Pourquoi parlons-nous de cette manière ?
La technologie transforme de manière spectaculaire le discours politique, récompensant la quantité et la variété au détriment des messages clairs du passé.
La technologie transforme de manière spectaculaire le discours politique, récompensant la quantité et la variété au détriment des messages clairs du passé.
Dana White, le PDG de l’Ultimate Fighting Championship, a aidé Trump à atteindre les jeunes électeurs masculins. Maintenant, White dit qu’il en a fini avec la politique : “Je ne veux rien avoir à faire avec cette merde.”
L’alliance du milliardaire technologique avec le Président élu a des implications de grande portée pour l’Administration entrante.
Image : Laura Normand / The Verge Le second mandat de Donald Trump indique des évolutions majeures pour l’IA, la crypto et la politique des véhicules électriques. Quand Donald Trump sera réélu président en janvier 2025, il contrôlera la régulation d’une industrie technologique qui a considérablement évolué depuis le début de son premier mandat en 2017. L’élan initial de l’industrie technologique avec le gouvernement américain s’est estompé, et Trump, avec son successeur Joe Biden, a pris une posture critique vis-à-vis des dirigeants technologiques, bien que pour des raisons divergentes. Les agents antimonopole des deux camps ont initié certaines des premières actions significatives contre les monopoles technologiques depuis plusieurs décennies. À présent, l’industrie technologique a assimilé ces changements. Beaucoup de PDG ont jeté un regard rétrospectif sur les huit dernières années de tensions technologiques et semblent en conclure qu’ils doivent se montrer aussi apolitiques que possible – bien qu’ils soient prêts à faire du lobbying dans l’ombre. Parallèlement, certains parient que se rapprocher de Trump pourrait être avantageux – un risque qui semble porter ses fruits. Le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, qui avait été menacé par Trump d’un emprisonnement, a salué l’attitude du président élu suite à une tentative d’assassinat et a maintenu de bonnes relations avec les républicains sur les décisions de modération de contenu de Meta. Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon et propriétaire du Washington Post, a cessé son soutien à Kamala Harris dans son journal. Et bien sûr, le PDG de Tesla et propriétaire de X, Elon Musk, est devenu l’un des principaux partisans de Trump, ayant obtenu la promesse de diriger un “Département de l’Efficacité du Gouvernement” (DOGE). Trump, pour sa part, bénéficiera d’une plus grande autorité que jamais – il a écarté d’anciens soutiens qui prônaient la retenue durant son premier mandat, et des alliés…
Dans ses 公告, Kamala Harris marche sur une ligne entre l’illumination des problèmes et la reconnaissance de la folie historique de son adversaire ; Donald Trump cible sa base.
via Associated PressNeil Young appelle les salariés de Spotify à démissionner “avant que cet endroit vous bouffe” (photo de mai 2019) MUSIQUE – La légende du folk rock Neil Young poursuit sa croisade contre la plateforme de streaming Spotify: il exhorte dorénavant ses salariés à démissionner, sans quoi ils y perdront leur ”âme”. Depuis fin janvier, le musicien américano-canadien de 76 ans a pris la tête d’un mouvement de boycott de Spotify au motif que le géant suédois accueille aussi le podcast du très populaire mais controversé animateur américain Joe Rogan, accusé de propager de la désinformation sur le Covid-19 et des propos racistes. Dans sa dernière missive rendue publique lundi soir sur son site internet, Neil Young s’en prend nommément au PDG de Spotify Daniel Ek: “c’est lui votre gros problème, ce n’est pas Joe Rogan. Ek tire les ficelles”. “Tirez-vous de là avant que cela ne bouffe votre âme. Les seuls objectifs que se fixe Ek sont financiers et non artistiques ou créatifs”, écrit le chanteur. “Désinformation dangereuse” La semaine dernière, Neil Young a reçu le soutien de ses anciens comparses David Crosby, Stephen Stills et Graham Nash – les quatre évoluaient dans un groupe éponyme resté mythique – qui ont demandé eux aussi le retrait de leur musique de Spotify en raison de “désinformation dangereuse” relative à la pandémie de Covid-19 et hébergée selon eux sur la plateforme. Neil Young a été suivi par la chanteuse canadienne de folk Joni Mitchell, entraînant sur les réseaux sociaux un mouvement de désabonnement à Spotify. Et le prince britannique Harry et son épouse américaine Meghan Markle – qui ont signé avec la plateforme un accord estimé à 25 millions de dollars – ont exprimé “leurs inquiétudes” auprès du géant du streaming. Pour tenter d’éteindre l’incendie, le PDG de Spotify a…
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