Marielle Heller’s “Nightbitch” Explore le côté sauvage de la maternité
Avec “Nightbitch”—dans lequel Amy Adams se transforme en chien—le réalisateur dépeint la parentalité comme une transformation viscérale.
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Les électeurs modifient leurs constitutions d’État pour protéger la liberté reproductive—et découvrent les limites de ces mesures à l’ère post-Dobbs.
La joueuse de basketball a été au cœur de la lutte pour mettre fin à l’amateurisme et améliorer l’équité entre les genres dans la N.C.A.A., et son histoire souligne la façon dont le sport universitaire évolue.
Woman of the Hour, Will & Harper, et Ses Trois Filles ne sont que quelques-uns des films à regarder sur Netflix ce mois-ci.
Dans le Georgia, Barack Obama a parlé de caractère, et dans le Michigan, Michelle Obama a rappelé aux électeurs les enjeux pour la vie des femmes.
Rescapé du chemsex, Jérémie s’est adonné durant 20 ans aux « plans plombe », des relations sexuelles non protégées aux bras d’hommes brûlants de réaliser leur fantasme : contracter son virus.
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Photo de Marina Demidiuk via Getty Images Les cas de variole du singe (monkeypox) se multiplient dans le monde entier. Les Centres de contrôle des maladies (ou CDC, Centers for Disease Control) ont confirmé au 14 juillet plus de 10 000 cas dans 59 pays, pays qui n’avaient auparavant jamais eu affaire à ce virus. Tandis que les scientifiques ne savent toujours pas si la variole du singe se transmet également par voie aérienne, nous savons avec certitude qu’elle peut se propager par contact direct avec les fluides corporels ou les lésions caractéristiques de la maladie, y compris par simple contact avec des vêtements ou du linge ayant touché la zone infectieuse. Si les premières données montrent que les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes ont été, jusqu’à présent, touchés de manière disproportionnée, il convient de noter que la variole du singe peut être transmise à n’importe qui par n’importe quel type de contact étroit et qu’elle n’est pas actuellement classée parmi les IST, l’infection pouvant survenir par contact non sexuel. Publicité À côté d’une propagation qui devient de plus en plus préoccupante, il y a tout de même une bonne nouvelle : pour la grande majorité des personnes qui sont atteintes de la variole du singe, cette maladie n’est pas mortelle. En juin, l’OMS a ainsi indiqué que sur les 2103 cas recensés dans le monde au cours du premier semestre 2022, un seul décès avait été enregistré. Les symptômes peuvent inclure de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et des maux de dos, des ganglions lymphatiques enflés, des frissons, de l’épuisement et, comme vous l’avez probablement vu un peu partout, de petites lésions cutanées qui ressemblent à des boutons ou à des cloques. Mais tout le monde ne présente pas tous les symptômes et,…
ANADOLU AGENCY VIA GETTY IMAGESUn patient atteint du coronavirus à l’hôpital de Saint Cloud le 8 février 2021 (Photo d’illustration) COVID-19 – Un risque accru pour les personnes de plus de 65 ans. Une vaste étude danoise publiée ce jeudi 18 mars a révélé qu’attraper deux fois le Covid-19 était très rare, mais moins chez certaines classes d’âge. En 2020, dans le cadre de la stratégie de tests PCR gratuites du Danemark, environ 4 millions d’individus (69% de la population) ont subi 10,6 millions de tests, notent le professeur Steen Ethelberg du Statens Serum Institut (Copenhague) et ses collègues, expliquant qu’ils ont utilisé ces données pour estimer la protection contre réinfection par le SARS-CoV-2. L’évaluation à grande échelle des taux de réinfection confirme que seule une petite proportion de personnes (0,65%) a eu un test PCR positif à deux reprises. Le taux d’infection (3,3%) était cinq fois plus élevé chez les personnes testées positives au cours de la deuxième vague après avoir eu un test négatif lors de la 1ère. Mais en prenant en compte l’âge, l’étude montre que 0,60% (55/9.137) des moins de 65 ans qui avaient eu le Covid-19 lors de la première vague, ont été testées à nouveau positives pendant la 2e vague, contre 0,88% (17/1.931) parmi les 65 ans ou plus. La protection contre une réinfection, conférée par l’infection naturelle, n’était donc que de 47% parmi les personnes âgées de 65 ans ou plus, contre 80% chez les plus jeunes, selon leur étude parue dans The Lancet comparant des résultats de tests PCR effectués lors de la première vague (entre mars et mai 2020) et la deuxième vague épidémique (de septembre à novembre) au Danemark. Aucune évaluation sur les variants du Covid-19 Les chercheurs se sont également penchés sur la protection contre la réinfection des agents de…
Entre les prêts étudiants à rembourser, les loyers exorbitants à payer et la tâche quasi impossible de trouver un emploi sans posséder au minimum cinq ans d’expérience, être jeune était déjà assez difficile comme ça. Puis l’année 2020 est arrivée et nous a donné un tout nouveau problème à résoudre : la peur quotidienne de tuer notre propre famille à cause du Covid-19. Personne ne veut être responsable de l’hospitalisation d’un proche, c’est pourquoi j’ai évité autant que possible de rentrer chez mes parents depuis que la pandémie a commencé. Mais il y a deux mois, après avoir passé quelques jours chez eux, j’ai été mis en quarantaine pendant trois semaines. Ironiquement, ma mère avait contracté le coronavirus au travail et nous avait tous infectés. Heureusement, personne n’a eu de symptômes graves. Mais tout le monde n’a pas cette chance. Au cours de l’année qui vient de s’écouler, nombreuses sont les personnes qui ont transmis le virus à leurs amants, à leurs amis et à leur famille, parfois avec de graves conséquences. Trois d’entre elles m’ont parlé de la culpabilité qu’elles avaient ressentie. Tess*, 27 ans J’étais partie en week-end avec une amie. Dès le début du séjour, elle a eu le nez bouché. Elle est un peu hypocondriaque, et à partir de là, elle n’a plus voulu s’approcher de moi à moins de porter un masque. Sur le moment, je me suis dit que sa réaction était exagérée. Avec le recul, son intuition était juste. Quand nous sommes rentrées, nous avons fait le test et nous étions toutes les deux positives au Covid-19. J’ai immédiatement supposé que mon petit ami était également positif, mais j’étais moins certaine pour mon père et sa femme. J’avais vu mon père la veille de l’apparition de mes symptômes parce qu’il devait être hospitalisé pour…
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