobre 2024 une coalition visant à mettre un terme à l’impunité et à protéger les victimes.

Cette Coalition pour une Loi Intégrale contre les violences sexuelles regroupe des organisations féministes, de défense des droits des enfants, ainsi que des syndicats (CGT, FSU et Solidaires) et aussi des expert·es, juristes et défenseur·es des droits humains. Le texte final, précis et exhaustif, comprenant pas moins de 140 propositions, a été dévoilé au cours d’une conférence de presse le 21 novembre 2024.

Il s’agit d’un ensemble de dispositions législatives et réglementaires « pour s’attaquer aux racines de ces violences systémiques et mettre fin à l’impunité », afin que les pouvoirs publics apportent enfin une réponse globale et cohérente à ce problème majeur.

De quelles violences parle-t-on ?

Toutes les formes de violences sexuelles sont concernées : viols, agressions sexuelles, harcèlement sexuel, système prostitutionnel, proxénétisme, trafic d’êtres humains, ainsi que violences gynécologiques et obstétricales, mutilations sexuelles féminines, mariages forcés et violences sexuelles en ligne, que les auteurs et les victimes soient majeur·es ou mineur·es, que ces actes se produisent au sein ou en dehors du couple, sur le lieu de travail ou à domicile.

Il est à noter que cette définition très englobante des violences ne mentionne pas explicitement les violences économiques, qui concernent pourtant une grande nombre de femmes subissant un contrôle de leurs finances, un manque de ressources ou des menaces économiques.

Quelles propositions concrètes ?

<pTout d'abord, le texte préconise une politique publique continue, coordonnée et dotée de ressources adéquates pour combattre toutes les VSS. Pour cela, il est impératif qu'un ministère délégué aux Droits des femmes, disparu depuis cette mandature, supervise une instance interministérielle pour coordonner tous les ministères concernés (Éducation nationale, Intérieur, Justice, Travail, Santé…). De plus, une demande récurrente depuis des années de financement substantiel doit être envisagée.

Actuellement, l’État n’investit que 12,7 millions d’euros par an dans cette lutte (0,003 % de son budget), alors que la Fondation des femmes estime qu’il faudrait, au minimum, 344 millions par an. Et jusqu’à 2,2 milliards d’euros annuels pour garantir un soutien à toutes les femmes victimes de violences, y compris en dehors du couple.

La question de l’éducation, de la formation et de la prévention des VSS est également essentielle. Pour faire reculer « la culture du viol », il est nécessaire de systématiser trois séances d’éducation à la vie affective et sexuelle ainsi que des séances consacrées à l’égalité entre les sexes, à la lutte contre les stéréotypes sexistes et à la lutte contre les violences faites aux femmes. Il en va de même pour la formation de tou·tes les professionnel·les concernés (police, justice, Éducation nationale, médecine, travail social…).

Une section est aussi consacrée à la protection des enfants contre les violences. Ce texte plaide en faveur de l’introduction d’une infraction d’inceste et d’une imprescriptibilité des ces agressions. Il met également l’accent sur la nécessité de lutter contre l’industrie pornographique criminelle et pédo-criminelle ainsi que contre la culture du viol en ligne.

Cependant, le volet peut-être le plus significatif de cette loi intégrale concerne l’amélioration du parcours judiciaire des victimes. Cela inclut une prise en charge et des soins pour toutes les victimes (avec notamment un remboursement total par la Sécurité sociale des soins psychologiques et des traitements du psychotraumatisme, ainsi que la création de centres d’urgence accessibles 24h/24, sur le modèle belge).

Tout le parcours judiciaire doit être repensé, depuis le dépôt de plainte jusqu’à la protection et la prise en charge des victimes pendant la procédure : recrutement de centaines d’enquêteurs et enquêtrices, généralisation des brigades de police et de gendarmerie spécialisées sur les VSS, accès à l’aide juridictionnelle dès le dépôt de plainte… Il est également demandé que « pour chaque plainte déposée pour violence sexuelle, certains actes d’enquête soient obligatoirement réalisés dans un délai raisonnable ».

La protection des victimes pendant l’enquête doit être renforcée par divers outils (téléphone grave danger, ordonnances de protection accessibles à toutes les formes de violence, places d’hébergement d’urgence) et les investigations sur le passé sexuel des victimes doivent être interdites. De même, il est essentiel que les victimes soient systématiquement informées de l’évolution de leur plainte et que les décisions accompagnées d’explications claires et détaillées en cas de « classement sans suite », ce terme devant être abandonné dans les cas où des recours sont encore possibles.

Pour tout cela, les signataires réclament des « ressources pour une justice vraiment spécialisée », par la création de tribunaux spécialisés, à l’instar de ce qui se fait en Espagne. Enfin, la France doit impérativement établir une politique de suivi des agresseurs par des équipes pluridisciplinaires pendant et après leur sanction pénale afin de prévenir la récidive.

Au travail aussi !

De nombreuses violences sexuelles se produisent au travail, un lieu où les rapports de pouvoir sont exacerbés, en particulier en raison de la dépendance financière des salariées. Au cours de leur carrière, 30 % d’entre elles déclarent avoir subi du harcèlement ou des agressions sexuelles en milieu professionnel. Cependant, la prise en charge des victimes y reste très insuffisante, alors même que l’employeur a l’obligation d’assurer la sécurité de ses salarié·es.

La coalition propose dans ce sens des sanctions contre les entreprises qui n’ont pas mis en place de plan de prévention ni de procédures de signalement – procédures qui devront être réglementées. La prise en charge par l’employeur des frais des victimes de violences sexuelles au travail est également requise. Il est crucial de protéger l’emploi des victimes en réaménageant leurs horaires, leur espace de travail ou en leur accordant des jours de congé, comme c’est le cas en Irlande. Une proposition aborde également les VSS souvent ignorées qui touchent les travailleuses à domicile (aides à domicile, garde d’enfants…).

Enfin, il est également question de sujets négligés dans la lutte contre les VSS, tels que les violences obstétricales et gynécologiques ainsi que les mutilations sexuelles et les mariages forcés.

Ce texte constitue une somme d’initiatives. Et comme le rappelle la coalition, c’est un ensemble cohérent qui doit le rester : « Seule cette approche globale, socle de nos luttes, peut permettre le changement systémique, urgent et vital, pour lequel nous nous battons ». Espérons qu’à travers les manifestations d’aujourd’hui, le 23 novembre 2024, à travers toute la France, la coalition féministe sera enfin entendue.

TECHNOLOGIES

Elon Musk dirige des actes de harcèlement envers des travailleurs fédéraux individuels

Elon Musk est, en plus de nombreuses autres choses, maintenant le co-responsable du département actuellement inexistant d’efficacité gouvernementale (DOGE). Maintenant, avant même qu’il ne commence à fonctionner, il a commencé à cibler des employés gouvernementaux spécifiques qu’il dit être emblématiques du « gaspillage » du gouvernement, publiant sur eux à ses centaines de millions de followers sur X.Plus tôt cette semaine, comme rapporté pour la première fois par le Wall Street Journal, l’utilisateur X “datahazard” a partagé une capture d’écran sur X mettant en avant le rôle d’Ashley Thomas, la directrice de la diversification climatique de la US International Development Finance Corporation, en disant : “Je ne pense pas que le contribuable américain devrait payer pour l’emploi” de ce rôle. Musk l’a republié, ajoutant le commentaire “tant de faux emplois” dans un post ayant plus de 33 millions de vues.Comme le note le WSJ, les followers de Musk ont réagi exactement comme on pourrait s’y attendre : avec un flot de mèmes et de harcèlement ciblant Thomas, dont les pages LinkedIn et Facebook sont maintenant privées. Everett Kelley, président de l’American Federation of Government Employees, a déclaré au WSJ que les posts “visent à semer la terreur et la peur chez les employés fédéraux.”Inonder des cibles avec du harcèlement est une tactique que Musk a utilisée dans le passé, y compris en qualifiant un spéléologue, Vernon Unsworth, de “type pédophile”, en critiquant un ancien dirigeant de Twitter après son offre d’achat de l’entreprise, et en suggérant que le responsable de la confiance et sécurité, Yoel Roth, était favorable à la pédophilie. Tout cela, bien sûr, sous le couvert de la “liberté d’expression”.Le harcèlement qui s’ensuit est, bien sûr, précisément le but : Musk a systématiquement transformé X en un mégaphone pour ses opinions et a utilisé ce mégaphone à ses…

Poutine déclare que la Russie utilisera à nouveau un missile expérimental après une frappe en Ukraine

ACTUALITÉS

Poutine déclare que la Russie utilisera à nouveau un missile expérimental après une frappe en Ukraine

Le président ukrainien qualifie le test d’une arme nucléaire sur le territoire de son pays de « crime international »Vladimir Poutine a promis de lancer davantage de frappes en utilisant un missile balistique expérimental à portée intermédiaire, tandis que l’Ukraine a dénoncé le test de cette arme nucléaire sur son territoire comme un « crime international ».Lors d’une conférence sur la défense vendredi, Poutine a contesté les affirmations des États-Unis selon lesquelles la Russie ne posséderait qu’une « poignée » de ces missiles balistiques à haute vitesse, affirmant que l’armée en avait suffisamment pour continuer à les tester dans des « conditions de combat ». Continue reading…

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