Les 23 meilleurs films actuellement disponibles sur Apple TV+ (octobre 2024)
Wolfs, Fancy Dance et The Last of the Sea Women ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Apple TV+ ce mois-ci.
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Leslie est l’invitée de Clique. La chanteuse, principalement connue pour ses tubes “Sobri” ou “Et j’attends”, revient sur le devant de la scène après dix ans d’absence. Elle se confie sur son passé d’adolescente star et son retour dans le monde de la musique. Les nouveaux projets de Leslie Star des années 2000, Leslie n’a pas sorti d’album depuis dix ans. Une période pendant laquelle la chanteuse ne s’est quasiment pas exprimée publiquement. “La chute, ce n’est pas le fait de vendre ou de ne pas vendre des disques, c’est la solitude.” Aujourd’hui, elle fait son retour sur le morceau “Dans les veines”, une collaboration avec Franglish et Kore sur la compilation de ce dernier “Raï’n’B Fever volume 5”. Aujourd’hui, Leslie est bien occupée : elle prévoit de ressortir ses premiers albums sur les plateformes de streaming, promet un nouveau projet en 2025 et une date à l’Olympia. Quand elle évoque son passé, Leslie reste détachée. “Je n’ai jamais réécouté ce que je faisais à l’époque. Je suis toujours portée par l’instant présent et le futur.” Son passage chez “Graine de Star” lui a valu de se distinguer des autres candidats et de sortir son premier album “Je suis et je resterai” à seulement 15 ans. “Le succès m’est tombé dessus et je ne pensais pas une seule seconde que ça allait marcher pour moi.” C’est ce succès précoce qui a poussé la chanteuse à faire, selon ses mots, des “sacrifices”. Notamment sur sa jeunesse sous les projecteurs, qui l’a privée d’une adolescence conventionnelle : “Je n’avais pas vécu la vie, je ne savais pas quelle femme je voulais devenir.” Son enfance en Afrique : vecteur d’influences et de valeurs Leslie a passé une grande partie de son enfance au Gabon puis au Togo. “En Afrique, il y a un côté très uni et tourné vers l’optimisme. Ce soleil-là, je l’ai gardé dans mon cœur.” De cette période, l’artiste conserve un souvenir ému et un attachement fort aux cultures de ces deux pays. C’est également là-bas que Leslie a découvert la musique et sa voix, grâce à son frère qui a énormément contribué à son éducation musicale. “Je ne rêvais pas plus que ça d’être chanteuse, c’était ma passion mais ce n’était pas mon rêve, c’était celui de mon frère.” C’est lui qui, quelques années plus tard, l’encourage à s’inscrire au télé-crochet ”Graine de Star” en 2001. Une adolescence pas comme les autres Dans les années 2000, les jeunes chanteuses devaient remplir certaines cases imposées par l’industrie musicale. C’est le cas de Lorie qui en avait témoigné lors de son passage chez Clique. De son côté, Leslie réfute tout comportement négatif envers elle : “J’ai la chance d’avoir eu des équipes très bienveillantes. La seule chose qu’ils me demandaient c’était de sourire même si quand tu es adolescente, la dernière chose que tu as envie de faire, c’est de sourire !” Leslie s’exprime également sur les projets qu’elle a refusé dans sa carrière. Elle remercie surtout ses producteurs de l’époque qui lui ont laissé une grande liberté. “Refuser, c’est un luxe que l’on s’octroie avec les conséquences qui vont avec.” Leslie revient plus en forme que jamais et ce n’est que le début de la nouvelle étape de sa carrière. Affaire à suivre. L’interview de Leslie est disponible en replay sur myCANAL.
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Mouloud Achour reçoit l’actrice Catherine Frot dans Clique. Actuellement à l’affiche de la pièce “Lorsque l’enfant paraît”, elle raconte comment sa carrière dans le cinéma a décollé après ses 40 ans, son discours après gagné le César de la meilleure actrice, mais aussi sa relation unique avec Jean-Pierre Bacri. Comment le théâtre a changé sa vie Après avoir remporté deux Césars pour ses rôles au cinéma dans “Marguerite” et “Un air de famille”, Catherine Frot revient à son premier amour : le théâtre. Elle joue actuellement la pièce “Lorsque l’enfant paraît” mis en scène par Michel Fau au théâtre Marigny. Cette comédie a réuni plus de 200 000 spectateurs pour plus de 300 représentations, le succès est immense. Selon l’actrice principale, “c’est un divertissement pur avec une grande profondeur.” Cette passion pour le théâtre, Catherine Frot l’a toujours eu. C’est dans cet environnement qu’elle a commencé sa carrière d’actrice, aux côtés de Peter Brook dans les années 1980. “On faisait tout nous-même : les décors, les costumes… On réfléchissait ensemble et c’était fantastique.” Finalement, c’est en 1996 qu’elle devient populaire aux yeux du grand public grâce au film “Un air de famille”. Elle décroche le César du meilleur second rôle féminin pour son personnage de Yolande Ménard : “Ce film, c’était la pochette surprise incroyable.” C’est seulement à 39 ans que Catherine Frot explose au cinéma, une situation très rare chez les actrices. Une grande carrière au cinéma Pour Catherine Frot, “Le métier d’acteur, c’est entraîner les gens avec soi, c’est jouer avec le public.” Cette mentalité ne l’a jamais quittée tout au long de sa carrière d’actrice. Elle y a croisé le chemin de noms importants du cinéma comme Cédric Klapisch, Francis Veber, Xavier Giannoli et le grand Jean-Pierre Bacri, décédé en 2021. Elle lui rend hommage sur le plateau en répondant à un extrait où il évoque les attentes du public : “On le reconnaît bien, il se demande ce qu’on peut faire ou pas aujourd’hui en tant qu’acteur et il a raison. On se la pose tous les jours cette question.” De son côté, pour garder les pieds sur Terre, la comédienne prend en compte les remarques que le public fait sur son travail. “La critique m’a toujours beaucoup apporté. Pour moi, l’auto-critique, c’est vital.” L’interview de Catherine Frot est disponible en replay sur myCANAL.
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Le romancier Howard Jacobson a soutenu qu’une trop grande couverture médiatique des enfants palestiniens morts est une nouvelle forme de “calomnie du sang” contre les Juifs.
Pour sa deuxième apparition dans l’émission rap d’Arte Concert, le chanteur a décidé de partager sa scène avec pas moins de 17 invités. Une grande fête réunissant des rappeurs installés comme Niska, mais aussi des artistes plus confidentiels comme KLN. Chaque personne présente dans la foule comme sur scène est venu pour la même chose : célébrer Tiakola et sa mixtape “BDLM Vol.1”. Tiakola a obtenu une carte blanche de la part d’Arte pour organiser son deuxième passage sur “Dans le Club”. Pour l’occasion, il a décidé de jouer son nouveau projet presque en intégralité et en ramenant le maximum d’invités. Résultat : un show complet, dynamique et ambitieux, dans la lignée de ce que l’artiste propose à son public depuis plusieurs années. Un show très attendu 2h30 avant le début de “Dans le Club”, les fans de Tiakola se pressent dans la queue sous une pluie battante. À l’intérieur de la Gaîté Lyrique, la grande salle se prépare à accueillir le chanteur et ses nombreux invités. Le public ne sait pas encore que des grands noms de la musique seront eux aussi présents. Pour le principal intéressé, partager sa scène avec autant de personnes est une expérience inédite : “Il y a plusieurs guests, c’est une autre énergie, c’est une autre démarche. C’est même nouveau pour moi et ça suit le délire du projet ‘BDLM’.” Les backstages de la Gaîté Lyrique n’ont jamais été aussi bondés : techniciens, journalistes et artistes bouillonnent en attendant le lancement du live. “Vu que j’ai fait une mixtape avec plusieurs artistes, c’est logique de faire un show à plusieurs.” Tiakola Dans les loges, parmi les invités, on retrouve le rappeur Prototype, proche de Tiakola avant même qu’ils se lancent dans la musique. Il raconte ses premiers souvenirs avec la star de la soirée : “Son cousin habite dans mon quartier et Tiako venait souvent en vacances chez lui quand on était petits. C’est comme ça que la rencontre s’est faite.” Tout comme le public, Prototype trépigne d’impatience avant le début du live : “Je fais de la musique pour des moments comme ça !” Le direct de “Dans le Club” commence dans moins d’une heure et l’ambiance est à la fête. Les artistes se détendent avec leur entourage et profitent de l’espace gigantesque du dernier étage de la Gaîté Lyrique. Crédit : Lucas Bonin Un “Dans le Club” comme aucun autre Avant d’entrer en scène, Tiakola est introduit comme il se doit. Le livestream de “Dans le Club” se lance avec Skuluch, la présentatrice, qui prend le micro pour annoncer le début du concert. Malgré le fait qu’elle demande aux personnes présentes de couper leur téléphone, une fois que Tiako apparaît, les flashs reviennent à peine le premier morceau entamé. Dès le début du titre “T.I.A.”, la foule le suit en chantant son refrain à gorge déployée. Le direct d’Arte concert navigue de plans larges de la scène aux plans serrés sur le chanteur en passant par la foule en transe filmée à la caméra à l’épaule. “Ce qu’il a fait avec ‘BDLM’, c’est rassembler la jeunesse de la musique d’aujourd’hui et célébrer tous ensemble : pour moi la musique c’est ça.” – Prototype Petit à petit, ses invités rejoignent Tiakola pour interpréter les featurings présents sur sa mixtape “BDLM Vol.1”. Ce n’est pas la première fois que “Dans le Club” donne carte blanche, mais jamais l’émission n’avait accueillie autant de chanteurs. Saaro, Merveille, Jolagreen23, Cheu-B… Les featurings s’enchaînent naturellement, de quoi régaler le public qui ne connaissait ni les noms, ni le nombre des invités présents ce soir-là. Rien de plus naturel pour Tiakola que de convier ses collaborateurs et amis pour sa carte blanche : “Vu que j’ai fait une mixtape avec plusieurs artistes, c’est logique de faire un show à plusieurs.” Il a découvert “Dans le Club” lors de son premier passage dans l’émission, il était déjà venu en janvier 2023 pour son album “Mélo”. Depuis cette performance, sa notoriété a grimpé et ça se ressent durant cette deuxième performance. L’excitation et la passion de ses fans dans la salle témoignent de ce changement de statut qui le place désormais parmi les grands de la musique française. Une carte blanche comme carte de visite Tiakola a profité de sa carte blanche sur “Dans le Club” pour mettre en avant d’autres noms. À l’image de sa mixtape collaborative, il a mélangé les apparitions d’artistes connus de tous à l’image de Niska, et d’autres qui débutent, comme Saaro ou KLN. Ce dernier est venu jouer en exclusivité son prochain single en featuring avec Tiakola. Crédit : Lucas Bonin Ce “Dans le Club” s’est terminé par le plus gros hit de la mixtape “BDLM” : Pona Nini avec Prototype et Genezio. Le public a pu profiter du morceau à trois reprises tant l’ambiance empêchait Tiako et ses compères de s’arrêter. Pour Prototype, ce succès n’était pas prévu : “Je suis hyper content et surpris, parce que je ne m’attendais pas à ce que les gens se prennent autant Pona Nini.” Après une heure et demie de direct, deux rappels, un morceau performé sans t-shirt et 17 invités, cet épisode de “Dans le Club” se termine dans une atmosphère aussi électrique qu’au début. Tiakola a unanimement réussi son pari fou : unir son public et ses nombreux invités autour d’un seul et même projet, le tout sans pause et en direct sur internet. À propos d’une prochaine tournée avec différents artistes, il confie : “Ce serait une bonne idée de faire des dates à plusieurs. Même si ce n’est pas avec des artistes, je vais venir en nombre, je reste dans l’état d’esprit du projet.” Quoi qu’il arrive, Tiakola ne compte pas s’arrêter là et il se lance désormais dans une tournée internationale. Le live complet du “Dans le Club” de Tiakola est à retrouver sur arte.tv ou directement sur la chaîne YouTube de ARTE Concert.
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Amélie Nothomb, l’autrice belge aux 20 millions de livres vendus, est l’invitée de Mouloud Achour dans Clique. À l’occasion de la sortie de son nouveau roman “L’impossible retour”, elle revient sur l’affection de ses fans, son attachement au Japon et son amour pour Mylène Farmer. Sa proximité avec ses lecteurs Le 21 août dernier, Amélie Nothomb publiait “L’impossible retour” aux Éditions Albin Michel. L’autrice écrit un ouvrage par an depuis 1991, ce qui fait de ce roman son 33ème. Malgré cette cadence effrénée, elle ne se repose jamais sur ses lauriers : “À chaque fois que je publie un livre, j’ai l’impression de remettre mon titre en jeu.” Repartir de zéro à chaque fois permet à Amélie Nothomb de garder les pieds sur terre, tout en abordant des sujets différents de roman en roman : “Mes livres sont de plus en plus graves.” Si l’autrice a toujours du succès aujourd’hui, c’est grâce à ses fidèles lecteurs. Pour elle, ils ne sont pas forcément acquis à sa cause. “J’ai de la gratitude envers mes lecteurs qui veulent bien de moi.” Grâce à la qualité de ses écrits, Amélie Nothomb a réussi à créer un véritable lien avec ceux qui lisent ses livres : “Mes lecteurs me connaissent très intimement.” Amélie Nothomb, seule dans son monde Durant toute sa carrière, l’autrice belge est toujours apparue comme quelqu’un d’à part dans les médias. Cette image lui colle à la peau, sans pour autant la déranger. Elle en est consciente et n’a aucun problème à assumer sa solitude : “Je ne suis pas très dîner en ville, donc je trouve toujours des excuses pour ne pas y aller.” Si elle accepte aussi facilement d’être seule, c’est aussi pour faire face à ses sentiments négatifs : “Je pense que je ne pourrais pas me délivrer de mes démons.” Le fait d’être seule dans son monde, elle le partage avec une autre artiste qu’elle apprécie grandement : Mylène Farmer. Amélie Nothomb a eu la chance de la rencontrer il y a presque 30 ans : “En 1995, le magazine Vogue Allemand m’avait dit ‘vous avez le droit de faire venir la personne que vous voulez rencontrer et on vous arrange une interview croisée.’ J’ai choisi Mylène Farmer et elle a accepté.” Les deux femmes finissent par passer la soirée ensemble. “C’était génial.” Sa passion débordante pour la Japon Amélie Nothomb a vécu une partie de son enfance au Japon. Elle était alors élevée par une nounou japonaise qu’elle a pu revoir lors d’un voyage il y a 12 ans. Cette anecdote touchante s’arrête là, puisque lorsqu’on lui demande des nouvelles de cette dame, elle répond : “J’en suis à un stade où je ne sais même si elle est en vie.” Grâce à sa vie au Japon, Nothomb a pu analyser la culture nippone et ses différences avec l’Europe. “Les Japonais ne disent pas ‘non’, ils refusent en utilisant des subterfuges verbaux.” Une société qui lui correspond parfois plus qu’en France ou en Belgique, notamment sur la notion du temps : “Les Japonais ont compris le temps. Le temps n’est jamais révolu, ce n’est ni le passé, ni le futur, c’est tout à la fois. Ce sont des gens qui vivent le temps dans sa véritable dimension.” Quand on aborde son avenir, Amélie Nothomb se voit continuer de publier des romans régulièrement. Pour elle, il n’est pas question de se faire concurrencer par les intelligences artificielles : “Historiquement, on sait que ce qui consomme moins perdure et je consomme beaucoup moins que l’intelligence artificielle.” L’interview d’Amélie Nothomb est à retrouver en replay sur myCANAL et sur la chaîne YouTube de Clique.
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En quittant le cercle vicieux de l'hédonisme, les jeunes travailleurs exigent une expérience professionnelle plus authentique.
Un rondin de bois. C’est le dernier trophée individuel qu’aura soulevé Takayuki Suzuki. À Portland, quand les Timbers, pensionnaires de seconde division étatsunienne, marquent un but, la mascotte du club scie un morceau de tronc d’arbre pour l’offrir au buteur. C’était le 15 juin 2010, contre une équipe amateure, en coupe. Huit ans plus tôt, le 4 juin 2002, le Japon entre dans sa Coupe du monde, à domicile. Des avions de chasse survolent le Saitama Stadium pour inaugurer la rencontre contre la Belgique. Ça fait six ans que le pays attend ça, depuis sa désignation comme co-organisateur de la compétition avec la Corée du Sud. En tant que nation émergente du foot, cet événement est l’occasion pour le Japon de montrer aux yeux du monde de quoi il est capable. Suzuki, qui ne compte pourtant que deux saisons convenables derrière lui – à 26 ans (!) –, en plus de ne pas avoir marqué depuis six mois, est aligné d’entrée de jeu. C’est même lui qui donne le coup d’envoi. On arrive à l’heure de jeu quand, quelques secondes seulement après l’ouverture du score de Marc Wilmots, Shinji Ono adresse un long ballon vers l’avant. Derrière les deux centraux belges surgit Suzuki, à pleine balle, qui se couche, s’étire de tout son corps, pour tendre la jambe droite et pousser le cuir au fond des filets de De Vlieger. À l’école, les becs de ceux qui avaient osé me narguer en anticipant la victoire des Belges se clouent, et je jubile. Pour moi, c’est l’aboutissement de tant d’espoirs portés en l’équipe nationale japonaise, depuis un pays où je ne partage mon identité avec personne d’autre. Je me porte antagoniste à la Belgique, et le Japon ne se laissera pas battre par eux. J’ai l’impression d’avoir 23 camarades venus m’épauler…
Il y a bientôt deux ans, j’ai signé pour une nouvelle expérience dans ma vie. Commencer une carrière de journaliste indépendante ne me suffisait apparemment pas : j’ai décidé d’écrire un livre. Ayant déjà quelques auteur·ices dans mon entourage je savais que ce serait fatigant, exigeant, pour à peu près zéro euro, mais d’un autre côté, il y avait la promesse de la gratification incommensurable d’avoir mon nom dans le catalogue d’une chouette maison, et la meilleure excuse possible pour me concentrer sur un seul sujet de façon pleinement monomaniaque. Après avoir signé un contrat d’édition avec deux personnes de confiance (Antonin et Anne pour ne pas les nommer), j’ai travaillé durant une bonne année à fabriquer ce qui est depuis mars un essai disponible à peu près là où c’est possible. Le processus fut à la hauteur de mes anticipations – les meilleures comme les pires – et il me tarde de prendre le temps pour développer ce qui serait le prochain livre que j’ai envie d’écrire. Il semblerait que mon cerveau a occulté les nombreux maux de crâne causés par le manque prolongé de sommeil, les doutes débordant du cerveau et les larmes, et même mes doutes actuels depuis la publication du livre ; du moins suffisamment pour me sentir prête à remettre ça. J’imagine que c’est un peu comme faire un second enfant en pleine connaissance des douleurs et de l’épuisement de la première naissance (je n’ai et ne veux pas d’enfant). Par contre je n’avais pas prévu que le fait d’écrire ce livre me ferait rappeler mon psy. Un an et un manuscrit bouclé plus tard, je le rappelais pour refaire un point sur une durée non définie. Comme 31% des Françaises (selon la dernière étude réalisée par YouGov pour Psychologies) j’ai déjà fait appel à un·e psy…
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