Saïd Sayrafiezadeh sur la dette, les sectes et nos algorithmes intérieurs
L’auteur discute de son histoire « Minimum Payment Due ».
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Le projet de Richard McGuire a une perspective fixe, mais il s’étend sur plusieurs décennies et supports.
Le YouTuber devenu boxeur a triomphé de la légende d’Iron Mike et, de manière moins impressionnante, de l’homme lui-même.
La France ne cesse d’étoffer son impressionnant palmarès à l’Eurovision Junior. Depuis son retour dans cette compétition musicale pour les artistes âgés de 9 à 14 ans en 2018, elle a toujours terminé dans le top 5, remportant le concours à trois reprises, dont les deux dernières années consécutivement.
Ce samedi, Titouan, qui représentait la France avec Comme ci, comme ça lors de l’édition 2024 à Madrid (Espagne), a réussi à décrocher la quatrième place. Ce jeune Breton de 14 ans a totalisé 177 points, dont 103 provenant des jurys professionnels (il était classé troisième dans cette catégorie) et 74 du vote du public.
Lors de l’annonce de sa participation, le jeune homme, qui avait déjà participé à « The Voice Kids », exprimait son souhait que sa chanson incite « chacun d’entre nous à être plus tolérant, plus bienveillant, plus respectueux » à chaque écoute.
Le concours a été remporté par Andria Putkaradze avec sa chanson To My Mom. Il a obtenu un score total de 239 points, devançant ainsi la Portugaise Victoria Nicole (213 points) et l’Ukrainien Artem Kotenko (X points).
Notre dossier Eurovision
Dix-sept pays ont participé à cette édition 2024 du concours organisé par l’Espagne, suite à la décision de la France, tenante du titre, de ne pas accueillir cet événement, comme le règlement le permet. La compétition a été diffusée en direct sur France 2 et commentée par Stéphane Bern et Valentina, la chanteuse gagnante de ce concours en 2020 avec J’imagine.
À noter qu’avec le trophée remporté ce dimanche, la Géorgie a célébré sa quatrième victoire dans l’histoire du concours, dépassant ainsi la France et ses trois victoires.
L’ultra-nationaliste Antonis Samaras expulsé en raison de critiques persistantes des politiques gouvernementalesL’ancien premier ministre grec et député Antonis Samaras a été expulsé du parti au pouvoir, Nouvelle Démocratie, en raison de ses critiques répétées des politiques gouvernementales.Samaras, 73 ans, un nationaliste intransigeant, avait critiqué l’approche du premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis lors des négociations avec la Turquie, qu’il a comparée à de l’apaisement. Il désapprouvait également fermement la politique gouvernementale qu’il considérait comme trop “centriste” ou “woke”, en particulier la décision de légiférer en faveur du mariage entre personnes de même sexe plus tôt cette année.
Sans surprise, la grande sortie de Half-Life d’hier n’était pas la suite de Half-Life 2 ni même le troisième épisode de Half-Life 2: Episode, mais une mise à jour pour le 20e anniversaire du légendaire jeu de 2004 de Valve. Et étant donné ce que le co-fondateur du studio, Gabe Newell, a à dire à ce sujet dans un documentaire de 2 heures que la société a diffusé en tandem avec la mise à jour, il semble moins probable que jamais que nous voyions l’un ou l’autre suivi de sitôt. Newell explique ce qu’il appelle son « échec personnel » près de la fin de la vidéo (à ce moment-là) : On ne peut pas se relâcher et dire : « Oh, nous avançons l’histoire. » C’est faire preuve de désengagement envers les joueurs, n’est-ce pas ? Oui, bien sûr, ils aiment l’histoire. Ils aiment de nombreux aspects de celle-ci. Mais dire que votre raison de le faire est que les gens veulent savoir ce qui se passe ensuite… vous savez, nous aurions pu le sortir, ça n’aurait pas été si difficile. Vous savez, l’échec était — mon échec personnel était d’être bloqué. Comme je ne pouvais pas comprendre pourquoi faire l’épisode 3 faisait avancer quoi que ce soit. Cela ne veut pas dire que la société n’a pas essayé. Une idée pour Episode 3 incluait un « pistolet à glace » que l’ingénieur David Speyrer dit dans le documentaire aurait permis aux joueurs de pulvériser des « formes amorphes » pouvant servir de barrières, de plateformes ou même de chemins en mode « Silver Surfer » qu’ils auraient tirés devant eux pour traverser des fossés. Speyrer parle aussi des ennemis « blob » qui pourraient se déplacer à travers des grilles ou se diviser en plus petits « trucs…
La problématique du sabotage en tant qu’instrument dans les luttes sociales a fait son retour sur le devant de la scène récemment. En 2008, le gouvernement Sarkozy imaginait une menace terroriste d’extrême-gauche en arrêtant le groupe de Tarnac, bien que la culpabilité des accusés dans le sabotage de lignes de TGV qui leur était attribué n’ait jamais pu être démontrée malgré les efforts de la police. Plus récemment, un ouvrage d’Andreas Malm a été publié sous le titre en français Comment saboter un pipe-line (2021) et le gouvernement Macron a tenté, sans succès, de dissoudre les Soulèvements de la terre en invoquant un risque d’éco-terrorisme (2023). Concrètement, certains membres de la CGT se sont engagés dans le mouvement de défense des retraites de 2023 en réalisant des coupures d’électricité. Ils renouaient ainsi avec une tradition qui, bien que interrompue, remonte aux débuts de ce syndicat, à la fin du XIXe siècle, comme l’indique l’historien Dominique Pinsolle, invité de Julien Théry pour cet épisode de La Grande H. Dans son ouvrage intitulé Quand les ouvriers sabotaient. France, États-Unis (1897-1918), publié par les éditions Agone, D. Pinsolle évoque l’apparition du sabotage comme moyen d’action syndicale d’abord en France, souvent à l’initiative du militant anarchiste Émile Pouget, puis aux États-Unis, grâce au syndicaliste Bill Hayworth, inspiré par les pratiques françaises. La CGT intègre même cette méthode dans ses statuts, et l’IWW (Industrial Workers of the World), le syndicat révolutionnaire américain, promeut activement son utilisation, symbolisée par le chat noir hérissé, associé par la suite à l’anarchisme. Avant que des mesures répressives proportionnelles à l’efficacité du sabotage et à la menace qu’il représentait pour les grands intérêts capitalistes ne s’abattent sur les militants et les organisations, les succès ont été nombreux. D. Pinsolle souligne la large gamme de formes que pouvait revêtir ce type…
Les lobbyistes religieux coordonnent secrètement et financent des organismes qui prétendent être dirigés par des personnes handicapées et des travailleurs de la santéDes campagnes contre l’aide à mourir qui prétendent être dirigées par des travailleurs de la santé et des personnes handicapées sont secrètement coordonnées et financées par des groupes de pression chrétiens conservateurs, a révélé une enquête de l’ Observer.Les campagnes “de base” ont été centrales dans le débat sur la légalisation de l’aide à mourir en Angleterre et au Pays de Galles avant un vote historique des députés ce mois-ci. Continuer à lire…
Aussi bienveillant que réservé. Un donateur énigmatique a pris l’initiative, par le biais d’une collecte en ligne, de fournir un million d’euros pour la réhabilitation de l’église de Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais, dévastée en septembre par un feu, comme l’indique Europe 1.
Peu de temps après l’incendie criminel qui a endommagé le bâtiment sacré, une campagne de financement avait été lancée par la Fondation du patrimoine. Plus de 135.000 euros avaient déjà été collectés. Cela reste éloigné des cinq millions d’euros prévus pour la restauration. Cependant, ce montant a été revu à la hausse grâce à la contribution d’un mécène.
<pAprès avoir gardé le mystère pendant un certain temps, la mairie de Saint-Omer a divulgué ce vendredi soir le nom de ce généreux contributeur. Il s'agit du groupe Dassault, à travers sa fondation Dassault Histoire et Patrimoine, comme l’a rapporté la Voix du nord. D’après le magazine Challenges, la fortune des Dassault était évaluée à 28,6 milliards d’euros en 2022.
Jéricho, Mu’arrajat (Cisjordanie).– Trois semaines après les événements, Rami Damanhouri est toujours accablé par des douleurs. Il a des difficultés à marcher, avec un dos rigide, des hanches figées, il ressent des douleurs dans les bras et les poignets, et il souffre de maux de tête. En ce qui concerne son moral, il préfère ne pas en parler. Toutefois, il n’est pas certain de retrouver un jour son emploi à l’école élémentaire Arab Al-Ka’abneh.
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