Cinq ans de détention pour l'individu ayant accidentellement tué par balle une resident de Vaucluse à Montpellier en 2020

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Cinq ans de détention pour l’individu ayant accidentellement tué par balle une resident de Vaucluse à...

C’est une affaire qui avait touché le Vaucluse, il y a cinq ans. Le 1er janvier 2020, quelques heures après le réveillon, Laura, une jeune femme de 22 ans originaire de Monteux, a perdu la vie, tuée d’une balle en pleine tête, sur le parking d’une discothèque de l’Hérault. Il s’agit d’un homicide involontaire, puisque le tireur avait manipulé l’arme qu’il pensait déchargée, dans le but d’impressionner ses amis. Le tribunal correctionnel de Montpellier a infligé à cet Avignonnais une peine de cinq ans de prison, dont deux ferme. Étant donné qu’il a déjà purgé un an en détention préventive, il terminera sa peine avec un bracelet électronique. Cette sentence laisse un goût amer aux proches de Laura ainsi qu’à leur avocat, le Carpentrassien Marc Geiger. “Cette décision n’est clairement pas à la mesure de la douleur de la famille de Laura. Comment peut-on qualifer cela d’accident lorsqu’on manipule une arme mortelle que l’on n’est pas censé posséder ?” s’interroge l’avocat. Marc Geiger pense néanmoins que cette condamnation permettra à la famille de Laura d’avancer dans son processus de deuil.

Agression à l'arme blanche à Béziers : Ronina avait précédemment intimidé une voisine avec un objet tranchant

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Agression à l’arme blanche à Béziers : Ronina avait précédemment intimidé une voisine avec un objet...

La mère de famille soupçonnée d’avoir mortellement poignardé son voisin de palier ce samedi 30 novembre à Béziers avait averti qu’elle passerait un jour à l’acte. C’est ce que rapportent à France Bleu Hérault des voisins proches que nous avons interrogés. La suspecte de 22 ans, consommatrice de cocaïne et d’alcool, est bien connue dans sa rue, tout comme des policiers, pour son comportement violent et hystérique. Plusieurs plaintes et signalements à son encontre ont déjà été déposés. Les récits recueillis sont frappants.

La suspecte avait déjà menacé avec un couteau sa voisine du dessous. Ronina, d’origine serbe, avait déjà brandi une arme blanche dans un couloir, suspectant sa voisine d’avoir abusé de sa fillette de six ans lorsqu’elle était gardée. Cette dernière, qui a depuis quitté l’immeuble pour s’installer un peu plus loin, était lassée du comportement violent de Ronina. L’été dernier, Sandrine avait porté plainte au commissariat de Béziers après avoir été frappée devant chez elle par son ancienne voisine.

La suspecte avait également eu des altercations avec des dealers sous son immeuble. Marie-Christine, résidant juste en face de cet immeuble, a du mal à comprendre comment ce drame a pu se produire. “Ma petite voisine a effectivement été menacée avec un couteau dans son couloir. Sandrine craignait que Ronina aille trop loin. Vous savez, elle s’est déjà battue avec des dealers en bas de l’immeuble et même avec la mère de l’un d’eux. Elle cherchait des ennuis partout. J’ai déjà contacté la police. Elle s’est même attaquée à ma petite fille parce qu’elle est musulmane. Un jour, sans raison, elle a agressé Abdel, le voisin du dernier étage, lui donnant plusieurs coups de pied aux jambes.”

Ronina a tout fait pour l’intimider, en balançant des mégots depuis sa fenêtre sur sa couette ou sur son chat. Sandrine a vraiment enduré l’enfer. C’est pour cette raison qu’elle est partie, ayant été traumatisée après avoir été menacée avec un couteau dans le couloir. La police était déjà intervenue à plusieurs reprises dans cet immeuble après les accès de colère de la mère. Samedi soir, elle s’est acharnée sur la porte de la victime. Des voisins ont rapporté avoir entendu de nombreux cris et des coups violents. “Elle était complètement folle,” dit une autre voisine qui préfère garder l’anonymat. “Je n’ai pas osé monter, j’avais très peur. Je me suis enfermé chez moi.”

Ce Marocain, frappé d’un seul coup de couteau dans la bouche, résidait dans cet immeuble vétuste de la rue Guilhemon depuis plus de trois ans. “C’était quelqu’un de discret, gentil, aimable. Il disait toujours bonjour. Pas un mot plus haut que l’autre,” confie Marie-Christine. “Elle avait déjà défoncé sa porte d’entrée et elle avait déjà menacé de le faire payer, déclarant qu’un jour ou l’autre, elle réglerait ses comptes.” Depuis quelques mois, la victime, travaillant dans les vignes, était donc le souffre-douleur de cette mère de famille. À plusieurs reprises, elle prétendra à des voisins, comme lors de son audition, qu’elle le soupçonnait d’agression sexuelle sur sa fille de six ans. “Alors oui, c’est vrai, elle l’avait soupçonné,” dit Marie-Christine, “mais elle avait également des doutes au sujet de Sandrine, l’ancienne locataire qu’elle était allée tabasser chez elle. Mais vous savez, lorsque Ronina partait en laissant son enfant seule, Sandrine lui donnait à manger. Heureusement qu’elle était là.”

Marie-Christine n’est pas la seule à s’exprimer dans le quartier. D’autres voisins, comme Ienessi, affirment avoir déjà entendu des cris à de nombreuses reprises. Cette mère de famille s’emportait souvent, brisant tout ce qui pouvait l’être. Ses crises d’hystérie étaient répandues. “Cet été, j’ai même appelé la police, car j’avais peur. Elle criait si fort. Elle s’énervait très souvent.” “Un coup elle criait. Un coup elle pleurait. Je n’ai jamais voulu m’en mêler. Elle me faisait vraiment trop peur.”

Le 02/12/2024 Agression au couteau à Béziers : la mère suspectait son voisin d’attouchement sexuel sur sa fille de six ans. La porte d’entrée de la victime, détruite par la voisine © Radio France – Stéfane Pocher

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ACTUALITÉS

Guérir d’un cœur brisé: Les nouvelles approches de la douleur

Après une rupture par texto, une écrivain explore le marché des remèdes pour guérir le chagrin d’amour, de l’ancien manuel d’Ovide aux retraites modernes. Alors qu’elle navigue dans un monde peuplé de coachs de rupture et d’applications, elle participe à un atelier à Kripalu, abordant le chagrin à travers le yoga et diverses thérapies. La tendresse de ses expériences contraste avec les réalités médicales, comme le syndrome du cœur brisé, qui affecte principalement les femmes. À travers des rencontres et des réflexions, elle remet en question sa perception du chagrin et du besoin d’amour, découvrant que le chagrin peut influencer profondément la vie.

Pourquoi l'art moderne vietnamien rencontre-t-il un immense succès ?

CULTURE

Pourquoi l’art moderne vietnamien rencontre-t-il un immense succès ?

Apparu il y a cent ans, l’art moderne vietnamien est issu de la combinaison des techniques asiatiques et occidentales pendant la période de l’Indochine française. Auparavant réservé à une élite asiatique riche, principalement vietnamienne, les œuvres de ce courant artistique remportent un succès croissant auprès du public occidental ces dernières années. Trois artistes, reconnus comme les précurseurs de cet art, se distinguent particulièrement : Lê Phô (1907-2001), Mai-Thu (1906-1980) et Vu Cao Dam (1908-2000).

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Le 12 novembre 2024, le tableau Mère et enfants devant le fleuve (1975) de Mai-Thu a été vendu à 1 091 000 euros à Nantes, alors que son prix était estimé entre 200 000 et 300 000 euros. Un record en France pour une œuvre d’art moderne vietnamien, mais pas une première à l’international. Depuis environ dix ans, les œuvres de ce courant artistique éveillent de plus en plus l’intérêt des amoureux de l’art. L’art moderne vietnamien prend forme dans un Vietnam sous statut de protectorat français. Paul Doumer, gouverneur général de l’Indochine de 1897 à 1902, lance d’importants projets économiques et d’infrastructures pour moderniser la colonie. Cependant, la Première Guerre mondiale éclate, entraînant un frein à ses ambitions. Les projets redémarrent en 1920, à un moment où le gouvernement colonial souhaite promouvoir l’éducation française dans ses colonies et renforcer les échanges culturels. C’est dans ce cadre que Victor Tardieu (1870-1937), artiste français et père de l’écrivain Jean Tardieu, propose la création de la première École des Beaux-Arts en Indochine. Le peintre français découvre le Vietnam en 1921 grâce au prix de l’Indochine, qui offre au lauréat un voyage aller-retour. Pendant six mois, il parcourt la colonie avant de s’établir à Hanoï. Dans la capitale indochinoise, il fait la connaissance de jeunes artistes vietnamiens, qui soutiennent la modernisation du pays par l’empire colonial. Parmi eux, Nguyen Nam Son (1890-1973), peintre autodidacte, devient son ami.

Lê Phô : « Femmes au jardin », Paris, 1969. Huile sur toile. Collection particulière. © Adagp, Paris, [2024]

Dans ce pays où le concept d’artiste n’existe pas, et où l’art est réduit à l’artisanat, les deux amis souhaitaient créer la première École des Beaux-Arts de l’Indochine (EBAI). Avec l’appui du gouvernement colonial, l’établissement ouvre ses portes en 1925. Cette école représente un tournant dans l’histoire artistique vietnamienne. « Il y a une transformation manifeste, car l’ensemble du système artisanal en place est redéfini. L’EBAI va introduire les techniques occidentales des beaux-arts qui deviendront plus tard la référence. Il y aura une occidentalisation de la société. Et le défi pour les pays concernés sera de préserver les traditions tout en forgeant une identité à travers cette occidentalisation », souligne Anne Fort, conservatrice des collections vietnamiennes au musée Cernuschi à Paris. Le renouveau de l’art vietnamien est en marche. Victor Tardieu nourrit de grandes ambitions pour l’EBAI. Sur le modèle de l’École des Beaux-Arts de Paris, il conçoit un programme d’excellence pour ses élèves futurs. La formation de cinq ans est sélective, avec un concours à l’entrée. Elle inclut les fondamentaux des techniques occidentales : le dessin académique, la perspective, le modelage, l’anatomie et la composition. À lire aussi NEWSLETTER RFI CULTURE : Restez informé des meilleurs reportages et réflexions de l’actualité culturelle internationale, sans oublier l’Afrique. Pour le directeur de l’école, cette base solide permet aux étudiants « de retrouver le goût authentique de la tradition vietnamienne, perdu par la longue domination chinoise puis occidentale – en s’inspirant du passé artistique […] pour servir de départ à des recherches novatrices – et de proposer aux élèves les outils nécessaires pour y parvenir. » Grâce à cette ligne de conduite, les élèves approfondissent leur connaissance de leur propre culture tout en intégrant l’art occidental. Ils sont formés à harmoniser la peinture sur soie et la laque, tradition asiatique, avec la peinture à l’huile, une pratique européenne. Ce mélange donne naissance à un style nouveau, spécifiquement « indochinois », plaçant l’art vietnamien dans la modernité.

L’excellence par la polyvalence. Soucieux de l’avenir de ses élèves, Victor Tardieu conçoit une formation variée pour maximiser leurs opportunités professionnelles. « À Paris, il existe deux écoles. L’une est axée sur les beaux-arts, l’autre sur les arts décoratifs. Le programme de l’EBAI combine les deux domaines, permettant ainsi aux étudiants d’être polyvalents à la fin de leur formation. Au Vietnam, le marché des beaux-arts est pratiquement inexistant ; par conséquent, en intégrant les arts décoratifs au programme, Victor Tardieu accroit leurs chances d’employabilité », explique Anne Fort. Victor Tardieu, directeur de l’école jusqu’en 1937, continue d’encourager ses élèves. « Il était proche d’eux, comme un père. Il les conseillait tant sur leur carrière que sur leur vie », décrit la conservatrice.

Mai-Thu : « Femme à sa coiffure », Nice, 1942. Couleurs sur soie. Collection particulière. © Comité Mai-Thu, ADAGP Paris, [2024]

L’aventure française des trois pionniers. Au fil des promotions, l’EBAI a permis l’émergence de nombreux talents, parmi lesquels Lê Phô (1907-2001), Mai-Thu (1906-1980) et Vu Cao Dam (1908-2000), considérés comme les grands maîtres de l’art moderne vietnamien. Au cours de la période entre 1931 et 1937, les trois amis partent pour la France après avoir obtenu leur diplôme. Leur travail est mis en avant en Europe grâce au soutien de Victor Tardieu. Ils participent, entre autres, à l’Exposition coloniale de 1931 et à l’Exposition universelle de 1937, qui se tiennent au Bois de Vincennes. Les critiques sont élogieuses. Leurs œuvres séduisent par la diversité des supports, techniques picturales et styles, alliant influence asiatique et occidentale. Mais la Seconde Guerre mondiale commence peu après leur arrivée en France. Lê Phô et Mai-Thu s’engagent dans l’armée française de 1939 à 1940. La période post-guerre est peu propice aux commandes. « Ils ont connu des moments très difficiles financièrement. Ils n’arrivaient plus à régler leurs factures », raconte Anne Fort. Le destin des trois amis est marqué par les guerres. D’abord celle de leur pays d’accueil, puis celle de leur terre natale. Le Vietnam traverse deux guerres consécutives pendant trente-six ans, anéantissant tout espoir d’y retourner pour s’y établir. En émigrant en France, les trois amis ignoraient qu’ils quittaient définitivement leur patrie. Tout au long de leur parcours, ces artistes explorent divers styles pour s’adapter aux tendances. Ils se distinguent sur la scène parisienne par leur travail de peinture sur soie, qui met en scène un Vietnam idéalisé. Vu Cao Dam, spécialisé dans la sculpture, réalise au début de sa carrière des bustes pour des personnalités de renom telles que Maurice Lehmann, Paul Reynaud et Hô Chi Minh. Mai-Thu et Lê Phô préfèrent la peinture sur soie en représentant principalement des femmes et des scènes familiales. À partir des années 1960, les carrières des trois artistes prennent un tournant durable. Lê Phô et Mai-Thu signent un contrat avec le galeriste américain Wally Findlay en 1963, leur permettant de bénéficier d’une certaine visibilité à l’international. Vu Cao Dam, de son côté, collabore exclusivement avec le galeriste Jean-François Apesteguy à partir de 1958.

18 Vu Cao Dam posant à côté de sa sculpture « Femme nue », Hanoï, 1930. © Archives Vu Cao Dam, Majorque

Une popularité liée à la croissance économique. Autrefois oublié, l’art moderne vietnamien connaît un regain d’intérêt depuis les années 1990. « À la fin du XXe siècle, les œuvres d’art vietnamiennes ont commencé à apparaître dans les ventes aux enchères internationales à Paris, Singapour et New York. Depuis 2008, lorsque les ventes d’art d’Asie du Sud-Est ont été déplacées à Hong Kong, le public acheteur d’art vietnamien s’est élargi, passant de l’Asie du Sud-Est à Taïwan, Hong Kong et la Chine continentale, favorisant ainsi l’internationalisation de l’art vietnamien », explique Liting Hung, experte en peinture asiatique chez Sotheby’s. Cette expansion coïncide avec le développement économique du Vietnam, qui « a vu l’émergence d’une nouvelle génération de collectionneurs. Ceux-ci manifestent un fort intérêt pour les œuvres qui reflètent l’identité culturelle vietnamienne, contribuant à alimenter l’essor de l’art moderne vietnamien sur la scène internationale », ajoute l’experte. Actuellement, les œuvres des trois grands maîtres atteignent des prix dépassant les attentes. Après leur émigration en France, les trois artistes n’ont pas retourné vivre au Vietnam, « ce qui rend leurs œuvres extrêmement rares dans les collections locales, augmentant ainsi leur valeur sur le marché ». Ainsi, en 2017, Lê Phô devient le premier artiste vietnamien à atteindre le million de dollars pour une œuvre. Lors d’une vente chez Sotheby’s Hong Kong, son œuvre Family Life (1937-1939) fut adjugée à 1,2 million de dollars. Au-delà des salles de vente aux enchères, l’art moderne vietnamien se développe progressivement au-delà du cercle restreint des amateurs d’art pour capter un public plus large, notamment dans les musées. Ainsi, en 2021, le musée des Ursulines de Mâcon a proposé une rétrospective dédiée à Mai-Thu, tandis que le musée Cernuschi à Paris présente actuellement une exposition spéciale consacrée à Lê Phô, Mai-Thu et Vu Cao Dam, jusqu’au 9 mars 2025.

Pete Hegseth : Une histoire secrète

CULTURE

Pete Hegseth : Une histoire secrète

La récente nomination de Pete Hegseth comme secrétaire à la Défense par Donald Trump suscite des controverses après des allégations de mauvaise conduite, notamment la gestion financière douteuse et des comportements inappropriés en milieu professionnel. Hegseth, ayant démissionné de plusieurs organisations, a été accusé d’ivresse fréquente et d’inconduite sexuelle, selon un rapport de lanceur d’alerte. Un incident notoire implique un règlement financier pour agression sexuelle, bien qu’Hegseth nie les allégations. Des voix politiques expriment des craintes quant à sa capacité à gérer un poste crucial, évoquant des enjeux de sécurité nationale. La situation soulève des questions éthiques sur sa nomination.

Un homme dans la soixantaine a été découvert décédé à son domicile à Béziers, sa voisine a été arrêtée.

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Un homme dans la soixantaine a été découvert décédé à son domicile à Béziers, sa voisine a été arrêtée.

Un homme âgé de 61 ans a été découvert sans vie ce samedi 30 novembre 2024 au soir, dans un bâtiment situé au centre de Béziers (Hérault), vers 20h45, selon le procureur de la République de Béziers. La victime “présentait une blessure par arme blanche au cou et était allongée dans son appartement”, indique un communiqué. Les services de secours ont essayé de réanimer cet homme, sans succès. Une jeune femme en détentionLes forces de l’ordre ont trouvé “beaucoup de sang sur les lieux, notamment au sol, dans la cage d’escalier”, poursuit le communiqué, ainsi que dans l’appartement de sa voisine de palier, âgée de 22 ans. Cette dernière, également couverte de sang, a été emmenée à l’hôpital de Béziers avec sa fille de six ans, aucune n’ayant subi de blessures. La jeune femme a ensuite été mise en garde à vue pour “meurtre”.

Koze kilti - Samuel Suffren, narrer les rêves en vaisseaux en papier

CULTURE

Koze kilti – Samuel Suffren, narrer les rêves en vaisseaux en papier

Le réalisateur Samuel Suffren dévoile son court-métrage baptisé « Des rêves en bateaux de papier », le second chapitre de sa trilogie sur le rêve américain des Haïtiens, nourrie par le récit de sa propre famille.

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Synopsis : Édouard réside à Port-au-Prince avec sa fille Zara depuis cinq années. Depuis le départ de sa femme, ils n’ont reçu d’elle qu’une cassette, et cela remonte à une époque lointaine. Après tant d’années de séparation, que peut-on attendre d’un amour éloigné ? Suffren occupe le poste de président de l’Association Kit, et il est également le directeur des Rencontres du commentaire en Haïti, dont la 6ème édition se tiendra cette année, sur le thème « Territoires perdus », du 15 au 21 décembre 2024 à Port-au-Prince. Programmation musicale : Manno Charlemagne – Mal du pays.