Trump assistera à la réouverture de Notre-Dame alors que Macron traverse la tempête politique

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Trump assistera à la réouverture de Notre-Dame alors que Macron traverse la tempête politique

La flèche gothique restaurée de Notre-Dame doit fournir un décor dramatique pour le retour de Donald Trump sur la scène géopolitique ce week-end, alors que le président élu des États-Unis se prépare à faire sa première visite en Europe depuis l’élection pour se mêler aux dirigeants mondiaux lors d’une cérémonie officielle de réouverture à Paris samedi. La cathédrale médiévale, qui a été ravagée par un incendie en 2019, a été reconstruite dans un effort laborieux de 700 millions d’euros (580 millions de livres sterling) qui a duré seulement cinq ans, impliquant l’application de méthodes de charpenterie datant du 13ème siècle et rendue possible grâce à des dons de 150 pays. Les festivités s’étendront sur deux jours, commençant par un discours du président français accablé, Emmanuel Macron, sur le parvis en pierre calcaire, suivi d’une cérémonie liturgique à l’intérieur de…

Adèle Haenel : raisons pour lesquelles Christophe Ruggia sera poursuivi pour abus sexuel sur un mineur

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Adèle Haenel : raisons pour lesquelles Christophe Ruggia sera poursuivi pour abus sexuel sur un mineur

IlIl a fallu « un parcours pénible et relentless pour obtenir justice », déclarait Adèle Haenel à Mediapart cet été, lors de l’annonce du procès de l’individu contre lequel elle a porté plainte, le réalisateur Christophe Ruggia. Les 9 et 10 décembre, cinq ans après nos révélations, le cinéaste sera jugé pour des agressions sexuelles sur mineure, survenues à Paris, du 1er septembre 2001 au 10 février 2004, avec la circonstance aggravante d’avoir exercé une autorité sur elle. Adèle Haenel avait alors entre 12 et 14 ans.

Quel est l'intérêt d'obtenir une inscription au patrimoine culturel immatériel de l'Unesco ?

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Quel est l’intérêt d’obtenir une inscription au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco ?

Le saké, le henné, le savon d’Alep et l’expertise des couvreurs-zingueurs français seront-ils bientôt intégrés aux « biens ou écosystèmes à valeur exceptionnelle » déjà honorés par l’Unesco comme éléments du patrimoine culturel immatériel ?

C’est la décision que devra prendre le Comité intergouvernemental qui se réunit depuis le lundi 2 décembre jusqu’au jeudi 5 décembre 2024, à Asuncion (Paraguay), pour examiner l’inscription de 66 nouveaux éléments présentés sous le prisme des « traditions communautaires ».

Le Japon espère, par exemple, voir reconnue la pratique de la fabrication et de la consommation du saké, un alcool à base de riz ; seize pays arabes vont défendre les traditions liées au henné, une plante dont les feuilles sont utilisées pour faire des tatouages et colorer les cheveux ; la Côte d’Ivoire cherchera à faire valoir son « savoir-faire en matière de préparation de l’Attiéké », une semoule obtenue à partir de manioc, etc.

Un reflet de « la manière dont nous percevons le monde »

Mais concrètement, quel est l’intérêt pour un pays ou une région de faire reconnaître une tradition, une consommation ou des pratiques locales ?

Interrogée par l’AFP, la secrétaire de l’Unesco Fumiko Ohinata indique que cette reconnaissance aide à « sensibiliser sur l’importance du patrimoine culturel », qui illustre « la manière dont nous percevons le monde et comment nous interagissons avec autrui ».

Une explication dont la portée symbolique est évidente, mais dont l’intérêt « matériel » peut être moins clair. D’autant plus qu’une fois qu’une inscription est validée, l’Unesco n’a pas la capacité de contraindre les États à placer des mesures de protection ou de préservation sur ce bien, précise le journal L’Alsace.

Écho amplifié

En revanche, une inscription au patrimoine culturel immatériel agit comme une « caisse de résonance »: une tradition ou pratique très locale sera ainsi « couverte » – au moins temporairement – par les médias internationaux qui, en lui consacrant des reportages, l’exposeront au reste du monde.

Certaines candidatures en tireront de réels avantages, notamment en matière de tourisme, tandis que d’autres n’y verront qu’une confirmation d’une renommée déjà existante.

Parmi les biens ou écosystèmes à valeur exceptionnelle reconnus par l’Unesco figurent, par exemple, les traditions autour de la célèbre pizza napolitaine (2017), de la capoeira brésilienne (2014) ou du flamenco espagnol (2010).

Trois propositions françaises

La France, qui compte déjà 24 « classés » (parmi lesquels la culture de la baguette, le compagnonnage, les fest-noz ou les chants corses), se classe au troisième rang des nations les plus « distinguées » (derrière la Chine, avec 35 éléments, et la Turquie, qui en totalise 27).

Elle propose cette année trois traditions au Patrimoine immatériel de l’Unesco : l’art de la construction en pierres sèches, le savoir-faire des couvreurs-zingueurs restaurateurs et décorateurs des toits en zinc de Paris et, avec la Belgique, la culture foraine qui engendre les événements éponymes dans les villes et villages de ces deux nations.

Notre dossier « Patrimoine mondial de l’Unesco »

Adoptée en 2003 et entrée en vigueur en 2006 après ratification par trente États membres, la convention sur le patrimoine culturel immatériel, après un début hésitant, est aujourd’hui un succès diplomatique, avec 183 signataires, représentant presque l’ensemble de la communauté internationale. Environ 145 États ont vu un ou plusieurs de leurs éléments culturels validés.

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L’œuvre maîtresse espagnole refait surface après avoir été cachée pendant plus d’un siècle

Une peinture de Joaquín Sorolla, l’artiste espagnol renommé pour sa maîtrise de la lumière, est exposée au public pour la première fois depuis qu’elle a disparu après avoir été vendue à un collectionneur privé il y a 134 ans. Paris Boulevard, qui a été peint par Sorolla lors d’une visite à la capitale française entre 1889 et 1890, montre un café animé alors que le crépuscule tombe sur la ville. Son créateur – qui était plus généralement associé à des scènes de plage méditerranéenne lumineuses et limpides – fait une apparition dans l’œuvre, fumant un cigare tout en étant assis à une table avec un soldat. L’image fait partie des 77 peintures qui composent une exposition à la galerie des Collections royales à Madrid intitulée Sorolla, Cent ans de modernité. « L’œuvre…

Culture africaine : les événements de décembre 2024

CULTURE

Culture africaine : les événements de décembre 2024

À Clermont-Ferrand, Vic-le-Comte, Asunción, Paris, Dakar, Miami, Abidjan, Yaoundé, Kampala, Kisumu, Casablanca, Accra, Lagos, Tunis, New York, Genève… que ce soit dans une salle ou à ciel ouvert, voici 21 événements culturels d’inspiration afro ou africaine à ne pas rater en décembre 2024. N’hésitez pas à partager vos événements culturels « incontournables » pour 2025 à l’adresse rfipageculture@yahoo.fr.

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« Documenter les futurs ? » Du 1er au 7 décembre, le Festival du cinéma documentaire à Clermont-Ferrand et Vic-le-Comte proposera 38 films en compétition. Une vingtaine de pays, y compris l’Ukraine, le Tadjikistan, la Géorgie, le Rwanda, les USA, l’Espagne, l’Italie, la Chine, le Maroc… seront représentés. Du 2 au 7 décembre, le Comité de l’UNESCO pour la protection du Patrimoine culturel immatériel tiendra sa 19e session ordinaire à Asunción, au Paraguay, où 63 éléments seront proposés pour inscription sur les Listes de la Convention par 90 États (avec le Rwanda, la Tunisie, l’Algérie, le Soudan, la Zambie, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Botswana). Du 4 au 8 décembre, la galerie Afriart présente lors de leur première à la foire Art Basel Miami Beach plusieurs artistes africains, y compris Sanaa Gateja. Né en Ouganda en 1950, il est décrit comme un « artiste visionnaire des techniques mixtes, reconnu pour ses talentueuses transformations de magazines de mode et de papiers glaces en perles complexes, préservant ainsi des fragments de textes et d’images comme archives de notre culture ». Par son imagination, Gateja redonne vie et sens aux matériaux comme le tissu d’écorce, le raphia ou la fibre de banane, naviguant entre installation, tapisserie et sculpture. Ses œuvres établissent « un lien plus intime entre la société et la communauté… tout en célébrant la beauté ».À lire aussiNEWSLETTER RFI CULTURE : Restez informé des meilleures reportages et réflexions sur l’actualité culturelle internationale sans oublier l’Afrique.À partir du 5 décembre, la galerie parisienne Christophe Person présente Sur le papier. Cette exposition collective met en avant des œuvres originales et expérimentales autour d’une multitude de techniques, réalisées par les artistes Ghizlane Sahli (Maroc), Wilfried Mbida (Cameroun), Fally Sène Sow (Sénégal), Tsham (RDC), Mamady Seydy (Sénégal), Paul Ndema (Ouganda), Mouss Black (Burkina Faso), Céleur Jean Hérard (Haïti).Du 5 au 8 décembre se déroulera l’édition 2024 du Festival International de Poésie des Sept Collines à Yaoundé. Un hommage à l’élégance et la vigueur de la poésie africaine sous le thème « Vers une démarche tradiporaine dans la création artistique », avec la participation de poètes venant du Sénégal, Bénin, Tchad, Togo, Rwanda et Cameroun.Du 5 au 8 décembre, la Dakar Fashion Week se présente comme « l’une des plus prestigieuses semaines de la mode africaine dans un cadre exceptionnel ». Un défilé exceptionnel, flamboyant de couleurs et de créativité, mettant en avant des créateurs de talent venus de l’ensemble du continent.

“Maid of honor” (2022), œuvre de l’artiste ougandais Sanaa Gateja exposée par Afriart Gallery du 4 au 8 décembre 2024 à Art Basel Miami Beach. Perles de papier sur tissu d’écorce, 205 x 98 cm. © Afriart Gallery

Les 6 et 7 décembre, la première édition du Salon Made in Africa Paris aura lieu. L’événement est centré sur la valorisation de l’innovation artisanale africaine avec des démonstrations de technologies modernes intégrées dans l’artisanat. Les visiteurs pourront explorer des expositions consacrées à la mode, aux bijoux et objets d’art, tous réalisés avec un savoir-faire traditionnel enrichi par des touches modernes et novatrices. Les 6 et 7 décembre, la septième édition de l’African Film Festival se tiendra à Kisumu, au Kenya. L’AFF se donne pour mission de promouvoir les nouvelles voix du cinéma africain tant sur le continent qu’au-delà. Du 8 au 10 décembre, la 3ᵉ édition du Festival International du Film des Droits de l’Homme à Lagos mettra l’accent sur le thème de la « résilience ». Grâce aux éditions précédentes, l’AIHRFF se positionne aujourd’hui comme « une plateforme majeure pour les cinéastes et les défenseurs des droits humains ». Jusqu’au 10 décembre, tous les artistes peuvent soumettre leur candidature pour la 10e édition du Prix RFI Talents du Rire, créé en 2015 par l’humoriste et chroniqueur Mamane, en partenariat avec Gondwana-City Productions, visant à célébrer les nouveaux talents de l’humour francophone en Afrique, dans l’océan Indien et les Caraïbes. RFI annoncera le nom du gagnant le mercredi 22 janvier. Le ou la lauréat(e) se verra remettre son prix le dimanche 23 février 2025 sur la scène d’Abidjan Capitale du Rire, ainsi qu’une récompense de 4 000 euros.À Kampala, Afriart Gallery Kampala présente en ce moment la rétrospective Henry ‘Mzili’ Mujunga – 25 ans : 1999-2024. Cette exposition met en lumière de nombreuses pièces inédites ainsi que ses précédentes explorations dans les domaines de la gravure, de la peinture en techniques mixtes et d’autres, témoignant de ses influences tirées de ses déplacements à travers l’Afrique et l’Europe.

“Oasis ponds” (2022), œuvre de l’artiste ougandais Sanaa Gateja exposée par Afriart Gallery du 4 au 8 décembre 2024 à Art Basel Miami Beach. Perles de papier sur tissu d’écorce, 161 x 152 cm. © Afriart Gallery

À Casablanca, African Arty propose une rétrospective d’« Abderrahmane Rahoule, figure incontournable de la scène artistique marocaine et internationale ». Sous le titre 60 ans de création – L’école de Casablanca entre héritage et transmission, la galerie présentera à partir du 12 décembre de nombreuses œuvres de cet artiste multidisciplinaire né en 1944 à Casablanca, reconnu pour son approche novatrice mêlant peinture, sculpture et réflexion théorique. Le festival Mantsina sur Scène à Brazzaville a annoncé son édition 2024 du 13 au 22 décembre. « Des artistes originaires du Congo et des quatre coins du monde, fortement impliqués à révéler un potentiel artistique inédit, offriront un spectacle de créativité éblouissante et de performances inégalées. »À Tunis, du 14 au 21 décembre, la 35ᵉ édition des Journées cinématographiques de Carthage sera présidée par le cinéaste Férid Boughedir et coordonnée artistiquement par Lamia Belkaid. Dans le cadre du Festival Impatience, Cédric Djedje et la compagnie Absent·e pour le moment présenteront le 18 et 19 décembre au Centquatre de Paris Vielleicht. Ce rituel polyphonique et pluridisciplinaire explore la mémoire et la réparation du colonialisme à travers les mobilisations d’activistes berlinois pour renommer des rues honorant des colons tortionnaires. Un dialogue puissant entre le passé et le personnel « suivant la bataille qui dure depuis 40 ans menée par des associations africaines et afro-allemandes pour rebaptiser ces rues, résonnant de noms moins connus, issus de résistances anticoloniales noires ».Jusqu’au 22 décembre, les artistes dans les arts visuels, âgés de 18 à 40 ans et résidant en Afrique de l’Ouest peuvent postuler pour le prix Kuenyehia, d’une valeur de « 10 000 dollars, des fournitures artistiques, une formation et du coaching ». Le Kuenyehia Trust, basé au Ghana, cherche à soutenir les artistes dans leur recherche d’une stabilité financière rapide.

“Change 2” (2021), œuvre de l’artiste ougandais Sanaa Gateja exposée par Afriart Gallery du 4 au 8 décembre 2024 à Art Basel Miami Beach. Perles de papier. 265 x 300 cm. © Afriart Gallery

Le Metropolitan Museum of Art à New York propose actuellement une exploration multisensorielle de près de 150 ans de création artistique et culturelle : La fuite en Égypte : Les artistes noirs et l’Égypte ancienne, de 1876 à aujourd’hui. L’exposition retrace comment les artistes noirs, entre autres, ont envisagé l’Égypte ancienne à travers l’art visuel, la sculpture, la littérature, la musique, la recherche, la religion, la politique et la performance – du XIXe siècle à la Renaissance de Harlem, en passant par le Black Arts Movement des années 1960 et 1970 jusqu’à nos jours. La galerie Selebe Yoon à Dakar affiche en ce moment Dans le creux de la main, une exposition de Mélinda Fourn, artiste française et béninoise, lauréate de la Biennale de Biso à Ouagadougou en 2023, qui vit et travaille entre la France, le Ghana et le Sénégal. Ses bagues monumentales proposent une synthèse poétique de bijoux, conçus comme un condensé esthétique et social complexe. Jusqu’au 1er février, la galerie Cécile Fakhoury à Dakar expose Dègg naa tuuti Wolof (« Je comprends un peu le Wolof »). L’exposition de l’artiste sénégalaise et italienne Adji Dieye – qui vit et travaille entre Dakar au Sénégal, Milan en Italie et Zurich en Suisse – explore « les fondements de la notion d’archives, en relation avec l’histoire du Sénégal ». Ses sérigraphies forment un répertoire des gestes quotidiens et portent un intérêt particulier « à la manière dont l’action économique de certaines communautés et classes sociales influence la construction et la transformation de l’espace public ».En Suisse, Filafriques Gallery à Genève présente Stories from a Barn 2, une exposition centrée sur l’œuvre de Joseph Eze. Né en 1975, l’artiste nigérian rend hommage aux traditions et aux identités multiples à travers de personnages impressionnants et originaux, mis en valeur par des textures et matériaux dynamiques. Le musée Barbier-Mueller à Genève propose actuellement Boucliers d’Afrique, une immersion dans le monde fascinant d’objets provenant de plusieurs régions d’Afrique. « Véritables symboles de protection et de prestige, ces boucliers racontent une histoire riche à travers leurs diverses utilisations, guerrières, rituelles et sociales. »► Partagez-nous vos « incontournables » de la culture africaine en 2025 à l’adresse rfipageculture@yahoo.fr.

Au Sénégal tout comme au Tchad, la présence de l'armée française n'est plus désirée.

INVESTIGATIONS

Au Sénégal tout comme au Tchad, la présence de l’armée française n’est plus désirée.

Il y a trois ans, la France avait presque 8 500 militaires en Afrique, dont 5 300 étaient engagés au Sahel, dans le cadre de l’opération Barkhane. Dans quelques mois, ils ne seront à peine plus de 1 500, avec seulement quelques centaines – peut-être même quelques dizaines – en Afrique de l’Ouest.

L'invité du jour - Bernard Crébassa, dirigeant de la Fédération nationale des artisans du taxi

HERAULT NEWS

L’invité du jour – Bernard Crébassa, dirigeant de la Fédération nationale des artisans du taxi

Les taxis sont en mouvement de grève depuis ce lundi. Il n’y a pas de ralentissements dans l’Hérault, cependant, des chauffeurs se sont rendus à Salon-de-Provence ou à Paris pour manifester. Ils s’opposent à la nouvelle convention établie avec l’assurance maladie. Les chauffeurs de taxis critiquent cette nouvelle convention signée avec l’assurance maladie, laquelle prévoit une diminution de leur rémunération pour le transport médical. Pour certains conducteurs qui exercent en zone rurale, ce transport médical peut constituer près de 90 % de leur activité. Bernard Crebassa, originaire de l’Hérault, occupe le poste de président de la Fédération nationale des artisans du taxi.

Sara Forestier, actrice : «C’est un dispositif qui m’a écrasée»

INVESTIGATIONS

Sara Forestier, actrice : «C’est un dispositif qui m’a écrasée»

Le 7 novembre, l’actrice Sara Forestier a témoigné devant une commission d’enquête parlementaire sur les violences dans le cinéma, relatant les abus subis durant sa carrière. Elle a décrit l’industrie comme une “machine à broyer des talents” et a souligné la stigmatisation des femmes qui dénoncent des abus. Forestier a également apporté son soutien à une plaignante contre le réalisateur Jacques Doillon, accusé de violences sexuelles. De plus, elle a déposé une plainte contre l’acteur Nicolas Duvauchelle pour agression, ce qu’il conteste. Forestier insiste sur l’importance de briser le silence complice autour des violences dans le milieu cinématographique.

Trump revient : la vaste défaite des médias américains ?

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Trump à Paris : le président élu doit assister à la réouverture de Notre-Dame

Le président élu des États-Unis, Donald Trump, assistera à la célébration de réouverture de la cathédrale Notre-Dame à Paris ce week-end, son premier voyage à l’étranger depuis sa victoire à l’élection. La cathédrale historique devrait rouvrir samedi après plus de cinq ans de reconstruction suite à un incendie dévastateur en 2019 qui a englouti et failli détruire ce monument emblématique de Paris. Les cérémonies qui se dérouleront samedi et dimanche seront des événements à haute sécurité, avec environ 50 chefs d’État et de gouvernement attendus. Trump a annoncé qu’il serait parmi eux dans un message publié sur son site Truth Social lundi soir. “C’est un honneur d’annoncer que je me rendrai à Paris, France, samedi pour assister à la réouverture de la Magnifique et Historique Notre…

‘Il s'agit de justice’ : un combattant de la guerre de guérilla intente un procès au gouvernement espagnol pour 1 million d'euros

ACTUALITÉS

‘Il s’agit de justice’ : un combattant de la guerre de guérilla intente un procès au gouvernement espagnol...

Un des derniers combattants survivants de la guerre de guérilla menée contre la dictature de Franco dans les années 1940 poursuit le gouvernement espagnol pour 1 million d’euros de réparations. Joan Busquets, né à Barcelone, 96 ans, a subi des torture, du travail forcé et 20 ans de prison aux mains du régime franquiste. L’affaire fait suite à la loi sur la Mémoire Démocratique de l’Espagne, adoptée en 2022, qui offre des « réparations morales » aux victimes du régime. « La loi propose d’aider les victimes de torture, de travail forcé et d’exil sous la dictature, mais la petite lettre dit qu’elles n’ont pas droit à une compensation financière », a déclaré Busquets. « C’est symbolique, mais mon emprisonnement n’était pas symbolique. » Après la victoire fasciste dans la guerre civile en 1939, des milliers de républicains ont fui en France, dont beaucoup sont…