Vente de la maison sans son approbation

Marjorie avait dans un premier temps (début 2019) pris la décision de vendre la maison de son mari mais a renoncé quelques mois plus tard. La maison d’un étage, 90m² au sol, située au bord de l’Hérault, a été acquise en espèces par le défunt en mars 2017.

Elle a découvert qu’un compromis de vente de 240.000 euros avait été signé par une agence immobilière d’Agde, mais sans son approbation. Elle a stoppé la transaction à la dernière minute étant donné qu’elle détient un quart en pleine propriété. Le montant du compromis a suscité l’étonnement de son entourage en raison de l’emplacement, avec 800m² de terrain, dans un quartier résidentiel. Le bien est aujourd’hui estimé à plus de 320.000 euros.

Marjorie réside toujours dans la maison. Sous antidépresseurs, elle est actuellement suivie, étant affaiblie depuis la perte de son mari.

Cette habitante d’Agde avait déjà subi la perte de son premier époux en 2011. Elle doit être entendue début décembre par le juge d’instruction.

‘Nous étions horrifiés’ : des parents le cœur brisé alors que leur bébé fille est enregistré comme un garçon

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‘Nous étions horrifiés’ : des parents le cœur brisé alors que leur bébé fille est enregistré comme un

Les parents ont déclaré que l’erreur du registraire du Nottinghamshire sur l’acte de naissance ne peut pas être corrigéeUne nouvelle-née devra vivre avec le mauvais sexe sur son acte de naissance après une erreur du registraire, que ses parents ont été informés qu’ils ne pouvaient pas changer.Grace Bingham et son partenaire, Ewan Murray, étaient ravis d’enregistrer leur premier enfant au bureau d’état civil de Sutton-in-Ashfield dans le Nottinghamshire la semaine dernière. Mais, après des nuits de sommeil perturbé, ils n’ont pas remarqué que le registraire avait écrit le mauvais sexe sur l’acte de naissance jusqu’à ce qu’il ait été soumis. Continue reading…

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Thanksgiving: Joaquin Phoenix demande à Biden un meilleur avenir pour les dindes graciées

NBC via Getty ImagesJoaquin Phoenix le 28 février 2021 aux Golden Globe Awards. FÊTES – C’est une tradition américaine bien connue. Depuis des dizaines d’années, les présidents américains “gracient” chaque année une dinde pour qu’elle ne termine pas dans l’assiette des Américains. La coutume veut que le président en exercice épargne une dinde – plat incontournable du repas de Thanksgiving -, avant que les Américains se réunissent en famille pour fêter l’Action de grâce. On a ainsi pu voir le président Obama, ou le président Trump, perpétuer ce geste. Mais cette tradition ne satisfait pas tout le monde. Dans une pétition lancée par Farm Sanctuary, une organisation américaine de protection des animaux, et signée par plusieurs célébrités dont Billie Eilish, Rooney Mara, Margaret Cho ou encore Joaquin Phoenix, il est demandé au président Biden d’envoyer la dinde de cette année dans un refuge animalier. “Nous avons demandé aux anciens présidents de libérer les dindes graciées dans l’un de [nos] sanctuaires sans succès, donc cette année, nous espérons que le fait d’avoir autant de célébrités de haut niveau faisant également la demande aidera à attirer l’attention sur le problème et à faire en sorte que cela se produise”, a déclaré la porte-parole de Farm Sanctuary, Meredith Turner-Smith, à nos confrères du HuffPost américain. Une tradition aux origines incertaines L’organisation affirme qu’elle est capable d’offrir un meilleur foyer à ces animaux que le peuvent les zoos ou les départements universitaires de sciences où ils sont généralement envoyés et où elle l’assure, ils ne sont “probablement pas pris en charge en tant qu’individus ayant des personnalités, des émotions, des besoins et des préférences uniques”. L’origine de la tradition est incertaine: si certains assurent que John F. Kennedy fut le premier président à se montrer magnanime lorsqu’un volatile lui a été présenté à la Maison…

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Aux États-Unis, la justice enquête sur une corruption présumée pour obtenir une grâce prononcée par Trump

Brendan Smialowski / AFPLe président sortant a accordé des grâces ou des réductions de peine à plusieurs alliés politiques, dont son ancien conseiller de campagne Roger Stone ÉTATS-UNIS – Quel est ce “stratagème secret de lobbying” visant à obtenir une grâce présidentielle prononcé par le président Donald Trump, toujours au pouvoir jusqu’en janvier? Le ministère de la Justice des États-Unis enquête sur ce système de corruption présumé qui aurait impliqué des financements de campagne électorale afin d’obtenir une grâce prononcée par le président américain, révèle un dossier judiciaire publié ce mardi 2 décembre.  Le document -qui traite de la légalité de la recherche des communications et des dispositifs électroniques des individus, y compris les avocats- ne permet pas d’identifier des personnes, les noms ayant été caviardés. Il fait cependant référence à un “stratagème secret de lobbying” visant de “hauts responsables de la Maison Blanche” afin obtenir une “grâce ou un sursis” d’exécution de peine, de la part du chef de l’État, pour un individu dont le nom n’apparaît pas. Ce système, qui fait l’objet d’une enquête depuis au moins le mois d’août, semble impliquer des lobbyistes et des avocats, un riche donateur ayant financé des campagnes politiques ainsi qu’une personne qui se trouve ou se trouvait en prison et compte sur une intervention présidentielle. Selon le rapport, les lobbyistes et avocats auraient contacté les responsables de la Maison Blanche pour demander une grâce ou un sursis présidentiel, en citant les “contributions substantielles à la campagne effectuées par le passé” et les “contributions politiques importantes prévues” par un donateur. Il laisse entendre que le donateur a présenté cette offre au nom d’une personne sollicitant la clémence présidentielle. Plusieurs grâces présidentielles ont été accordées par Trump  Le document n’indique pas quand les actions en cause ont eu lieu. Et dans les parties où les noms…

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Aux États-Unis, Grace, 15 ans, en est à 73 jours de prison pour n’avoir pas fait ses devoirs

Emily Elconin / ReutersDans la banlieue de Detroit, une adolescente s’est retrouvée en prison après n’avoir pas réussi à suivre des cours en ligne. ÉTATS-UNIS – “Donnez-vous une chance d’aller au bout et d’enfin terminer quelque chose dans votre vie…” Le 20 juillet dernier, au terme de trois heures d’audience, voici ce que la juge du comté d’Oakland (près de Detroit, au nord des États-Unis) Mary Ellen Brennan a déclaré à l’adresse d’une adolescente de quinze ans surnommée “Grace” pour préserver son anonymat.  Une manière de dire à la jeune femme que non, elle ne sortirait pas de prison de sitôt. Le crime de cette élève de 10th grade (l’équivalent de la seconde en France) du lycée Groves High School? N’avoir pas rendu des devoirs en ligne comme elle était censée le faire.  Mise à l’épreuve ratée L’histoire commence à se nouer quelques mois plus tôt. En novembre 2019, Grace voit sa propre mère porter plainte pour violences après une altercation entre elles, puis une seconde plainte pour un vol s’ajoute au dossier. En avril, au terme de la procédure judiciaire, elle écope d’une mise à l’épreuve. Sauf que quelques semaines plus tard, le travailleur social surveillant la jeune femme apprend qu’elle ne s’est pas réveillée à l’heure un matin d’école à distance et qu’elle n’a pas fait ses devoirs en ligne.  Pour le juge, immédiatement prévenu, il n’y aucun doute: Grace n’a pas respecté les termes de sa mise à l’épreuve, ce qui lui vaut d’être incarcérée dans le centre de détention pour mineurs du coin. À la date où sont écrites ces lignes, elle y a déjà passé 73 jours.  Une histoire ubuesque qui commence à faire parler aux États-Unis. En effet, si l’adolescente a bien commis un délit en s’en prenant à sa mère, Grace demeure une…