Conjurer le Pire Cas
À l’approche de l’élection, ainsi que du potentiel chaos qui en découlera, un citoyen appréhensif retrace les pas d’un homme qui a chroniqué les émeutes de conscription de New York.
À l’approche de l’élection, ainsi que du potentiel chaos qui en découlera, un citoyen appréhensif retrace les pas d’un homme qui a chroniqué les émeutes de conscription de New York.
Le multitalent discute de son nouveau film, “A Real Pain” ; luttant avec ce que cela signifie d’être bon ; et les scénarios, chansons et blagues qui “ne voient jamais le jour.”
At Sendo, un sushi-ya de style Tokyo dans le centre-ville, le niveau de sophistication de la nourriture dépasse largement son prix.
Le journaliste originaire de Gaza a arrêté de se nourrir le 31 décembre, pour entamer ce qui est devenu son ultime recours pour alerter les autorités quant à la situation en Palestine.
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Mon cerveau tourne en boucle quand on me dépose au centre. Je trippe encore et quand je ferme les yeux, différentes réalités possibles défilent devant moi. Si je me concentre assez sur l’une d’entre elles, j’arriverai à rentrer dedans.
The post Comment j’ai dégommé Malik au babyfoot pendant mon séjour en HP appeared first on VICE.
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Mon cerveau tourne en boucle quand on me dépose au centre. Je trippe encore et quand je ferme les yeux, différentes réalités possibles défilent devant moi. Si je me concentre assez sur l’une d’entre elles, j’arriverai à rentrer dedans.
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Pour concilier contraintes budgétaires et véritable justice fiscale, le gouvernement pourrait davantage mettre à contribution les plus riches. D’autant que pour y parvenir, les outils ne manquent pas.
Alban Ivanov est à l’affiche du film “Challenger”. Face à Mouloud Achour dans Clique, il revient sur sa dépression survenue en pleine tournée, ses rôles-clés, mais aussi sa relation avec son père. Le film coup de poing Alban Ivanov est à l’affiche du nouveau film de Varente Soudjian, “Challenger”, en salles le 23 octobre. Il y incarne Lucas Sanchez, un boxeur amateur qui voit sa carrière exploser du jour au lendemain. Inspiré de Rocky Balboa, l’acteur fait face à de nombreuses adversités : “Mon plus gros point commun avec mon personnage, c’est la détermination, la capacité à encaisser des coups et à se relever.” Ce film signe le grand retour du comédien, après une pause de plusieurs mois. À l’adolescence, Alban Ivanov se passionne pour le théâtre et la boxe : la moelle épinière donc de son dernier projet. “J’ai eu la chance de découvrir le théâtre d’improvisation et à partir de là, ma vie a changé : j’ai mis des œillères et je voulais faire que ça.” Il considère ainsi la salle de classe comme “sa première salle de spectacle”, à une époque où ses camarades le surnomment déjà Rocky. Son burn out Celui qui nous fait rire à l’écran et sur scène a atteint un stade d’épuisement qui a mis en péril son équilibre et ses repères. Après la crise du Covid-19, il reprend sa tournée de plus belle, mais les représentations s’enchaînent à hauteur de 5 ou 6 par semaine, ce qui l’emmène vers un burn out. Cette dépression le pousse à prendre une pause de quatre mois : “Je n’arrivais plus à me ressourcer et à me reposer, c’est là que j’ai compris que je n’étais pas une machine.” Cette période intense de travail l’a empêché de voir son fils et de mener une vie personnelle et professionnelle saine. Pendant cette période, il a rééquilibré sa vie et s’est fixé de nouveaux objectifs. Il a ainsi travaillé sur sa confiance en lui : “J’ai arrêté de vivre avec l’idée que j’étais un bon à rien. J’ai appris à m’apprivoiser et devenir mon meilleur ami, j’ai été trop longtemps mon pire ennemi.” Sa relation avec son père Dans son enfance, Alban Ivanov a connu de nombreuses difficultés. Ses parents se séparent quand il est encore enfant et son père est contraint de dormir dans la rue : “Au niveau de la société, les SDF, c’est comme s’ils n’existaient pas. C’était très dur de me construire : tout le monde te dit que ton père est un moins que rien.” L’angoisse de vivre comme son père l’a longtemps suivi : “Ce sont des mauvais réflexes que de dire à un enfant qu’il va finir comme son père. Toute ma vie, j’ai lutté contre ça.” Alban Ivanov revient également sur sa relation avec son propre fils : “Je ne voulais pas qu’il ait des doutes sur mon amour pour lui alors j’ai préféré l’emmener partout.” Il déplore le rythme et la difficulté que ce genre de métier peuvent créer dans son cercle familial. “Challenger” sort en salles le 23 octobre et Alban Ivanov est en tournée dans toute la France avec son spectacle “Vedette 2.0” à partir de janvier 2025. L’interview d’Alban Ivanov est disponible en replay sur myCANAL.
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