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Covid-19: Les enfants n’auront pas besoin d’être vaccinés pour entrer aux États-Unis

Cavan Images via Getty ImagesLes enfants n’auront pas besoin d’être vaccinés pour entrer aux États-Unis à partir du 8 novembre 2021. (photo d’illustration) COVID-19 – Les mineurs âgés de moins de dix-huit ans n’auront pas besoin de prouver qu’ils sont vaccinés contre le Covid-19 pour entrer aux États-Unis après le 8 novembre, a indiqué ce lundi 25 octobre l’administration américaine. Un haut responsable de la Maison Blanche, lors d’une conférence téléphonique précisant les modalités de la réouverture des frontières aux voyages aériens, a indiqué que cette exemption tenait compte à la fois des différences réglementaires entre pays sur la vaccination des enfants, et de la disponibilité des vaccins. Les États-Unis rouvriront le 8 novembre aux personnes vaccinées leurs frontières, qu’ils avaient fermées à partir de mars 2020 à des millions de voyageurs du monde entier, hors motifs impérieux de déplacement. Les autorités sanitaires autoriseront toutefois quelques exceptions “très limitées” à cette obligation vaccinale, selon la même source. Selon un document distribué par l’administration américaine, outre les enfants, seront dispensés certains participants à des essais cliniques de vaccins contre le Covid-19, les personnes ayant des contre-indications médicales à la vaccination, les voyageurs devant se déplacer pour des raisons urgentes ou humanitaires (justificatif à l’appui), et les personnes venues, pour des raisons autres que le tourisme, de pays où le vaccin est difficile à obtenir. Les enfants âgés de plus de deux ans, et non vaccinés, devront se faire tester dans les trois jours avant le départ s’ils voyagent avec des adultes vaccinés. Le délai est réduit à un jour s’ils voyagent seuls ou avec des adultes non-vaccinés. Un test dans les trois jours avant de partir De manière générale, tout étranger devra se faire tester (test antigénique ou PCR) dans les trois jours avant de partir s’il est vacciné, ou dans…

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J’ai été le chef de la reine Elizabeth et de l’ancien président George H. W. Bush

Le chef Enrico Derflingher avec l’ancien président italien Giorgio Napolitano. Photos publiées avec l’aimable autorisation d’Enrico Derflingher. Aujourd’hui, j’ai appris un truc : lorsque des dirigeants du monde entier se réunissent pour des événements officiels en Europe, les organisateurs font souvent appel à une association appelée Euro Toques pour s’occuper de la bouffe. Fondée par les chefs français Paul Bocuse et Pierre Romeyer en 1986, Euro Toques s’engage à préserver les traditions culinaires européennes et les produits de qualité en rassemblant des chefs de tout le continent qui partagent les mêmes valeurs. Publicité Le chef Enrico Derflingher, président actuel de l’association, nourrit les puissants depuis plus de 30 ans. Né à Lecco, sur les rives du célèbre lac de Côme, dans le nord de l’Italie, Derflingher a été catapulté dans les cuisines du palais de Buckingham à seulement 26 ans. « Après avoir obtenu mon diplôme de l’école hôtelière, j’ai commencé à travailler pour des hôtels de luxe cinq étoiles et des restaurants étoilés au Michelin », raconte-t-il au téléphone. Un jour, il a vu une offre dans le journal pour un poste de traiteur à l’ambassade d’Italie à Londres. « Je suis arrivé à Londres et on m’a dit que je commencerais à travailler comme chef dans les cuisines du palais royal dès le lendemain. On ne m’avait pas prévenu avant », dit-il. Vingt-quatre heures plus tard, le jeune Derflingher a été brièvement initié à l’étiquette royale, avant d’être pris en charge par une voiture envoyée par Buckingham. Derflingher à l’époque où il travaillait pour la famille royale. Pendant qu’il travaillait pour la famille royale, Derflingher était chargé de superviser les huit cuisines officielles du palais de Buckingham, en veillant à ce que leurs règles à l’ancienne soient respectées et que les demandes les plus extravagantes soient satisfaites. « Nous devions…

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La tutelle de Britney Spears suivie de près par la Maison Blanche

AFPA gauche : la chanteuse Britney Spears en à Hollywood en 2019. A droite: La porte-parole de la Maison Blanche, Jen Psaki le 22 juin 2021. PEOPLE – Cela ne fait pas réagir seulement les fans de la chanteuse. La Maison Blanche, par le biais de sa porte-parole Jen Psaki, a indiqué ce 1er juillet 2021 suivre l’affaire de la mise sous tutelle de Britney Spears et sa demande de ne plus dépendre de son tuteur, qui est aussi son père, Jamie Spears.  Au cours d’une conférence de presse à Washington, le correspondant de la chaîne CBS News, Steve Portnoy, a demandé comment se positionnait l’administration de Joe Biden sur le sujet du régime sous tutelle, et en particulier celui qui rythme la vie de la pop-star depuis 13 ans.  Après avoir affirmé que la Maison Blanche suivait “de très près” l’affaire en question, Jen Psaki n’a toutefois pas pu se prononcer sur l’aspect juridique de la demande de Britney Spears. En effet, le journaliste américain a souligné que le régime de tutelle, aux États-Unis, n’avait pas réellement de loi fédérale permettant de régir les relations entre une personne et son tuteur, comme la chanteuse et son père par exemple. Il a ensuite demandé si l’administration de la Maison Blanche avait une opinion à propos de l’inexistence d’une telle loi. La porte-parole n’a pas su répondre et a affirmé qu’elle devrait “en parler au bureau de [son] avocat, car c’est une bonne question juridique”. Un autre intervenant dans la salle de presse a, lui, voulu savoir ce que le président Joe Biden pensait de l’affaire. Malheureusement, on le ne saura pas. L’ancien vice-président de Barack Obama était “un peu occupé” pour suivre ce qui s’est passé au tribunal de Los Angeles ces derniers jours, a balayé Jen Psaki.  À voir également sur Le…

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Covid-19: Donald et Melania Trump vaccinés discrètement en janvier

MediaPunch / ReutersDonald et Melania Trump, ici à West Palm Beach en Floride aux États-Unis, le 20 janvier 2021. ÉTATS-UNIS – L’ancien président américain Donald Trump et sa femme Melania ont été vaccinés contre le Covid-19 en janvier, lorsqu’ils étaient encore à la Maison Blanche, a-t-on appris ce lundi 1er mars dans leur entourage. Contrairement à Joe Biden, qui s’est fait vacciner en direct à la télévision le 21 décembre, quelques semaines avant son arrivée au pouvoir, Donald Trump n’avait jamais mentionné publiquement sa vaccination. “Le président Trump et la Première dame ont été vaccinés à la Maison Blanche en janvier”, a indiqué à l’AFP, sans autres précisions, une source proche de l’ex-président. Dimanche, lors de son premier discours depuis son départ de la Maison Blanche, Donald Trump a estimé que “tout le monde devrait se faire vacciner”.  Ses déclarations ont pris un relief particulier car certains de ses sympathisants se montrent particulièrement sceptiques vis-à-vis du vaccin. Testé positif début octobre au Covid-19, Donald Trump avait été hospitalisé pendant plusieurs jours à l’hôpital militaire de Walter Reed, dans la banlieue de Washington. À voir également sur Le HuffPost: Donald Trump de retour sur la scène politique, avec le même discours Source

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Joe Biden affirme que Donald Trump lui a écrit une lettre “très aimable”

Chip Somodevilla / AFPJoe Biden, ici dans le Bureau ovale de la Maison Blanche, à Washington, le 20 janvier 2021. ÉTATS-UNIS – Le président américain Joe Biden a affirmé ce mercredi 20 janvier que son prédécesseur Donald Trump lui avait laissé avant de s’envoler pour la Floride une lettre “très aimable”. “Le président a écrit une lettre aimable”, a déclaré Joe Biden depuis le Bureau ovale lors de la signature de ses premiers décrets. Le nouveau président des États-Unis n’a pas voulu donner plus de détails, soulignant que cela relevait du domaine “privé”. Le courrier laissé dans le Bureau ovale pour son successeur est une tradition américaine. “Nous ne sommes que des occupants temporaires de ce poste”, avait écrit Barack Obama à Donald Trump il y a quatre ans. “Cela fait de nous des gardiens des institutions et des traditions démocratiques telles que l’État de droit, la séparation des pouvoirs, la protection des droits civiques pour lesquelles nos ancêtres se sont battus”, avait-il ajouté. “Bonne chance”, avait-il conclu, se disant prêt à aider “de quelque manière que ce soit”. Parmi toutes ces lettres de président à président, celle laissée, le 20 janvier 1993, par le républicain George H.W. Bush à son successeur démocrate Bill Clinton, a marqué les esprits, par sa dignité, sa classe. Évoquant son “sentiment d’émerveillement et de respect” au moment où il était entré dans le prestigieux Bureau ovale quatre ans plus tôt, il ajoutait “Il y aura des moments très durs (…) Mais ne laissez pas les critiques vous décourager ou vous faire changer de trajectoire”. “Vous serez NOTRE président quand vous lirez ces lignes”, y ajoutait le 41e président des États-Unis. “Je vous soutiens totalement. Bonne chance”, ajoutait-il à l’attention de son ex-adversaire qui venait de le priver d’un second mandat. À voir également sur Le HuffPost:…

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Donald Trump peut-il se gracier avant de quitter la Maison Blanche?

AFPDonald Trump peut-il se gracier avant de quitter la présidence en janvier? ÉTATS-UNIS – À six semaines du départ de Donald Trump de la Maison Blanche, une question se pose aux États-Unis: le président sortant pourra-t-il se gracier lui-même, ainsi que sa famille, avant de partir? Le 25 novembre, la grâce accordée par Donald Trump à son ex-conseiller à la Sécurité nationale Michael Flynn -le premier de ses proches à avoir été mis en cause dans le cadre de l’enquête russe- a relancé le débat sur la mansuétude dont il pourrait faire preuve envers les siens, mais aussi envers lui-même d’ici la fin de son mandat.  L’objectif serait d’écarter de possibles ennuis judiciaires futurs. Comme le rappelle le New York Times, une “enquête du procureur de Manhattan sur l’organisation Trump” pourrait être étendue ”à des déductions fiscales sur plusieurs millions de dollars d’honoraires de consultation de la société, dont une partie semble avoir été versée à Ivanka Trump”. Jusqu’ici, Donald Trump a peu utilisé son droit de grâce comparé à ses prédécesseurs. Il a accordé des grâces ou des réductions de peine à plusieurs alliés politiques, dont son ancien conseiller de campagne Roger Stone, un ex-shérif controversé de l’Arizona Joe Arpaio, le militant républicain Dinesh D’Souza ou encore en début de semaine, son ex-conseiller Michael Flynn. Il pourrait toutefois aller plus loin dans les prochains jours. “Le Président Trump devrait pardonner (…) tout le monde, allant de lui-même à son administration”, a clamé le 25 novembre un représentant républicain dans un tweet relayé par le président. De quoi faire ressurgir une publication de 2018, en pleine enquête sur l’ingérence russe dans laquelle le président affirmait: “Comme cela a été établi par de nombreux experts, j’ai le droit absolu de me GRACIER moi-même, mais pourquoi ferais-je cela quand je n’ai rien fait de…

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Aux États-Unis, la justice enquête sur une corruption présumée pour obtenir une grâce prononcée par Trump

Brendan Smialowski / AFPLe président sortant a accordé des grâces ou des réductions de peine à plusieurs alliés politiques, dont son ancien conseiller de campagne Roger Stone ÉTATS-UNIS – Quel est ce “stratagème secret de lobbying” visant à obtenir une grâce présidentielle prononcé par le président Donald Trump, toujours au pouvoir jusqu’en janvier? Le ministère de la Justice des États-Unis enquête sur ce système de corruption présumé qui aurait impliqué des financements de campagne électorale afin d’obtenir une grâce prononcée par le président américain, révèle un dossier judiciaire publié ce mardi 2 décembre.  Le document -qui traite de la légalité de la recherche des communications et des dispositifs électroniques des individus, y compris les avocats- ne permet pas d’identifier des personnes, les noms ayant été caviardés. Il fait cependant référence à un “stratagème secret de lobbying” visant de “hauts responsables de la Maison Blanche” afin obtenir une “grâce ou un sursis” d’exécution de peine, de la part du chef de l’État, pour un individu dont le nom n’apparaît pas. Ce système, qui fait l’objet d’une enquête depuis au moins le mois d’août, semble impliquer des lobbyistes et des avocats, un riche donateur ayant financé des campagnes politiques ainsi qu’une personne qui se trouve ou se trouvait en prison et compte sur une intervention présidentielle. Selon le rapport, les lobbyistes et avocats auraient contacté les responsables de la Maison Blanche pour demander une grâce ou un sursis présidentiel, en citant les “contributions substantielles à la campagne effectuées par le passé” et les “contributions politiques importantes prévues” par un donateur. Il laisse entendre que le donateur a présenté cette offre au nom d’une personne sollicitant la clémence présidentielle. Plusieurs grâces présidentielles ont été accordées par Trump  Le document n’indique pas quand les actions en cause ont eu lieu. Et dans les parties où les noms…

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L’équipe de communication de Joe Biden à la Maison Blanche sera entièrement féminine

ÉTATS-UNIS – Le président élu des Etats-Unis, Joe Biden, a annoncé dimanche 29 novembre la composition de son équipe de communication à la Maison Blanche, qui sera exclusivement féminine, ce que son entourage a qualifié de première dans l’histoire du pays. Joe Biden et la vice-présidente élue Kamala Harris cherchent à mettre l’accent sur la diversité dans les nominations annoncées jusqu’à présent, avant de prêter serment le 20 janvier. “Je suis fier de présenter aujourd’hui la première équipe de communication pour la Maison Blanche composée exclusivement de femmes”, a indiqué M. Biden dans un communiqué. “Ces professionnelles de la communication, qualifiées et expérimentées, apportent des perspectives variées à leur travail et partagent le même engagement pour reconstruire ce pays”, a-t-il ajouté.  President-elect Biden and Vice President-elect Harris today announced new members of the White House staff who will serve in senior communications roles. For the first time in history, these communications roles will be filled entirely by women.https://t.co/SjWAWJg941 — Biden-Harris Presidential Transition (@Transition46) November 29, 2020 Parmi les personnes désignées figure Jen Psaki, qui occupera le poste très en vue d’attachée de presse de la Maison Blanche. Jen Psaki, 41 ans, a occupé plusieurs postes haut placés, dont celui de directrice de la communication de la Maison Blanche sous l’administration Obama-Biden. “Honorée de travailler à nouveau pour @JoeBiden, un homme pour lequel j’ai travaillé sous l’administration Obama-Biden lorsqu’il a contribué à diriger la reprise économique, reconstruit nos relations avec nos partenaires (ce qui se révèle une bonne pratique) et a apporté de l’empathie et de l’humanité dans presque toutes les réunions auxquelles j’ai assisté”, a réagi l’intéressée sur Twitter. Des femmes à des postes économiques clés En plus de Jen Psaki, six autres femmes ont été nommées. Parmi elles, Kate Bedingfield, directrice adjointe de campagne du candidat Biden, a été nommée…

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Trump dit qu’il quittera la Maison Blanche si la victoire de Biden est confirmée

ANDREW CABALLERO-REYNOLDS / AFPDonald Trump, ici s’adressant à la presse à la Maison Blanche à Washington, le 26 novembre 2020. ÉTATS-UNIS – Le président américain Donald Trump a dit ce jeudi 26 novembre qu’il quitterait “bien sûr” la Maison Blanche si la victoire de Joe Biden à l’élection présidentielle était officiellement confirmée, tout en répétant qu’il pourrait ne pas reconnaître sa propre défaite. Interrogé sur le fait de savoir s’il quitterait la Maison Blanche en cas de vote du collège des grands électeurs confirmant la victoire du démocrate, le républicain a dit: “Bien sûr que je le ferai. Et vous le savez”. Mais “s’il le font, ils feraient une erreur”, et “ce sera quelque chose de très dur à accepter”, a-t-il ajouté. “Il y a eu une fraude massive”, a-t-il dit encore une fois à propos du résultat de l’élection, sans apporter de preuve. Premières réponses à des questions de journalistes depuis 24 jours C’est la première fois que Donald Trump répondait à des questions de journalistes depuis l’élection du 3 novembre. Depuis cette date, il a martelé que l’élection avait été truquée, et a multiplié les procédures judiciaires dans plusieurs États, toutes rejetées. Lors de son point presse de jeudi, jour férié de Thanksgiving, Donald Trump a estimé que l’infrastructure électorale des États-Unis était “comme d’un pays du tiers-monde”. Mercredi, le président sortant avait lancé à ses partisans: “Nous devons inverser cette élection”. Les démocrates “ont triché. Ç’a été un scrutin frauduleux”. Le président élu Joe Biden avait dit de son côté, presque en même temps, depuis sa ville de Wilmington, dans le Delaware: “En Amérique, nous avons des élections libres et justes, et nous en respectons les résultats. Les habitants et les lois de ce pays n’accepteront pas autre chose”. À voir également sur Le HuffPost: Trump gracie une dinde…

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Covid-19: Donald Trump a quitté l’hôpital pour la Maison Blanche

ÉTATS-UNIS – Encore malade du coronavirus, Donald Trump a quitté ce lundi 5 octobre l’hôpital militaire Walter Reed et a, dès son retour à la Maison Blanche, retiré son masque et appelé les Américains à “sortir” avec prudence, après avoir promis de reprendre bientôt sa campagne électorale. Dans une mise en scène savamment orchestrée, le président des États-Unis est descendu de l’hélicoptère qui l’a amené du Centre médical militaire, a traversé la pelouse en saluant les caméras qui l’attendaient, avant de grimper les marches vers le balcon de sa résidence. Là, l’air malgré tout crispé, il a ajusté sa veste, retiré son masque et levé les pouces. Un geste de défi pour un dirigeant qui pendant des mois a affiché son dédain pour ceux qui se couvrent le visage pour se protéger du Covid-19. “Vous allez le battre” Signe de l’importance que Donald Trump a voulu donner à ce moment alors que la campagne électorale a été bouleversée par sa maladie et qu’il est à la traîne dans les sondages, son compte Twitter a publié deux vidéos, dont l’une, quasi-hollywoodienne, montre son arrivée à la Maison Blanche sur fond de musique pompeuse. “Ne le laissez pas vous dominer. N’en ayez pas peur, vous allez le battre, nous avons les meilleurs équipements médicaux”, a déclaré le président américain à propos du Covid-19, alors que son pays, le plus endeuillé au monde, déplore plus de 210.000 morts dus à cette maladie. “Sortez, soyez prudents”, a même exhorté celui qui est accusé d’avoir minimisé la pandémie et dont la gestion est critiquée de toutes parts. “Nous allons reprendre le travail”, “en tant que leader, j’ai dû le faire, je savais qu’il y avait un danger, mais je devais le faire. J’étais en première ligne”, a-t-il dit dans la seconde vidéo. “Et maintenant je vais…