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Avec sa panne, Facebook s’écroule en Bourse et Zuckerberg perd 7 milliards

Handout . via ReutersFacebook s’écroule en Bourse, Zuckerberg perd 7 milliards en quelques heures (photo du 25 mars 2021) RÉSEAUX SOCIAUX – La Bourse de New York a terminé ce lundi 4 octobre en forte baisse, plombée par le secteur de la technologie, Facebook et les craintes d’inflation. Selon des résultats définitifs à la clôture, l’indice Dow Jones a perdu 0,94% à 34.002,92 points. Le Nasdaq, à forte coloration technologique, a lâché 2,14% à 14.255,48 points. Le S&P 500 a abandonné 1,30% à 4.300,46 points. Poids lourd du Nasdaq, Facebook a plongé de 4,89% à 326,23 dollars, cumulant les déboires entre les accusations d’une lanceuse d’alerte sur la politique du groupe et une méga-panne de plusieurs heures de ses réseaux. Depuis ses sommets début septembre, le titre a perdu 15%. Neuf des onze secteurs du S&P ont terminé dans le rouge, lestés par les secteurs de la communication (-2,11%) et des technologies de l’information (-2,36%). Facebook est restée “au centre de l’attention comme l’un des plus sérieux perdants” de la séance ”à la suite de l’interview d’une lanceuse d’alerte et de problèmes internes à l’entreprise”, ont résumé les analystes de Schwab. “Le profit plutôt que la sûreté” Le réseau social est d’abord en butte aux accusations d’une lanceuse d’alerte qui va témoigner devant le Congrès mardi pour affirmer que Facebook choisit “le profit plutôt que la sûreté”. Des recherches internes au groupe ont montré que son réseau social Instagram a des effets négatifs sur le moral des adolescentes. À cela s’est ajoutée lundi une méga-panne affectant l’accès des quatre réseaux du groupe – Facebook, Instagram, Whatsapp et Messenger – à des millions d’utilisateurs. En une séance, à cause de la chute de ses actions, le richissime cofondateur du groupe Mark Zuckerberg, 37 ans, a perdu 7 milliards de dollars en quelques heures, affirme…

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Sur Instagram, une nouvelle arnaque sur fond de deepfake

Une nouvelle arnaque en ligne a été signalée en Inde, qui présente toutes les caractéristiques de l’extorsion sexuelle. En gros, les personnes sont contactées à plusieurs reprises sur Instagram par le biais d’appels vidéo, jusqu’à ce qu’elles répondent, puis il leur est demandé de payer une somme considérable pour éviter que leur visage ne se retrouve dans un porno créé avec des deepfakes, puis envoyé à leur famille et à leurs amis. Publicité La police a réduit le champ de son enquête à un gang présumé opérant entre plusieurs États indiens : l’Uttar Pradesh, l’Haryana et le Rajasthan. Elle estime également que ces attaques sont non seulement devenues de plus en plus courantes, mais qu’elles signalent l’arrivée d’une nouvelle vague et d’un nouveau type de phishing.  Les enquêtes menées par l’unité de lutte contre la cybercriminalité de la police indienne ont également établi que la zone située à la convergence des trois États est devenue une sorte de « trou noir » pour les réseaux de téléphonie mobile, où il est difficile en pratique de localiser exactement un appareil, compte tenu de la présence de multiples tours de télécommunication. Même l’argent extorqué passe par différents systèmes, portefeuilles en ligne et plateformes de paiement, créant un labyrinthe de transactions de plus en plus difficile à détecter et à retracer. Ce n’est pas la première fois que de telles escroqueries ont lieu en Inde. Par le passé, les escrocs ont envoyé des mails de phishing ou des liens vers de faux sites web et portails d’achat afin de voler les données des cartes de crédit. Ou ils ont prétendu avoir piraté les webcams des gens pendant qu’ils regardaient du porno.  La police a arrêté trois hommes qui, selon elle, sont liés à un réseau plus vaste qui utilise des deepfakes pour cibler ses victimes, créant…

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Pourquoi j’ai arrêté de suivre mes influenceurs préférés

Qu’on les adore, qu’on les déteste ou qu’on adore les détester, jamais les influenceurs n’avaient autant fait parler d’eux que pendant la pandémie. Au début de l’année 2020, alors que le cauchemar commençait tout juste, certains prédisaient que la bulle des influenceurs allait éclater, le contenu aspirationnel devenant de plus en plus insupportable pour les humbles masses. Publicité Selon le Global Digital Report de 2021, 4,2 milliards de personnes utilisent les réseaux sociaux aujourd’hui, ce qui représente une hausse de 13 % par rapport à l’année dernière. Le rapport indique également que l’usage des réseaux sociaux s’est « nettement accéléré » depuis le début de la pandémie de Covid-19. Dans une autre étude menée en 2021 en Italie par le cabinet d’études de marché Ipsos, 70 % des participants ont dit qu’ils aimaient les influenceurs tout autant qu’avant la pandémie, et 18 % ont dit qu’ils les aimaient encore plus.  Étant un pur produit de ma génération, je passe bien trop de temps sur les réseaux sociaux. Mais dernièrement, je me suis senti oppressé par les publications prolifiques et constantes des influenceurs, en particulier sur Instagram. Chaque fois que j’ouvrais l’appli, j’avais l’impression de zapper devant la télé à la recherche de quelque chose d’intéressant. En même temps, je culpabilisais de perdre autant de temps.  Au début, j’ai commencé par masquer certains contenus postés par mes influenceurs préférés, puis j’ai progressivement arrêté de les suivre. Le processus a été long et il est toujours en cours. Mais cela ne veut pas dire que ce n’est pas important. J’en ai discuté avec Marilena Iasevoli, une psychologue basée à Rome qui étudie nos relations avec les réseaux sociaux. Selon elle, nous avons souvent tendance à sous-estimer et à minimiser l’importance de nos expériences en ligne, alors même qu’elles font désormais partie intégrante de notre quotidien. « Tout comme dans…

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Critiqué, Instagram va essayer de limiter le culte du corps parfait chez les ados

Dado Ruvic via ReutersL’application Instagram sur un téléphone le 13 juillet 2021. CULTE DU CORPS – Instagram envisage d’encourager ses utilisateurs à ne pas regarder uniquement des contenus promouvant l’archétype du corps féminin mince et athlétique, après la parution d’un article accablant du Wall Street Journal (WSJ) sur l’impact du réseau social pour la santé mentale et physique des adolescentes. “Nous travaillons de plus en plus sur les comparaisons (de son corps avec celui des autres, ndlr) et l’image négative du corps”, a indiqué ce mardi 14 septembre l’application de Facebook, très populaire chez les jeunes. La plateforme dit réfléchir à des moyens de réagir “quand nous voyons que les gens s’appesantissent sur certains types d’images”, dans un communiqué publié en réaction à une enquête du quotidien économique américain. Selon le WSJ, le réseau a conscience du problème grâce à ses propres recherches, mais minimise son influence sur la psychologie des dizaines de millions de jeunes qui se connectent chaque jour. “Nous empirons le rapport à son corps d’une ado sur trois”, notait une diapo d’Instagram, diffusée lors d’une réunion en interne en 2019, selon l’article. “Anxiété et dépression” “Les ados accusent Instagram d’augmenter les niveaux d’anxiété et de dépression”, précisait une autre, pour résumer une étude sur les filles souffrant de ce genre de problème. “L’article se concentre sur des conclusions d’études limitées et les présente sous un mauvais jour”, a répondu Karina Newton, directrice des règlements publics d’Instagram. Mais ces recherches montrent “notre engagement à comprendre ces sujets complexes”. Elle fait aussi remarquer que les réseaux sociaux ne sont ni bons ni mauvais en soi, que leur influence varie d’un jour sur l’autre, et que l’on y retrouve forcément les problèmes de société qui existent dans la vie réelle. Elle espère qu’un potentiel système d’encouragements à regarder des…

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Angelina Jolie arrive sur Instagram pour partager la lettre d’une jeune Afghane

Peter Nicholls via ReutersAngelina Jolie s’inscrit sur Instagram pour partager la lettre d’une jeune afghane (Angelina Jolie lors de la première britannique de ‘Maléfique: le pouvoir du mal’ en octobre 2019 par REUTERS/Peter Nicholls) AFGHANISTAN – Un nouveau compte sur les réseaux sociaux pour une grande cause. L’actrice Angelina Jolie s’est créé un compte Instagram ce vendredi 20 août pour une raison très sérieuse: donner de la visibilité au peuple afghan.  Sur son tout nouveau compte, l’actrice, envoyée spéciale du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), a partagé la lettre d’une adolescente afghane qui partage sa peur face à l’arrivée des talibans au pouvoir dans son pays.  “En ce moment, le peuple afghan perd sa capacité à communiquer sur les réseaux sociaux et à s’exprimer librement. Je suis donc venue sur Instagram pour partager leurs histoires et les voix de ceux qui, à travers le monde, se battent pour leurs droits humains fondamentaux”. “C’est une lettre que m’a envoyée une adolescente en Afghanistan”, explique-t-elle. Dans cette lettre manuscrite, la jeune fille explique qu’avant l’arrivée des talibans, elle allait étudier, elle pouvait sortir. Mais tout a changé lors du retrait des troupes américaines et l’arrivée en quelques jours des insurgés. “Nous avions tous des droits et nous pouvions tous les défendre librement. Mais quand ils sont arrivés, nous avons tous eu peur d’eux et nous pensons que tous nos rêves sont partis. Nous pensons que nos droits ont été violés. Nous ne pouvons pas sortir. Étudier et travailler c’est hors de portée. Certains disent que les talibans ont changés, mais je ne le pense pas car ils ont un très mauvais passé”, peut-on lire.  “Nous avons tous perdu notre liberté et nous sommes à nouveau emprisonnés”, conclut sombrement la jeune fille dans sa lettre. Angelina Jolie ”écœurée” “J’étais…

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Nabilla Vergara critiquée par Hugo Clément après une photo avec un dauphin

PEOPLE – Jeudi 12 août 2021, Nabilla Vergara, la star de la télé-réalité a publié une photo de sa famille accompagnée d’un dauphin en captivité. L’influenceuse a reçu de très nombreuses critiques, y compris du journaliste et grand défenseur de la cause animal, Hugo Clément, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. En pleines vacances en Turquie, l’épouse de Thomas Vergara ne pensait pas susciter autant de réactions. Hugo Clément a publié une story Instagram dans laquelle il dénonce la responsabilité de l’influenceuse. “Six millions d’abonnés et ça fait la promo de l’enfermement des dauphins. Enfermés dans des piscines pendant de longues années, ils souffrent”, dénonce-t-il. Quelques heures ont suffi pour pousser la jeune femme à désactiver l’espace commentaires de sa publication. Quatre jours avant l’épisode du dauphin en captivité, une autre de ses publications avait suscité la polémique. De nombreuses personnes ont reproché à Nabilla Vergara d’embrasser son fils sur la bouche. Après autant de critiques en si peu de temps, l’ancienne star de la télé-réalité a dénoncé un acharnement envers les influenceurs. “Ce serait bien de ne pas jeter la pierre à la même personne. Il n’y a pas que Nabila sur Terre. Il y aussi plein d’autres gens qui font des bisous sur la bouche à leurs enfants. Il y aussi plein d’autres gens qui vont voir les dauphins. Il n’y a pas que les influenceurs, lance-t-elle. Les influenceurs, c’est ceux qui montrent, qui assument entre guillemets, mais il y a plein d’autres êtres humains qui font plein de choses et qui ne le montrent pas.” À voir également sur Le HuffPost: Dans “Sur le front”, le témoignage-choc d’un pêcheur sur le harponnage de dauphin Source

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Les excuses d’Instagram après la censure contre Almodovar

PIERRE-PHILIPPE MARCOU / AFPL’affiche du dernier film de Pedro Almodovar, qui présente un téton au bout duquel point une goutte de lait, a été censurée sur Instagram. Le réseau social a présenté ses excuses. RÉSEAUX SOCIAUX – Ce mercredi 11 août, le réseau social Instagram s’est dit “désolé”, par la voix de sa maison mère Facebook, après le bref retrait de publications partageant l’affiche du prochain film de l’Espagnol Pedro Almodovar, “Madres Paralelas”, qui montre un mamelon duquel pend une goutte de lait. “Nous avions d’abord retiré plusieurs publications avec cette image pour violation de nos règles sur la nudité”, a dit à l’AFP une porte-parole du groupe Facebook. “Nous faisons toutefois des exceptions afin d’autoriser la nudité dans certains cas, comme lorsqu’il y a un contexte artistique clair. Nous avons donc rétabli les publications partageant l’affiche du film d’Almodovar sur Instagram, et nous sommes vraiment désolés pour toute confusion”, a-t-elle ajouté. Grogne en Espagne Le retrait des images avait fait polémique sur les réseaux sociaux et les médias en Espagne. “Honte à vous Instagram”, a dénoncé l’auteur de l’affiche, le graphiste espagnol Javier Jaen, en publiant une capture d’écran du réseau social expliquant le retrait de l’image lundi pour non respect de ses “règles d’utilisation”. Instagram est régulièrement pointé du doigt pour le retrait automatique d’images en application de sa politique très stricte concernant la nudité et la lutte contre la pornographie. L’application affirme que ses règles ont évolué et sont devenues plus “nuancées”, pour faire des exceptions en matière de nudité lorsqu’il s’agit par exemple d’allaitement, de nudité lors de manifestations ou dans l’art. “Madres Paralelas”, qui doit sortir le 10 septembre dans les salles espagnoles, ouvrira la 78e édition de la Mostra de Venise, où il sera en compétition et qui se tient du 1er au 11…

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Une créatrice de contenu OnlyFans accusée d’encourager la pédophilie

Alors qu’elle parcourait Reddit à la recherche de nouveau contenu pour sa chaîne, la tiktokeuse Bekah Day est tombée sur un split screen qui montrait deux femmes, l’une âgée de 20 ou 30 ans et l’autre apparemment adolescente. « J’ai immédiatement pensé qu’il y avait quelque chose derrière tout ça », raconte Day. Elle a rapidement trouvé un compte Instagram : @coconutkitty143. Elle a découvert que les deux femmes sur la photo originale étaient en fait la même personne. Le compte appartenait à une créatrice de contenu pour adultes qui semblait éditer lourdement ses photos pour paraître beaucoup plus jeune. « Ce n’est pas une chose intelligente à faire », dit Day, qui a posté une vidéo devenue virale sur TikTok pour dénoncer Coconut Kitty, Diana Deets de son vrai nom, suggérant que ses photos servent d’« appât pour pédophiles ». À ce jour, la vidéo a été visionnée par 3,3 millions de personnes et a fait l’objet d’un article dans Vox, qui décrit l’affaire comme étant représentative du problème des catfish sur TikTok. Quelques jours plus tard, en Californie, Deets, qui ignorait complètement l’existence de Day, a découvert la vidéo dont elle faisait l’objet grâce à son ex-mari : « Il m’a dit que les gens disaient du mal de moi. Je n’ai pas voulu regarder et je lui ai dit de ne pas y prêter attention. » Deets explique qu’elle a déjà fait l’objet d’accusations similaires dans le passé, notamment de la part du youtubeur italien Ready to Glare, et qu’elle a développé une « peau dure » face aux critiques en ligne.  Mais l’affaire a rapidement dégénéré. Deets a été accusée d’appâter les pédophiles par Kate J. Oseen, une militante anti-pornographie qui se décrit comme une « alliée dans la lutte contre la traite des êtres humains…

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Un haut responsable catholique poussé à la démission par l’homophobie

Salut les sblarfs. Bienvenue dans Scroll, notre revue de presse des dernières news tech, tous les lundis (normalement) dans notre story Instagram et dans les colonnes de notre site. Cette semaine on parle de dénonciations inutiles et de joueurs de FIFA malins, ce qui est tout de même assez remarquable. Rappel : it’s okay to be gay Un haut responsable de l’église catholique aux États-Unis a démissionné après qu’un journal, The National Catholic Reporter, a révélé sont goût pour l’application de rencontre Grindr et les bars gay. Monseigneur Jeffrey Burrill a manifestement été trahi par les données de son téléphone portable, mais Dieu seul sait comment le journal a mis la main dessus. Notons juste que cette affaire intervient en plein scandale Pegasus.  Surprise : culture bro dans le jeu vidéo La Californie attaque Activision en justice pour culture sexiste. L’éditeur de Call of Duty et Candy Crush, entre autres, est accusé de verser des salaires inférieurs aux femmes et de les promouvoir moins souvent que les hommes. Activision jure que ce sont des histoires de performance, c’est tout. Les employées citées dans le dossier assurent que leur lieu de travail ressemble plus ou moins à une frat house.  Étonnant : tout le monde veut la peau du Zuck  Un nouveau rapport indique que Facebook a dépensé 23,4 millions de dollars en 2020 pour assurer la protection de son patron Mark Zuckerberg. C’est 40 fois plus que Jeff Bezos, le patron d’Amazon. On imagine bien que beaucoup de gens en veulent à Mark Zuckerberg, mais ça nous semble quand même énorme. En avril dernier, Facebook avait tout de même annoncé avoir « identifié des menaces sérieuses » à l’encontre de son fondateur.  Malin : faire des sous avec le pay-to-win FIFA  Les autorités ukrainiennes ont bouclé une opération illégale qui utilisait 3800…

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Les réseaux sociaux ont ruiné mon couple et mes vacances

Soyons honnêtes, ça nous est tous déjà arrivé de rester bloqué sur les réseaux sociaux en vacances. Lorsque c’est maîtrisé, il n’y a rien de bien méchant à cela. Mais le problème, c’est lorsque l’on se met à plus regarder l’écran de son téléphone que la personne avec qui on vient de débourser 800 euros de billets d’avion pour être face à un magnifique paysage – qui jusque-là n’était qu’un fond d’écran au travail. Alors que l’on pourrait enfin décrocher et arrêter de faire défiler toutes ces publications, les vacances nous laissent encore plus de temps libre pour s’adonner au scrolling, à ses risques et péril. Les réseaux sociaux peuvent vite se transformer en briseurs de ménage durant les périodes estivales. On a rencontré quelques partenaires qui en ont ras le bol de voir leur compagnon scroller sur la plage et gâcher tous leurs moments. Bruno parti en vacances en Italie avec sa copine accro à son compte Insta food Il préparait depuis des mois ce road trip italien en amoureux. Tous les deux grands amateurs de la cuisine italienne, Bruno espérait se reposer après de longs mois de travail acharné autour d’une bonne pizza, cuite au feu de bois. Mais c’était sans compter sur le compte food Instagram de sa copine spécialisé dans la cuisine et les photos de plats alléchants. « Je me doutais qu’elle allait prendre des photos, elle le fait déjà à chaque fois qu’on va au resto. Mais là j’ai craqué. » Du petit déjeuner au dîner, Bruno doit attendre dix longues minutes avant de pouvoir enfin attaquer son plat. « Elle prenait encore plus de temps que d’habitude parce qu’elle voulait que la vue derrière le plat représente bien l’Italie. Et le pire, c’est quand je devais la prendre en photo avec le plat,…