The Rise of 4B in the Wake of Donald Trump’s Reëlection
Why the South Korean feminist movement, which calls for a boycott of men, is gaining traction among American women.
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L’histoire unique de El Museo lui a permis d’être à l’avant-garde de ce qui est désormais plus largement accepté comme la raison d’être des musées.
Les femmes américaines nées sur le sol américain ne sont presque jamais tuées par des migrants illégaux. Alors, pourquoi Riley est-elle devenue une icône morbidement célèbre de la campagne de Trump ?
No Time to Die, Killer Heat et American Fiction ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Amazon Prime Video cette semaine.
Depuis 2018, l’Internationale boulangère mobilisée (IBM) produit du pain lors des mobilisations sociales. À Calais, des boulanger·es militant·es se relaient pour ravitailler les exilé·es.
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Depuis 2018, l’Internationale boulangère mobilisée (IBM) produit du pain lors des mobilisations sociales. À Calais, des boulanger·es militant·es se relaient pour ravitailler les exilé·es.
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MIGRANTS – Joe Biden a promis ce vendredi 24 septembre que les policiers photographiés en train de refouler à cheval des migrants haïtiens allaient “payer” pour ces actes “scandaleux”, des propos musclés alors qu’il est critiqué de toutes parts pour sa gestion de la crise migratoire à la frontière, jugée inhumaine par la gauche, laxiste par la droite. “C’est scandaleux”, a dit le président américain, qui ne s’était pas encore exprimé en public sur le sujet, à des journalistes qui l’interrogeaient sur cette scène. “Je vous le promets, ces gens vont payer, il y aura une enquête, il y aura des conséquences”, a dit Joe Biden depuis la Maison Blanche, répondant à des questions posées après une allocution consacrée à la vaccination contre le Covid-19. “C’est plus qu’embarrassant. C’est dangereux. C’est mal”, déplore Biden Sur un cliché pris dimanche par un photographe employé par l’AFP, un garde-frontières à cheval attrape un homme par son t-shirt sur la rive américaine du Rio Grande, frontière naturelle entre les Etats-Unis et le Mexique, près de Del Rio. Sur un autre, il tient un groupe à distance en faisant tourner ses rênes, dans une posture menaçante, pour les forcer à rebrousser chemin. Ces clichés, qui ont fait le tour du monde, ont suscité un vif émoi aux Etats-Unis. Certains y ont vu des migrants assimilés à du bétail, d’autres ont rappelé les mauvais traitements subis par des Afro-Américains de la part de la police montée, des gardiens de prison ou des propriétaires d’esclaves. Suite à la diffusion de ces images, la police aux frontières va temporairement cesser d’utiliser des agents à cheval autour de la petite ville de Del Rio, au Texas, avaient annoncé jeudi les autorités américaines. Interrogé par une journaliste pour savoir s’il prenait la responsabilité du “chaos” à la frontière, Joe Biden…
POLICE – “Indignation”, “démission”, “inacceptable”… L’évacuation violente par les forces de l’ordre de réfugiés installés place de la République à Paris ce lundi 23 novembre au soir déclenche un véritable tollé dans une partie de la classe politique. Si le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a très rapidement demandé un rapport circonstancié, de nombreux élus ont fait part sur les réseaux sociaux de leur indignation, à gauche et au sein de LREM notamment. Le premier secrétaire du parti socialiste Olivier Faure a dénoncé ce qu’il estime être une chasse ”à la misère à coup de matraques”, quand Raphael Glucksmann évoque de son côté un quinquennat tombé très bas. “Ceci n’est pas la République. La République que nous aimons ne traite pas ainsi les exilés.Ou les journalistes. On se doutait que ce quinquennat ne serait pas celui de la justice sociale ou de la grande transformation écologique, on n’anticipait pas qu’il tomberait si bas…”, écrit-il sur Twitter. .@faureolivier@partisocialiste sur le démantèlement d’un #camp de #migrants la veille sur la place de la #République à #Paris : “J’ai été sidéré par ce que j’ai vu, ces images sont insupportables. Le gouvernement doit renoncer à ce projet de loi ‘sécurité globale’” #le79Interpic.twitter.com/7hIAjRNDwF — France Inter (@franceinter) November 24, 2020 Boris Vallaud et Benoît Hamon leur ont emboîté le pas, tançant ce qu’ils estiment être une dérive du pouvoir et de régime. Consternation et tristesse ce soir devant cette évacuation violente de migrants que l’Etat a laissé sans solution d’hébergement. Ce gouvernement manque à tous ses devoirs, à commencer par celui d’humanité. Honte. #Republiquehttps://t.co/pWpPoAz47Z — Boris VALLAUD (@BorisVallaud) November 23, 2020 De nombreux élus LFI ont également réagi dans la soirée et dans la nuit. Alexis Corbière, député de Seine-Saint-Denis, a évoqué des images “insoutenables”, pointant notamment du doigt Gérald Darmanin ainsi que la préfecture…
France5/ClhebdoDans “C l’hebdo”, l’ancienne garde des Sceaux Christiane Taubira a été confrontée à un reportage poignant sur les conditions de vie des réfugiés. MÉDIAS – “Maintenant on va pas mourir ici. Cherchez une autre solution, qu’on parte, qu’on quitte ici, s’il vous plait”. Les images, tournées parmi les réfugiés de l’île de Lesbos en Grèce, sont déchirantes. Diffusées sur France5 ce samedi 19 septembre, elles ont ému aux larmes Christiane Taubira, qui n’a pas non plus caché sa colère face à un système qui encourage les injustices. Dans la nuit du 8 au 9 septembre, un incendie a ravagé le camp de Moria, sur l’île de Lesbos où des dizaines de milliers de réfugiés arrivent dans l’espoir d’une vie meilleure sur le sol européen. Le sinistre n’a heureusement pas fait de victimes. En revanche, il a aggravé une situation déjà inhumaine pour les milliers de familles qui s’y trouvent en attendant l’autorisation de rejoindre l’Europe continentale. Devant les caméras de “C l’hebdo”, plusieurs mères de famille et leurs enfants, ont ainsi témoigné de leurs conditions de vie “horribles” sur place. “Nous sommes des mamans, nous sommes des hommes, on voulait vivre une vie normale”, témoigne l’une d’elle. “Cherchez une autre solution (…) qu’on reparte même là-bas”, lance, en larmes un petit garçon. Face à ces témoignages poignants, l’ancienne ministre de la Justice Christiane Taubira est restée silencieuse un long moment, submergée par l’émotion. “Lorsqu’on parle d’injustice, on parle de ça… Ces personnes sont à la fois des victimes et des combattants. Ce sont des victimes du désordre du monde et nous avons notre part dans les désordres du monde”, a-t-elle accusé, dénonçant le système actuel qui autorise à “spéculer sur les denrées alimentaires, (…) le prix du riz, sur le prix du mil, sur le prix du maïs.” “Lorsqu’on parle…
Thomas COEX / AFPUn campement installé devant l’Hôtel de ville à Paris LOGEMENT – L’opération coup de poing a eu l’effet escompté. Dans la nuit de lundi à mardi plus de 200 personnes sans domicile fixe et essentiellement originaires de Somalie, d’Afghanistan et de Côte d’Ivoire, ont investi le parvis de l’Hôtel de ville de Paris, pour réclamer un accueil “digne”. Après le démantèlement du campement par les forces de police, toutes ont été accueillis au sein de la mairie. En revanche, elles n’y passeront pas la nuit a fait savoir Ian Brossat, adjoint à la mairie de Paris, en charge du logement. interviewé sur BFMTV ce mardi 1er août en fin de journée. “Nous avons ouvert l’Hôtel de ville puisque la préfecture de police souhaitait évacuer ces familles sans leur proposer de solution (…) Nous avons profité de ce moment-là pour leur trouver des solutions d’hébergement, et à l’heure où je vous parle, tout le monde a reçu une place d’hôtel et ces familles ne sont plus à l’Hôtel de ville, elles sont désormais dans leur hôte, dans les places d’hébergements qui leurs sont dédiées”, a notamment précisé Ian Brossat ajoutant qu’il partageait la colère de l’association Utopie 56 à l’origine de l’opération. Toutes les familles qui ont occupé le parvis de l’Hôtel de Ville ont désormais quitté la mairie pour rejoindre une place d’hébergement. 203 personnes dont 56 enfants pourront dormir au chaud. Au-delà de l’urgence, nous voulons travailler avec l’Etat à des solutions pérennes. pic.twitter.com/39TyrkqupR — Ian Brossat (@IanBrossat) September 1, 2020 Préfecture et Mairie de Paris se sont écharpés pendant la journée sur les enjeux du relogement. À la mi-journée, la préfecture avait assuré que des “solutions de relogement” avaient été trouvées pour ces personnes, ce qu’avait démenti pour l’AFP, Ian Brossat. Comme sur le plateau de…
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