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Je suis HPI et je voudrais que l’on arrête de me considérer comme “à côté de la plaque” parmi...

HAUT POTENTIEL – Autiste haut potentiel, hikikomori, asperger, zèbre, HPI, TDAH, enfant indigo, syndrome de l’imposteur. Autant de termes qui me désignent, presque comme venu d’une autre planète, pour aider une société totalement perdue qui a besoin d’étiquettes juste pour me comprendre et qui malheureusement éprouve un mal fou à me venir en aide. Je ne parlerai pas de spiritualité ici, car la psychologie restant un domaine déjà très difficilement appréhendable, aborder la spiritualité serait carrément inutile. J’invite néanmoins toute personne qui cherche certaines réponses à s’y intéresser, en faisant attention de garder l’un des deux pieds sur terre. La souffrance psychique est encore un tabou De nos jours, la souffrance psychologique reste encore un tabou ou une incompréhension pour la plupart des gens et pour la société en général. Les personnes atteintes de ces troubles qui réussissent à vivre parmi les gens “normaux” sont de vrais survivants à mes yeux. Vous avez envie de raconter votre histoire? Un événement de votre vie vous a fait voir les choses différemment? Vous voulez briser un tabou? Vous pouvez envoyer votre témoignage à temoignage@huffpost.fr et consulter tous les témoignages que nous avons publiés. Pour savoir comment proposer votre témoignage, suivez ce guide! À force de voir tous ces articles dans les médias à propos de ces personnes qui sortent totalement de l’ordinaire, je me dis qu’il est important d’en parler. De nombreuses personnes dans cette situation en arrivent à penser que le seul moyen d’échapper à cette lutte sans fin est d’en finir. Je le comprends, car moi aussi il m’est arrivé de penser cela, et dans cet état d’esprit la journée parait très longue. Il existe bien évidemment des aides psychologiques, des tests, des papiers qui justifient ces états, mais encore faut-il les trouver en espérant qu’ils soient disponibles. Les refus…

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Je suis autiste et travailleuse du sexe, et ça me convient très bien – BLOG

AUTISME – J’ai commencé à me dire autiste pendant la pandémie. Être isolée pendant si longtemps m’a fait comprendre que j’avais dissimulé mon handicap toute ma vie en me comportant en société d’une façon considérée comme neurotypique. Moins je me cachais, mieux je me sentais. J’ai une théorie selon laquelle les autistes savent qu’ils le sont, tout comme les personnes homosexuelles savent qu’elles le sont. En tant que bisexuelle, je n’ai pas eu à me rendre chez un psychologue pour passer un test et entendre un Blanc d’âge mûr me dire si oui ou non j’étais attirée par les femmes. Mais pour je ne sais quelle raison, c’est ce que la société exige des personnes autistes. Sans diagnostic écrit noir sur blanc, nous ne sommes pas reconnus (bien que ce diagnostic nous aide rarement à nous intégrer socialement). Pendant presque toute de ma vie, j’ai su que j’étais différente, même si j’ignorais pourquoi. Après des heures passées à raconter ma vie à mon psy, faire des QCM de personnalité et lui envoyer par email les caractéristiques de l’autisme auxquelles je m’identifiais, j’ai été dévastée quand il m’a dit qu’il ne pensait pas que je l’étais. J’ai essayé de continuer à le regarder dans les yeux et de rester calme, alors que j’entrais en état de dissociation. Vous avez envie de raconter votre histoire? Un événement de votre vie vous a fait voir les choses différemment? Vous voulez briser un tabou? Vous pouvez envoyer votre témoignage à temoignage@huffingtonpost.fr et consulter tous les témoignages que nous avons publiés. Pour savoir comment proposer votre témoignage, suivez ce guide! Certitude du diagnostic Je lui ai demandé pourquoi il ne me croyait pas, moi qui étais si certaine de l’être. J’étais restée debout jusqu’à 3 heures du matin à regarder des vidéos TikTok de gens…

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Comment la technologie m’ouvre au monde malgré ma myopathie

Parmi les 2,69 milliards de gamers du monde entier, il y a Toine (31 ans) atteint d’une maladie rare : la myopathie. Fan de jeux vidéo et de technologie en général depuis 20 ans, il est à l'affût des dernières nouveautés dans le domaine, notamment parce qu’il ne peut pas faire sans. En gros, la technologie l’aide au quotidien, de Google Home à son bras électronique. VICE a rencontré Toine pour comprendre comment la technologie l’occupe et l'ouvre au monde extérieur.  VICE : T’es atteint de myopathie depuis tout petit. Tu peux nous en dire plus sur cette maladie et ce qu’elle implique pour toi ? Toine : J’ai la myopathie de Duchenne. Il y a plus de 600 types de myopathie dans le monde, mais malheureusement, j’ai la plus grave. C’est au niveau de l’ADN et des chromosomes. Je ne produis plus de protéines qui me permettent de régénérer mes muscles donc je perds mes muscles au fur et à mesure. En gros, les muscles et les organes ne fonctionnent plus comme il faut. C’est une maladie évolutive. Au début, t’as un peu de force. Je savais d’ailleurs marcher jusqu’à mes 7 ans. Ça implique beaucoup de difficultés dans la vie de tous les jours, mais j’essaye de positiver et de toujours avoir l’esprit occupé. Je me fixe des objectifs chaque jour, même de tout petits, comme jouer à un jeu vidéo. Ça me permet de penser à autre chose et de relativiser. « Grâce à ce bras, je peux me gratter quand ça me chatouille, ouvrir des portes et prendre ma souris. C’est devenu une extension de moi. » Tu vis de manière indépendante ? Je suis tout le temps chez moi, devant mon ordinateur. J’ai la chance de vivre encore avec mes parents et ma maman s’occupe beaucoup de moi. Des potes…

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Après les cyber-cochons, Elon Musk présente un singe jouant aux jeux-vidéo grâce une puce

TECHNOLOGIES – Ce vendredi 9 avril, Elon Musk a partagé via son compte Twitter une vidéo où l’on peut voir un macaque s’amuser avec un jeu vidéo en contrôlant ses actions par la pensée. Le milliardaire présentait un des derniers travaux de Neuralink, un projet qui a pour but de développer l’usage des puces cérébrales, une technologie pouvant s’avérer utile dans des situations de handicap lourd, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. Dans la vidéo de 3 minutes publiée par la société basée à San Francisco, on peut observer un singe, Pager, qui a subi l’implantation de 2 puces Neuralink. Une de chaque côté de son cerveau. Le primate utilise un joystick pour suivre un curseur sur un écran. Une voix off nous explique que Neuralink enregistre des données à partir de plus de 2000 électrodes implantées dans les régions du cortex moteur du singe qui coordonnent les mouvements de la main et du bras. ″À l’aide de ces données, nous calibrons le décodeur en modélisant mathématiquement la relation entre les modèles d’activité neuronale et les différents mouvements du joystick qu’ils produisent. Après seulement quelques minutes d’étalonnage, nous pouvons utiliser la sortie du décodeur pour déplacer le curseur au lieu du joystick”, dit la voix off. Le singe déplace toujours le joystick par habitude, mais les scientifiques l’ont débranché. La vidéo continue pour montrer Pager jouant à “Mind Pong”. Il contrôle la pagaie qui apparaît à l’écran en pensant à déplacer sa main vers le haut ou vers le bas. La voix off ajoute: “Il est concentré et il joue entièrement de sa propre volonté. Ce n’est pas magique. La raison pour laquelle Neuralink fonctionne est parce qu’il enregistre et décode les signaux électriques du cerveau.” Effet d’annonce  Le projet présenté avec emphase sur les réseaux…

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Le traitement de l’autisme, dont mes filles et moi souffrons, est celui de la charité – BLOG

AUTISME — Je suis restée quasiment cinq décennies avant d’apprendre que j’étais autiste asperger. Jusqu’alors invisible, je ne comprenais ni ma vie chaotique ni mon sentiment de différence et de défiance envers les autres. En 2019, ma fille aînée, Jeanne, a été diagnostiquée avec un trouble du spectre de l’autisme (TSA) non déficient à treize ans. Puis, en 2020, le TSA fut confirmé pour moi et ma cadette, Flora, dix ans. J’ai vécu ce diagnostic avec un grand soulagement après tant d’errance médicale, située entre bipolaire et borderline, mais hors tableau clinique précis. Pour mes filles, le centre médico-psychopédagogique de secteur, bastion désuet de la psychanalyse, a évoqué une “dysharmonie évolutive”, terme médicalement dépassé. En 2021, les médecins connaissent encore mal l’autisme de haut niveau de fonctionnement. Vous avez envie de raconter votre histoire? Un événement de votre vie vous a fait voir les choses différemment? Vous voulez briser un tabou? Vous pouvez envoyer votre témoignage à temoignage@huffingtonpost.fr et consulter tous les témoignages que nous avons publiés. Pour savoir comment proposer votre témoignage, suivez ce guide! On naît autiste, on meurt autiste, on n’en guérit pas L’autisme n’est pas une maladie, mais un trouble neurodéveloppemental, principalement d’origine génétique. L’autisme c’est un cerveau différent! Une pensée, une façon de voir, de sentir, de ressentir différentes. Je bulle beaucoup chez moi, entourée de mes animaux adorés ou dans la nature et son calme si bénéfique. Je ne réponds pas toujours quand on me parle, car absorbée par mes pensées. Je vais directement à l’essentiel. Au lieu d’être dans les soirées entre copines, je me consacre à mes “intérêts restreints” ou passions dévorantes en oubliant le monde, car cela me fait un bien intense. Chez moi certains ne durent pas, d’autres restent. Le dessin et les animaux sont des constantes dans ma petite…

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Accompagner des élèves en situation de handicap, une profession féminisée et maltraitée – BLOG

AESH — Cette année, le 8 mars a pris une dimension particulière, puisqu’il s’agissait du “8 mars des premières de corvée”. Parmi toutes les professions qui concernent majoritairement des femmes, que la grève féministe exige de revaloriser, il en est une sur laquelle nous voulons apporter un éclairage particulier: les AESH (Accompagnant. e. s des élèves en situation de handicap).  Il y a quelques semaines, les AESH se sont mobilisés dans toute la France à l’occasion du 16° anniversaire de la loi du 11 février 2005 sur le handicap visant l’inclusion des élèves en situation de handicap. La particularité des AESH est d’être une profession extrêmement féminisée (plus de 92% de femmes). Alors nous allons faire un focus sur ces salariées que chacun s’accorde à reconnaître comme indispensables.  On dit souvent que l’État et particulièrement l’institution Éducation nationale est le plus grand pourvoyeur de précarité. C’est aussi l’une des institutions les plus maltraitantes. Faudrait-il ajouter que l’éducation nationale pratique la discrimination et le sexisme à grande échelle par le traitement fait aux AESH? La question mérite d’être posée. Pour plus de facilités, nous emploierons le féminin tout au long de cette tribune, même si des hommes sont concernés, mais en très forte minorité (moins de 8%). Petit historique du métier d’AESH. Connues au départ sous le nom d’AVS dont la majorité sont en contrats aidés limités à 2 ans, elles sont devenues par le décret de 2012 AESH, avec la mise en place d’un contrat CDD débouchant au bout de 6 ans sur un CDI, évolution du fait des besoins de main-d’œuvre et du fort turn-over de ces travailleuses, mais aussi des mobilisations de parents et de collectifs d’AVS pour pérenniser les emplois….  Aujourd’hui, elles sont 6 fois plus nombreuses qu’en 2012. Ce sont près de 100.000 AESH qui accompagnent…

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Comment le Gyrolift pourrait aider les personnes en fauteuil roulant

EMPLOI – Il pourrait améliorer les conditions de travail des personnes valides comme celles des personnes à mobilité réduite. Le Gyrolift, invention dont la commercialisation devrait commencer en mai, promet de diminuer la pénibilité de certains postes et de faciliter l’accès à l’emploi ainsi que l’intégration à une équipe pour les personnes en fauteuil. Comment ? Il s’agit du premier fauteuil monté sur gyropode (ou Segway) permettant de tourner sur soi-même et de se déplacer en position verticale, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article.  Un fauteuil pour tous  Le Gyrolift permet de monter et de descendre une marche, mais aussi d’attraper des objets en hauteur sans avoir à solliciter l’aide d’un tiers, d’être à hauteur d’yeux des personnes à qui on s’adresse et de passer sans encombre dans des espaces étroits. Le concept est né par association d’idées. Lorsque Luc Soubiel, cofondateur de Gyrolift est monté sur un Segway, ce véhicule de déplacement monté sur deux roues latérales. Celui-ci s’est demandé comment adapter ce moyen de locomotion aux besoins des personnes à mobilité réduite.  Afin de travailler sur un prototype, il s’est adressé au laboratoire de robotique de l’université de Versailles. Il y a rencontré Lambert Trénoras, aujourd’hui CEO et cofondateur de l’entreprise Gyrolift, décidé à choisir le projet comme sujet de son doctorat. Dix ans plus tard, le projet intéresse des entreprises soucieuses de renvoyer une image plus inclusive et souhaitant améliorer les conditions de travail de leurs employés, valides comme à mobilité réduite. Enedis, Daussault Systèmes et Thalès seront les premières entreprises à utiliser le fauteuil sur gyropode à sa commercialisation.  Attendu par des entreprises et des particuliers Lors de la présentation du projet chez Dassault Systèmes, Cédric Simard, responsable de la mission handicap au sein de l’entreprise s’est rendu compte que le Gyrolift suscitait également un…

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Tout le monde ne regrette pas la fermeture des cinémas

Illustration : Seth Laupus  En tant que personne à mobilité réduite, j’ai toujours eu du mal à aller spontanément au cinéma. Ma petite salle locale ne dispose que d’une seule place pour fauteuil roulant, située au dernier rang. Si une autre personne l’a réservée assez tôt, mes projets tombent à l’eau. Dans les grands multiplexes, ces places sont trop proches de l’écran : quand je suis allée voir Wonder Woman, j’ai dû me tordre le cou pour suivre le film. Ce n’était pas exactement l’expérience cinématographique que j’avais espérée. Le fait est que depuis le début de la pandémie, beaucoup se sont plaints, à juste titre, de la fermeture des cinémas. Mais pour les gens comme moi, le passage au streaming a été un changement bienvenu.  Publicité Après le premier confinement, l’industrie s’est empressée de repenser la manière de distribuer les nouvelles sorties. Depuis, de nombreux films arrivent sur les plateformes de streaming le jour où ils sont censés être présentés en salle. Les Trolls 2 a connu un succès improbable en location sur Apple TV. Il a rapporté plus au studio en trois semaines de vie numérique que le premier opus en cinq mois de projection en salle. En juillet, Netflix aurait payé 56 millions de dollars pour distribuer Les Sept de Chicago après que le Covid-19 a retardé sa sortie au cinéma. Disney, de son côté, a utilisé sa nouvelle plateforme de streaming Disney+ pour présenter en avant-première le remake live-action de Mulan. Tout cela en amène certains à s’interroger sur l’avenir du modèle traditionnel studio-cinéma. Quant aux tarifs, le streaming revient souvent moins cher. Les spectateurs ont dû débourser 25 euros, en plus du prix de l’abonnement mensuel à 6,99 euros, pour regarder Mulan sur Disney+ – cela fait beaucoup, mais pas tant comparé au prix d’un pass cinéma « famille nombreuse ». D’autres…

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Deux girafes naines découvertes en Afrique étonnent les scientifiques

ANIMAUX – Des taches brunes, de grandes pattes fines et un cou encore plus long pour pouvoir attraper les feuilles les plus haut placées. Voilà les principales caractéristiques des girafes… en temps normal. Car deux spécimens nains ont été découverts sur le continent africain, au grand étonnement des scientifiques.  La première découverte a eu lieu en Ouganda en 2015: une girafe de 2,8 mètres a été aperçue, un gabarit infiniment plus petit que celui de ses congénères, qui oscillent le plus souvent entre 4 et 6 mètres. Trois ans plus tard, en 2018, un deuxième animal de 2,6 mètres a été enregistré en Namibie.  Concrètement, les deux girafes mâles naines sont dotées de pattes bien plus courtes que le reste de l’espèce. Elles ont aussi un cou plus long (pour la girafe ougandaise) ou plus court (pour celle de Namibie). GCF researchers recently spotted 2 dwarf giraffe in Namibia & Uganda. These giraffe had shorter legs compared to others of similar age. This is the first description of dwarf giraffe, which shows how little we know about these iconic animals https://t.co/XmPFGQDIYi@BMC_seriespic.twitter.com/zighmCXTqm — Giraffe Conservation Foundation (GCF) (@Save_Giraffe) January 3, 2021 Depuis, les scientifiques étudient les deux animaux, et ont fait paraitre leurs conclusions dans une revue spécialisée le 30 décembre dernier. Ils expliquent que la taille réduite des deux animaux par une pathologie connue sous le nom de “dysplasie squelettique”, qui se manifestent pas “des troubles cartilagineux ou squelettiques qui entraînent parfois un développement osseux anormal”.  Cette maladie est connue: elle affecte généralement les humains mais aussi les animaux domestiques. En revanche, elle est très rarement observée chez les animaux sauvages. Et comme le soulignent les experts, c’est la première fois que des cas sont rapportés chez les girafes.  Comment expliquer son apparition? C’est là tout le mystère. Selon les…

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Handicap et validisme: cette avocate a pris conscience des stéréotypes après un amour de jeunesse

HANDICAP – Elisa Rojas, 41 ans, est avocate. Elle est aussi une figure du militantisme pour les droits des personnes en situation de handicap, et a publié, au début du mois de novembre 2020, son premier roman, “Mister T & moi”. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus, elle y raconte son histoire d’amour “manquée” avec Mister T, alors qu’ils étaient étudiants en droit. Manquée, peut-être, mais cette relation a été pour Elisa Rojas une prise de conscience des préjugés que pouvaient avoir les personnes non concernées sur la vie affective et sexuelle des femmes handicapées, et des personnes handicapées en général. Le sens du mot “validisme” Elle a aussi compris l’importance du militantisme et de l’explication de ces stéréotypes, qui ne sont pour elle que le fruit d’une construction sociale. Plus largement, Elisa Rojas a pris conscience de ce qu’était le validisme, bien qu’elle ne connaissait pas encore ce terme à l’époque de sa relation. “Le validisme est un système d’oppression, qui part du principe que les personnes valides sont la norme, l’objectif à atteindre, et que tout doit être pensé uniquement par rapport à elles, et qui exclut, de fait, les personnes qui ne sont pas comme elles”, explique-t-elle. Aborder ce sujet sous la forme d’un roman tenait à cœur à Elisa Rojas, qui rappelle que peu d’écrits ont été publiés sur le sujet de l’amour et du handicap, et plus largement, sur le validisme. À voir également sur Le HuffPost : Elle rappelle que les personnes handicapées sont aussi séduisantes que les autres grâce à ce hashtag Source