Les 16 Meilleurs Films de Vacances à Regarder en Streaming Cette Saison : Netflix, Hulu, Amazon, Disney+
Hot Frosty, Carol et The Best Man Holiday ne sont que quelques-uns des films que vous devez regarder en streaming cette saison des fêtes….
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Le lieu de vacances prisé a été envahi par des personnes—dont les habitudes attirent des animaux rapides aux griffes acérées et aux appétits insatiables.
Les traditions favorites illuminent la saison, y compris les “Messiah”, les “Casse-Noisettes”, Scrooge, James Joyce, les Rockettes, et plus encore.
Sochaux, Montbéliard (Doubs).– Sous les derniers éclats du soleil, avant que la neige ne vienne recouvrir de blanc les toits en tôle, Anthony Rué pointe du bras l’usine emblématique de Peugeot, intégrée à Stellantis en 2021, où il exerce comme délégué syndical (DS) CGT depuis six années.
Si vous avez déjà un écosystème de maison intelligente en place ou si vous cherchez à en construire un à partir de zéro, c’est le moment idéal pour chercher des équipements IoT en promotion pendant la période de shopping du Black Friday. Un tel appareil est la caméra de sécurité intérieure filaire Google Nest, que vous pouvez obtenir pour 70 $ en ce moment. Cela représente une réduction de 30 % par rapport à son prix habituel et s’approche d’un prix plancher. La vente inclut trois coloris, notamment neige, brouillard et lin.
Le dispositif filaire de deuxième génération est conçu pour une utilisation en intérieur, comme son nom l’indique, et est capable de capturer des vidéos HDR en 1080p. Il est sensible aux mouvements et utilise un peu d’intelligence artificielle pour distinguer les humains, les animaux et les véhicules. La caméra inclut également une vision nocturne et une heure d’enregistrement d’événements sur l’appareil lui-même, ce qui est pratique en cas de panne Wi-Fi.
Il y a une fonction audio bidirectionnelle, car la caméra inclut à la fois un microphone et un haut-parleur. Les utilisateurs peuvent lancer l’application Google Home associée pour engager une conversation. Cette application permet également d’appeler instantanément les services d’urgence si la conversation ne se déroule pas comme prévu, bien que cela nécessite un abonnement Nest Aware.
Cela nous amène à un inconvénient assez significatif, bien que celui-ci apparaisse avec la plupart des caméras de sécurité modernes. Beaucoup de fonctionnalités sont verrouillées derrière ce fameux abonnement Nest Aware, qui coûte 8 $ par mois ou 80 $ par an. Ce plan donne aux acheteurs 60 jours d’historique vidéo et la possibilité de visionner des flux en direct sur des écrans intelligents et même des téléviseurs intelligents. Les abonnés recevront même des alertes lorsque des visages familiers seront reconnus par la caméra.
Découvrez toutes les dernières offres de Black Friday et de Cyber Monday ici. Cet article a été initialement publié sur Engadget à l’adresse https://www.engadget.com/deals/the-google-nest-wired-indoor-camera-is-just-70-for-amazon-black-friday-week-160944313.html?src=rss
Des forfaits solidaires : c’est la nouvelle initiative des responsables de la station de ski Alti Aigoual, située dans les Cévennes gardoises. Le concept : en acquérant un forfait de ski dès à présent, vous vous engagez à venir, et si la station ne fonctionne pas, votre “cagnotte” sera convertie en bons d’achat. “C’est une des dernières options, admet le cogérant de la station Denis Boissière sur France Bleu Gard Lozère. Nous avons besoin d’approximativement 40 000 euros pour garantir la finalisation de l’ouverture“. Le directeur de la station ajoute : “On se retrouve dans une situation plutôt paradoxale. Techniquement, toute la station sera prête. Il manque environ 40 000 euros pour ce qui est des assurances, des principaux fournisseurs et d’autres éléments”.
Devrait-on envisager de renoncer au ski ? “Si nous étions dans les Alpes et les Pyrénées, je répondrais oui, probablement même dès maintenant. Ici, nous avons encore une véritable valeur ajoutée pour la population locale qui peut encore profiter du ski ; il n’existe pas d’autre station de ski à proximité. Oui, cela va finir par s’arrêter, mais peut-être dans cinq ou dix ans. Dix ans d’activité neigeuse, sans investissement majeur, cela a son importance. “
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La station assure : aucun risque en cas de non ouverture ou d’ouverture inférieure à 10 jours : “vos achats solidaires de forfaits seront convertis en bons d’achat“
– à Cafét’Aigoual, le self-service de montagne de la Station Alti Aigoual qui assurera son ouverture
– à la location de VTT à Station Alti Aigoual (de Mai à Septembre)
– au restaurant ou aux gîtes de l’observatoire (d’Avril à Octobre)
– sur gem-bikes.com ( gem-bikes.com & gem-bikes/Enduro )
– dans un des 4 magasins de vélos partenaires * GEM Bikes Ganges – Ganges Et Montpellier * Culture Vélo Montpellier-Le Cres * Culture Vélo Alès – Pôle Vélo Alès * GIANT STORE ALES
Sur cette image, on peut voir une trentaine de militants d’extrême droite venus de toutes les régions de France qui se tiennent derrière leurs étendards. Cette photo, prise le 11 novembre 2024, montre une partie de l’extrême droite néofasciste tricolore : on y retrouve des Niçois d’Aquila popularis, des Savoyards de l’Edelweiss, des Auvergnats de Clermont non-conforme, ainsi que des Parisiens du Groupe union défense (GUD) et leurs camarades hooligans de la Jeunesse Boulogne. « French racist crew », écrit le néonazi Gwendal D. dans sa publication sur Instagram. Tous étaient réunis à Varsovie, la capitale polonaise, pour la marche annuelle de l’indépendance, un événement majeur célébré à travers le pays. Cela fait plusieurs années que plusieurs dizaines de néofascistes français se rassemblent dans un « black bloc nationaliste ». Ils portent des cagoules décorées de croix celtiques, exhibent des drapeaux ornés de soleils noirs – un symbole ésotérique nazi – et allument des fumigènes. Mais pourquoi cela se produit-il ?
Sur cette image, une trentaine de militants d’extrême droite venus de toutes les régions de France se tiennent derrière leurs étendards. On y retrouve des Niçois d’Aquila popularis, des Savoyards de l’Edelweiss, des Auvergnats de Clermont non-conforme, ainsi que des Parisiens du Gud et leurs camarades hooligans de la Jeunesse Boulogne. /
Crédits : DR
Ce rassemblement nationaliste est organisé depuis 2010 et attire, en plus des Français, des militants néofascistes de l’ensemble de l’Europe. Cette année, environ 100.000 personnes ont défilé dans les rues de Varsovie. Selon Przemysław Witkowski, chercheur et journaliste polonais reconnu pour son expertise sur l’extrême droite locale, les Français participent en grand nombre, notamment grâce à leurs connexions avec le magazine néofasciste en ligne Szturm.
Avez-vous aperçu le salut nazi au centre de l’image ? /
Crédits : DR
Szturm, lancé en 2014, promeut régulièrement dans ses colonnes les groupes nationalistes-révolutionnaires français, ainsi que ceux d’Italie, des pays scandinaves ou d’Ukraine, qui se déplacent également pour rejoindre ce « black bloc nationaliste ». Le magazine était étroitement lié au Bastion social, mouvement néofasciste éphémère dissous en 2019 par le gouvernement français, où s’étaient infiltrés Edelweiss, le GUD et les prédécesseurs de Clermont non-conforme. Szturm a également des liens importants avec son homologue italien CasaPound et le régiment ukrainien Azov, connu pour l’inclusion de néonazis parmi ses membres. Ce média vante les mérites d’un spiritualisme fasciste, voire d’un fascisme ultra-religieux, promeut la révolution islamique iranienne ou le Ku Klux Klan, et fait l’éloge du IIIème Reich… La publication « défend également les saluts nazis, l’utilisation de la croix celtique, du fasci ou de la swastika ».
Initialement orchestrée par des néofascistes, qui n’étaient que quelques centaines, la Marche de l’indépendance a gagné en ampleur durant les années 2010, avec le soutien d’une droite ultra-conservatrice qui y voit « un point de défense des “valeurs traditionnelles” », selon Przemysław Witkowski. « En Pologne, nous n’avons pas de cordon sanitaire contre l’extrême droite, et même plutôt le contraire », précise le chercheur. « Il existe une sorte de lien de transmission, où l’influence passe de blogs ultra-radicaux à des éditorialistes de droite extrême. Ces derniers ont commencé, vers 2015, à soutenir cette marche principalement par anti-communisme. »
« La marche a continué à croître, atteignant plus de 20.000 participants, engendrant un effet boule de neige. »
Cette normalisation a culminé en 2018, lors du centenaire de l’indépendance du pays. La droite populiste au pouvoir, le parti Droit et justice (le PiS), souhaitait commémorer cet anniversaire, mais appréhendait d’être éclipsée par la marche nationaliste. « Ils ont exercé des pressions sur les nationalistes les plus “modérés” pour assainir la marche, car ils ne désiraient pas de clichés de ministres aux côtés de drapeaux suprémacistes dans la presse internationale », se rappelle Przemysław Witkowski. « En 2018, le PiS a interpellé des leaders néofascistes sur la base de règles antiterroristes, afin d’empêcher la formation de leur bloc. Depuis lors, ils revendiquent l’appellation de “black bloc nationaliste”, car ils estiment que la marche n’est plus nationaliste, ou en tout cas pas assez à leur goût. » Pourtant, la majorité des slogans demeurent racistes, parfois suprémacistes. Avant l’arrivée au pouvoir du PiS en 2015, quelques confrontations avec la police avaient eu lieu en marge de la manifestation, comme le souligne Przemysław Witkowski :
« Bien qu’il ne s’agisse pas d’émeutes, les nationalistes avaient incendié des installations colorées aux couleurs de l’arc-en-ciel, agressé des véhicules de journalistes ou tenté de mettre le feu aux portes de l’ambassade russe… »
Depuis son institutionnalisation, la marche attire des centaines de milliers de manifestants à travers la Pologne. L’année dernière, StreetPress était présent à celle de Wroclaw, la troisième ville du pays, pour notre série Kop, consacrée aux supporters de football les plus radicaux.
Ce rassemblement a permis aux néofascistes français de côtoyer leurs homologues de toute l’Europe, avec des militants d’Active club estoniens, lituaniens ou néerlandais, des groupuscules suédois ou flamands… /
Crédits : DR
Les néofascistes français ont profité du long week-end pour rendre visite à leurs camarades polonais, participant à des entraînements en sports de combat, des conférences et prenant des selfies avec le poing levé au cœur du bloc nationaliste. Parmi eux se trouvaient des néonazis de Clermont non-conforme, des nationalistes-révolutionnaires d’Aquila popularis (Nice), de Valyor Chambéry (anciennement Edelweiss), ainsi qu’un groupe d’Île-de-France rassemblé sous un drapeau parisien. Parmi ces militants figuraient des membres du GUD récemment dissous, des hooligans néonazis de la Jeunesse Boulogne et des Pitbulls, ainsi que des randonneurs des Baroudeurs. Quatre groupes où les militants sont fortement interconnectés et où les frontières sont floues. À la coordination, on retrouve Gwendal D., plus connu sous son pseudonyme « Kenneth », ancien membre du groupuscule néofasciste Lyon populaire, qui est allé combattre en Ukraine aux côtés du régiment Azov contre les troupes russes. Ce fut l’occasion pour ce petit milieu de se montrer entouré de symboles néonazis, mais aussi de rencontrer des néofascistes venus de toute l’Europe, ralliés avec des militants d’Active club, lituaniens ou néerlandais, et des groupuscules suédois ou flamands…
Outre les groupuscules français habitués aux violences, les Nationalistes – le parti pétainiste et néofasciste dirigé par Yvan Benedetti – avait également annoncé sa participation, comme chaque année, à ce qu’ils considèrent comme « la plus grande marche nationale d’Europe ». Le parti ne manque pas de faire l’éloge de son voyage polonais, entre conférences « sur l’avenir de l’Europe » et défilés aux côtés de militants polonais, tchèques, slovaques, italiens, hongrois, serbes, croates, grecs, lituaniens… Des éloges relayées sur le canal Telegram de Forteresse Europe, représentant sa liste pour les élections européennes portée par l’avocat prisé des néofascistes, Pierre-Marie Bonneau.
Les images de guerre et de conflits domestiques de Peter van Agtmael sont saisissantes et presque cinématographiquement épurées, mais c’est l’arc narratif soigneusement construit de son nouveau livre, “Look at the U.S.A.”, qui approfondit l’expérience du spectateur.
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