ACTUALITÉS

La Maison Blanche reçoit un courrier empoisonné à la ricine

ERIC BARADAT via Getty ImagesUn courrier contenant de la ricine, le poison le plus violent du règne végétal, a été envoyé à la Maison Blanche. Il a été détecté avant de parvenir entre les mains de Donald Trump (image d’illustration datant de novembre 2019).  ÉTATS-UNIS – Une enveloppe contenant de la ricine, un poison très puissant, a été adressée à la Maison Blanche cette semaine et interceptée avant d’atteindre le président Donald Trump, rapportent ce samedi 19 septembre plusieurs médias américains dont MSNBC. “Le FBI, les services secrets américains et les services d’inspection de la Poste enquêtent au sujet d’une lettre suspecte reçue à un centre de courrier gouvernemental”, selon la police fédérale. “À l’heure actuelle, il n’y a aucune menace pour la sécurité”, a ajouté le FBI dans un échange avec l’AFP. Le poison végétal le plus puissant au monde Selon des sources anonymes, citées par le New York Times et CNN, deux tests menés sur le produit retrouvé dans ce courrier suspect ont établi qu’il s’agissait de ricine. La ricine est le poison le plus violent du règne végétal, 6.000 fois plus puissant que le cyanure. Il s’agit d’une substance mortelle en cas d’ingestion, d’inhalation ou d’injection, et contre laquelle il n’existe pas d’antidote. D’après le quotidien new-yorkais, les enquêteurs pensent que le courrier venait du Canada et ils auraient identifié une femme comme suspecte. D’autres agences fédérales, situées au Texas, ont également été destinataires de plis contenant ce poison, selon le journal. À voir également sur le HuffPost: Trump accuse Biden de se droguer pour tenir le coup pendant la campagne Source

ACTUALITÉS

Kellyanne Conway, proche conseillère de Donald Trump, annonce sa démission

Cheriss May / reutersKellyanne Conway, ici le 6 août à la Maison Blanche, a annoncé sa démission. ÉTATS-UNIS – Elle fait partie des plus proches du président américain depuis la campagne de 2016. Kellyanne Conway, conseillère de Donald Trump, connue pour ses échanges houleux avec les journalistes, a annoncé ce dimanche 23 août qu’elle démissionnait pour se consacrer à sa famille. Cette conseillère en communication de 53 ans a été aux côtés de Donald Trump dès le premier jour, dirigeant la campagne de 2016 qui a catapulté le milliardaire à la Maison Blanche. Mais les quatre dernières années passées à défendre avec acharnement le président américain, notamment sur les chaînes de télévisions, ont eu un prix pour cette femme combative qui a notamment façonné et défendu le concept de “faits alternatifs”. Son mari, l’avocat conservateur George Conway, est ainsi l’un des plus virulents détracteurs de Donald Trump, mettant en cause sa capacité mentale à diriger le pays. Dans un communiqué, Kellyanne Conway a annoncé qu’elle quitterait la Maison Blanche ”à la fin du mois”. Cette décision “est entièrement mon choix”, a-t-elle ajouté, précisant qu’elle annoncerait ses “futurs plans en temps voulu”. “George est également en train de faire des changements. Nous avons des désaccords sur beaucoup de choses, mais nous sommes unis sur ce qui compte le plus: les enfants”, a-t-elle ajouté. “Moins de drame, plus de maman” Elle a indiqué que leurs quatre enfants allaient commencer leur année académique à distance. “Comme des millions de parents à travers le pays le savent, les enfants qui font ‘l’école à la maison’ nécessitent un niveau d’attention et de vigilance qui est aussi inhabituel que cette période que nous vivons”, a-t-elle encore dit. “Pour l’instant et pour mes enfants bien-aimés, ce sera moins de drame, plus de maman”, a-t-elle ajouté. Cette annonce…

ACTUALITÉS

S’il perd l’élection, Trump devra quitter la Maison blanche “même s’il faut l’enfumer...

INTERNATIONAL – De gré ou de force. Devant le flou entretenu par le président américain à dire s’il accepterait de quitter le pouvoir en cas de défaite, la présidente de la Chambre des représentants n’y est pas allée par quatre chemins. Sur la chaîne d’informations américaine MSNBC, Nancy Pelosi a expliqué que s’il le fallait, Donald Trump serait débusqué à coup de fumigènes, comme vous pouvez le découvrir dans la vidéo en tête de cet article.  La responsable démocrate a ainsi expliqué que l’homme importait peu, et son lieu de résidence physique encore moins, au regard du processus électoral américain. S’il perd l’élection présidentielle du 3 novembre, le magnat de l’immobilier devra faire ses valises, quel que soit le peu d’empressement qu’il aura à reconnaître la victoire de son adversaire.  Une mise en garde qui ne devrait pas changer la ligne suivie par le président Trump, la même que celle qui a précédé son élection en 2016: ne faire aucune promesse de respect des règles habituelles de la démocratie américaine, en mettant en avant le risque de fraude électorale de la part des démocrates. À voir également sur Le HuffPost: Trump veut défier Biden dans un test cognitif avant la présidentielle Source