Pourrait le Steampunk nous sauver ?
Un sous-genre de science-fiction qui semble bizarre offre des leçons utiles sur la gestion de la technologie dans une époque d’accélération.
Un sous-genre de science-fiction qui semble bizarre offre des leçons utiles sur la gestion de la technologie dans une époque d’accélération.
Le podcast « Noble », sur de graves fautes professionnelles dans un crématorium de Géorgie, montre que même les histoires d’horreur les plus choquantes peuvent être racontées avec délicatesse.
Pour concilier contraintes budgétaires et véritable justice fiscale, le gouvernement pourrait davantage mettre à contribution les plus riches. D’autant que pour y parvenir, les outils ne manquent pas.
Alors que l’armée israélienne continue de pilonner le sud de Beyrouth, la montagne druze du Chouf accueille la majorité des déplacés du pays. Ses habitants se montrent solidaires mais craignent que la possible présence de membres du Hezbollah fasse de la région une cible.
En septembre 2018, je me suis lancé dans un voyage vers l’un des environnements les plus extrêmes de la planète : le camp de base du mont Everest, au Népal. Ce site attire des milliers de randonneurs chaque année. Je conçois que cette aventure peut sembler un peu maso pour certains. Pourquoi quelqu’un aurait-il envie de passer deux semaines à marcher – plusieurs heures par jour – sur des flancs de montagne escarpés, avec 20 kg sur le dos ? Ce n’est pas les difficultés qui ont manqué. Pourtant, ce voyage est sans conteste l’une des plus belles expériences de ma vie. Le mont Everest est considéré comme la plus haute montagne au monde, culminant à 8 849 mètres au-dessus du niveau de la mer et s’élevant chaque année un peu plus. Il est intéressant de noter que ce record fait l’objet d’un vif débat au sein de la communauté scientifique. Il s’avère que tout dépend de la définition de « plus haute ». Si l’on définit ça comme le point le plus éloigné du centre de la terre et non du niveau de la mer, le mont Chimborazo, dans les Andes équatoriennes, remporterait le titre. Si l’on prend le point le plus éloigné du sommet de la montagne jusqu’à sa base, ça serait le volcan hawaïen Mauna Kea, dont une grande partie se trouve sous la mer. Peu importe le point de vue, le mont Everest reste sacrément haut. Il faut plus d’une semaine à pied pour atteindre le camp de base depuis l’aéroport le plus proche. Pourtant, ce projet s’est fait une place sur ma liste de choses à faire avant d’avoir 30 ans. Au cours de ce long voyage, j’ai pu explorer l’Himalaya et la vallée du Khumbu, des régions d’une incroyable beauté naturelle et d’une grande…
Sean Gallup via Getty ImagesLe mont Cervin, situé à la frontière des Alpes françaises et italienne. ENVIRONNEMENT – Là-haut sur la montagne était un refuge construit en Italie. Les aléas du changement climatique ont déplacé la frontière sur le glacier et les deux tiers de la cabane perchée à 3.480 mètres d’altitude se trouvent désormais en Suisse. Le refuge des Guides du Cervin, qui offre le gîte et le couvert dans ce coin des Alpes parmi les plus prisés des adeptes de la glisse, a fait l’objet d’intenses négociations diplomatiques pendant plus de trois ans, jusqu’à un compromis trouvé l’année dernière, dont les détails restent secrets. La position stratégique de la bâtisse attise les convoitises: elle est située à la jonction de Zermatt-Cervinia, une des plus grandes stations de ski au monde, au cœur d’un projet pharaonique de modernisation. “On a partagé un peu la poire en deux”, explique à l’AFP le responsable de la frontière nationale suisse Alain Wicht, qui a pris part aux négociations où chacun a fait des concessions pour trouver “une solution pour que les deux se sentent sinon gagnants, au moins pas perdants.” Le glacier Théodule a fondu Sur les glaciers alpins, la frontière italo-suisse suit la ligne de séparation des eaux dont l’écoulement vers le nord marque le territoire suisse, et celui vers le sud, l’Italie. Celle-ci a été modifiée par la fonte du glacier du Théodule qui, perdant près d’un quart de sa masse entre 1973 et 2010, a laissé place à la roche, forçant les deux voisins à redessiner quelques dizaines de mètres de leur frontière. Selon M. Wicht, si ces ajustements sont fréquents, ils se règlent généralement en comparant les relevés réalisés par les équipes des deux pays, sans intervention politique. “Il faut savoir qu’on se bat avec des terrains de moindre…
www.vanessafry.com / Getty ImagesAprès deux ans très fortement marqués par l’épidémie de Covid, les stations de sports d’hiver françaises devrait connaître un hiver radieux (photo d’illustration prise au Fornet, à Val d’Isère). TOURISME – “Nous avons bon espoir de réaliser une saison exceptionnelle.” Alors que les vacances scolaires hivernales de la zone C viennent de débuter, c’est ce qu’assure au HuffPost Jean-Baptiste Lemoyne, ministre délégué au Tourisme. Le signe que la reprise tant attendue après deux ans de Covid est enfin là. En effet, à en croire le ministre, la fréquentation des stations de sports d’hiver semble revenir à un niveau d’avant crise. Ou du moins au niveau des vacances précédant la première vague, à l’hiver 2020. “Nous nous approchons d’une année aussi bonne que celle de 2019-2020, voire d’une année record”, déclare encore le ministre. Car force est de constater que les lieux de villégiature, très soutenus financièrement au plus fort de la pandémie, attirent les touristes cet hiver, tant dans les Alpes que les Pyrénées. Des records de fréquentation presque battus Comme le rapportaient récemment nos confrères de Franceinfo, la station savoyarde de La Plagne prévoyait par exemple un taux d’occupation moyen de 86% pour l’ensemble de la durée des vacances, soit quatre semaines toutes zones comprises. Idem du côté des Pyrénées, où Akim Boufaïd, le président local des Domaines skiables de France déclarait à France Bleu s’attendre à une saison “exceptionnelle”. Le fait de passionnés de glisse frustrés après pratiquement deux ans sans remontées mécaniques. “On est proche des saisons historiques”, continue ainsi Akim Boufaïd, “et à la sortie des vacances, on devrait annoncer des fréquentations records”. Le résultat aussi d’un allègement des mesures sanitaires, qui ont par exemple privé à Noël les stations alpestres de leurs nombreux visiteurs anglais. Ainsi, à La Clusaz, en Haute-Savoie, où le taux d’occupation dépasse…
Toutes les photos sont publiées avec l’aimable autorisation de Anna. Je m’appelle Anna. Je suis née à Bourg-Saint-Maurice, en Savoie. À trois kilomètres, il y a Séez, mon village, une commune au pied de la Rosière, à deux pas de l’Italie, c’est là où j’ai grandi. Chez moi, il faut être organisé et autonome. Vivre en hauteur l’impose. Un exemple bête : mieux vaut ne pas oublier la liste de course sur la table de la cuisine. Quand on rejoint Bourg-Saint-Maurice [7 200 âmes, un Super U et un Intermarché], on y va pour y faire le maximum de courses. On cale ses rendez-vous, on regarde si on a des fringues à acheter et on remplit le caddie. Les supérettes au pied des pistes, franchement, ça t’allume le porte-feuille. Publicité Vous devez vous dire que c’était vraiment le bout du monde chez moi. Je vous rassure, une mairie administre la station. Comme partout, aux élections, les bureaux de vote s’ouvrent au petit matin et la vie communale peut suivre son cours. Pour régler la question dès à présent, Séez a toujours été plutôt marquée à droite. A l’élection présidentielle, Emmanuel Macron a fait un gros score. Ça vote Rassemblement National, aussi. On n’a jamais eu de problèmes d’emplois, on n’a jamais vu un migrant, mais ça vote extrême… « On ne se posait pas la question des enlèvements ou des gamins écrasés au passage piéton » J’ai toujours été copine avec les enfants des propriétaires des cinq résidences de mon quartier. Toutes les familles se connaissent. Il y avait la famille des jumelles en face de chez moi qui élevait des poneys. L’été, dès qu’elle partait en randonnée au bord du lac, elle venait toquer à la porte. Mes parents sautaient sur l’occasion pour se débarrasser de moi. Ils me mettaient trois…
Le premier Rainbow Gathering s’est tenu pour la première fois en 1972 dans le Colorado. Parmi les 20 000 participants, des militants pacifistes issus de la classe moyenne blanche éduquée, des vétérans de la guerre du Vietnam et divers groupes libertaires et spirituels. Tous animés par le même « désir sincère de vivre en paix et en harmonie sur terre », pouvait-on lire dans The Rainbow Oracle – le livret papier énonçant l’intention et les détails pratiques de ce rassemblement pionnier. Parmi les règles édictées – et encore d’actualité : pas d’alcool, pas de drogue, pas d’échange monétaire, pas de chefs, pas de viande, pas de technologie ni d’électricité, et une empreinte minimale sur la nature. Ce qui devait a priori être une one-shot essaimera finalement aux quatre coins du monde et plusieurs pays européens célèbrent désormais leur propre rassemblement national annuel. Lorsque l’un se termine, un nouveau commence dans un pays voisin. Il existe aussi une édition européenne, de taille plus importante – celle-là même pour laquelle nous nous hissons en camionnette au milieu des conifères avec ma partenaire de vagabondage, car l’European Gathering se tient sur le versant français des Pyrénées entre les nouvelles lunes de juillet et d’août cette année. Après une demi-heure de chemin carrossable, on arrive au parking. L’ascension se poursuit à pieds, on croise des personnes souriantes qui nous gratifient de chaleureux « welcome home » et « welcome brothers and sisters ». Vingt minutes de marche plus tard, les tentes se font de plus en plus nombreuses en lisière de chemin. Autour de nous des gens vont et viennent dans la forêt. Beaucoup sont pieds-nus, certains nus tout court. Des mères portent leurs enfants en écharpe dans leur dos et des groupes ont l’air de décamper : il ne reste plus que trois jours de rassemblement et la météo…
VOYAGE – Pendant l’été dans le podcast environnement du HuffPost, l’Enver(t) du décor, on a décidé de changer un peu les choses. À la place des thématiques de fond sur le climat ou l’écosystème qui sont souvent les nôtres, on a décidé, chaque semaine, de répondre à une question précise sur les vacances d’été et l’environnement. Pour ce premier épisode de notre série estivale, à écouter en haut de l’article ou en s’abonnant ci-dessous, une interrogation toute simple: entre travailler en douceur son teint à la plage et une rando sportive à la montagne, quelle pratique, quelle destination respecte le plus l’environnement? Source
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