Il y a presque deux ans, OpenAI a vanté les potentiels de l’intelligence artificielle générale (AGI) pour améliorer l’humanité. Aujourd’hui, le PDG Sam Altman cherche à tempérer ces attentes. Lors d’une interview, il a affirmé que l’AGI pourrait arriver plus tôt que prévu, mais son impact serait moins significatif. Il a expliqué que la transition vers la superintelligence prendrait du temps, soulignant que les changements économiques seraient lents au début. Altman a également évoqué un changement de terminologie, la définition d’AGI étant moins ambitieuse qu’auparavant, et a mentionné que les développements pratiques pour OpenAI dépendraient de l’AGI plutôt que de la superintelligence.
Les chercheurs ont piraté plusieurs robots dotés de modèles de langage avancés, les amenant à se comporter de manière dangereuse—et soulignant un problème plus vaste à venir….
Bien que le PDG semble impressionné par l’IA et sa toute nouvelle Apple Intelligence, il est plus convaincu que les applications de santé du géant technologique définiront l’héritage de l’entreprise….
At WIRED’s The Big Interview event in San Francisco, le PDG d’Airbnb, Brian Chesky, a déclaré que l’année prochaine, Airbnb pourrait avoir “l’une des plus grandes réinventions” de la mémoire récente….
Emmanuel Macron sera-t-il amené à démissionner ? À la suite de la tempête politique qui s’abat actuellement sur le gouvernement Barnier, l’exécutif n’a plus de recours, à part lui-même… Emmanuel Macron sera-t-il amené à démissionner ? À la suite de la tempête politique qui s’abat actuellement sur le gouvernement Barnier, l’exécutif n’a plus de recours, à part lui-même. Et les demandes de démission ou de destitution d’Emmanuel Macron se font de plus en plus pressantes dans tous les partis d’opposition, de LFI à LR, y compris chez des centristes. Michel Barnier se trouve en mauvaise posture, trois mois seulement après sa prise de fonction à Matignon. Ce bouleversement politique remet sur la table le débat sur la destitution, voire sur la démission du président de la République. Cette question précise de la destitution avait été mise en avant il y a quelques semaines par les Insoumis. On se souvient qu’une de leurs propositions de loi allant dans ce sens avait été débattue puis largement rejetée en commission des lois début octobre, avec 54 députés sur 69 ayant participé au vote contre. Alors, le départ d’Emmanuel Macron, serait-ce la conséquence logique de cette séquence parlementaire de fin d’année ? Sa popularité, quant à elle, est au plus bas. D’après un sondage réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV, 63 % des Français se prononceraient en faveur d’une démission du président de la République Emmanuel Macron en cas de chute du gouvernement Barnier. Nous en discuterons dans un instant avec Beligh. Et dans la seconde partie de cet échange, nous aborderons l’actualité à Gaza, ainsi qu’une question troublante au regard du bilan humain des frappes israéliennes depuis un peu : pourquoi le déni du génocide persiste-t-il ? Éléments de réponse, comme toujours, dans cette chronique de Beligh Nabli.
Lorsque le programmeur Micah Lee a été expulsé de X pour un post qui a offensé Elon Musk, il n’a pas regardé en arrière. Son nouvel outil pour sauvegarder et supprimer vos publications X peut vous donner cette même douce libération…
Lors de sa conférence Re:Invent, Amazon a également annoncé de nouveaux outils pour aider les clients à créer des programmes d’IA générative, y compris un qui vérifie si les réponses d’un chatbot sont exactes ou non….
Le saké, le henné, le savon d’Alep et l’expertise des couvreurs-zingueurs français seront-ils bientôt intégrés aux « biens ou écosystèmes à valeur exceptionnelle » déjà honorés par l’Unesco comme éléments du patrimoine culturel immatériel ?
C’est la décision que devra prendre le Comité intergouvernemental qui se réunit depuis le lundi 2 décembre jusqu’au jeudi 5 décembre 2024, à Asuncion (Paraguay), pour examiner l’inscription de 66 nouveaux éléments présentés sous le prisme des « traditions communautaires ».
Le Japon espère, par exemple, voir reconnue la pratique de la fabrication et de la consommation du saké, un alcool à base de riz ; seize pays arabes vont défendre les traditions liées au henné, une plante dont les feuilles sont utilisées pour faire des tatouages et colorer les cheveux ; la Côte d’Ivoire cherchera à faire valoir son « savoir-faire en matière de préparation de l’Attiéké », une semoule obtenue à partir de manioc, etc.
Un reflet de « la manière dont nous percevons le monde »
Mais concrètement, quel est l’intérêt pour un pays ou une région de faire reconnaître une tradition, une consommation ou des pratiques locales ?
Interrogée par l’AFP, la secrétaire de l’Unesco Fumiko Ohinata indique que cette reconnaissance aide à « sensibiliser sur l’importance du patrimoine culturel », qui illustre « la manière dont nous percevons le monde et comment nous interagissons avec autrui ».
Une explication dont la portée symbolique est évidente, mais dont l’intérêt « matériel » peut être moins clair. D’autant plus qu’une fois qu’une inscription est validée, l’Unesco n’a pas la capacité de contraindre les États à placer des mesures de protection ou de préservation sur ce bien, précise le journal L’Alsace.
Écho amplifié
En revanche, une inscription au patrimoine culturel immatériel agit comme une « caisse de résonance »: une tradition ou pratique très locale sera ainsi « couverte » – au moins temporairement – par les médias internationaux qui, en lui consacrant des reportages, l’exposeront au reste du monde.
Certaines candidatures en tireront de réels avantages, notamment en matière de tourisme, tandis que d’autres n’y verront qu’une confirmation d’une renommée déjà existante.
Parmi les biens ou écosystèmes à valeur exceptionnelle reconnus par l’Unesco figurent, par exemple, les traditions autour de la célèbre pizza napolitaine (2017), de la capoeira brésilienne (2014) ou du flamenco espagnol (2010).
Trois propositions françaises
La France, qui compte déjà 24 « classés » (parmi lesquels la culture de la baguette, le compagnonnage, les fest-noz ou les chants corses), se classe au troisième rang des nations les plus « distinguées » (derrière la Chine, avec 35 éléments, et la Turquie, qui en totalise 27).
Elle propose cette année trois traditions au Patrimoine immatériel de l’Unesco : l’art de la construction en pierres sèches, le savoir-faire des couvreurs-zingueurs restaurateurs et décorateurs des toits en zinc de Paris et, avec la Belgique, la culture foraine qui engendre les événements éponymes dans les villes et villages de ces deux nations.
Notre dossier « Patrimoine mondial de l’Unesco »
Adoptée en 2003 et entrée en vigueur en 2006 après ratification par trente États membres, la convention sur le patrimoine culturel immatériel, après un début hésitant, est aujourd’hui un succès diplomatique, avec 183 signataires, représentant presque l’ensemble de la communauté internationale. Environ 145 États ont vu un ou plusieurs de leurs éléments culturels validés.
Alors que les utilisateurs du monde entier attendent leurs statistiques Spotify Wrapped, la réponse d’Apple Music à cette fonction populaire est désormais disponible pour tous. La fonction similaire à Spotify Wrapped, appelée Apple Music Replay, offre aux utilisateurs un retour sur leur année musicale en mettant en avant leurs meilleures chansons, artistes et albums.
Le Replay de cette année comprend des moments forts supplémentaires, notamment des “séquences d’écoute” qui montrent aux utilisateurs le plus grand nombre consécutif de jours pendant lesquels ils ont écouté de la musique sur le service de streaming.
De plus, le Replay vous indiquera la date à laquelle vous avez écouté pour la première fois votre chanson, artiste et album préférés de l’année.
Le Replay permet également aux utilisateurs de revenir sur leur année mois par mois, en affichant leurs meilleures chansons, artistes et albums tout au long de l’année. De plus, le Replay affiche…