L’industrie de la crypto salue David Sacks, son nouveau ‘czar’
David Sacks, un membre de l’infâme “mafia de PayPal”, dirigera un groupe de conseillers chargé de guider la politique en matière d’IA et de crypto sous l’administration Trump….
David Sacks, un membre de l’infâme “mafia de PayPal”, dirigera un groupe de conseillers chargé de guider la politique en matière d’IA et de crypto sous l’administration Trump….
La Cour suprême, le président élu Donald Trump ou un acheteur américain pourraient encore intervenir pour sauver la plateforme vidéo, utilisée par environ 170 millions d’Américains….
ToursTours (Indre-et-Loire).– Claude, un ancien « gilet jaune », exprime sans détour ses opinions. « La censure de Michel Barnier ? C’est excellent, mais ce que je réclame, c’est la démission de Macron ! S’il fait cette annonce ce soir, je débouche le champagne », déclare-t-il en manifestant pour la préservation des services publics, mercredi 5 décembre après-midi, juste quelques heures avant le discours du président.
Le président entrant Donald Trump a un nouveau « tsar » de la crypto et de l’IA : l’ancien COO de PayPal, David Sacks.
Trump a annoncé la nomination de Sacks jeudi dans un message sur Truth Social, la plateforme de réseautage social de Trump. « [Sacks] travaillera sur un cadre juridique afin que l’industrie de la Crypto [sic] ait la clarté qu’elle demande, et puisse prospérer aux États-Unis », a-t-il écrit.
Sacks, membre de la soi-disant « mafia PayPal », est co-fondateur de Yammer, l’outil de communication interne que Microsoft a acquis pour 1,2 milliard de dollars en 2012. Il est également à l’origine de Craft Ventures, un fonds de capital-risque qui a soutenu des startups telles que SpaceX, Reddit et ClickUp.
Dans une interview avec CNBC en 2017, Sacks a déclaré qu’il croyait que des cryptomonnaies comme Bitcoin et Ethereum remplissaient la « vision originale » de PayPal :…
Emmanuel Macron critique les oppositions et exige un « cap défini ». Le Président de la République s’est exprimé ce jeudi soir à 20 heures à la télévision, un jour après la censure du gouvernement de Michel Barnier. Il a abordé les facteurs de la crise politique actuelle dans le pays, tout en esquissant un plan de redressement.
La nouvelle est tombée plus tôt dans l’après-midi : il n’y aura pas de nomination d’un nouveau Premier ministre ce jeudi soir. Emmanuel Macron a néanmoins garanti qu’il désignera quelqu’un « dans les jours à venir ». « Je lui confierai la tâche de constituer un gouvernement au service de l’intérêt général qui représentera toutes les forces politiques prêtes à s’y associer ou, du moins, qui s’engagent à ne pas le censurer », a-t-il ajouté.
Emmanuel Macron a promis un projet de « loi exceptionnelle » à déposer au Parlement mi-décembre. « Cette loi temporaire permettra, comme stipulé dans notre Constitution, d’assurer la continuité des services publics et de la vie du pays, a-t-il expliqué. Elle mettra en œuvre pour 2025 les décisions prises en 2024. » Une loi de finances rectificative devra suivre pour servir de véritable budget pour l’année prochaine.
De nombreuses voix s’élèvent pour exiger la démission du président. Il a déçu ces attentes. « Le mandat que vous m’avez confié est de cinq ans, et je l’exécuterai jusqu’à son terme », affirme-t-il, écartant toute idée de démission, que ce soit maintenant ou dans quelques mois.
Le président a évoqué l’historique et les raisons de la dissolution, qui a mené à un gouvernement sans majorité absolue. « Cette décision n’a pas été bien acceptée », a-t-il reconnu. Il a également remercié Michel Barnier pour « son travail pour le pays » et sa « détermination ».
Avant de retourner la responsabilité aux oppositions : « L’extrême droite et l’extrême gauche ont formé un front contre la République », a déclaré le président de la République. « Je ne porterai jamais les irresponsabilités des autres », a-t-il ensuite ajouté.
Dans un décor similaire à ses interventions lors de la crise du Covid-19, Emmanuel Macron a aussi voulu insuffler une dynamique aux trente mois restants de son mandat. « Une nouvelle ère doit débuter », a-t-il exhorté.
Il a même établi un parallèle entre la situation de la France et celle de la cathédrale Notre-Dame de Paris, dont la réouverture sera célébrée ce week-end, après un terrible incendie survenu il y a cinq ans. « Il faut faire de même pour la nation : définir un cap clair », défend Emmanuel Macron. Espérons simplement que la France ne s’enflamme pas.
La France a été plongée dans une crise politique après qu’un vote de censure a fait tomber le gouvernement, mettant fin à la coalition minoritaire assiégée du premier ministre de droite Michel Barnier après seulement trois mois. La motion de censure, portée par une alliance de partis de gauche, a été soutenue par des députés du Rassemblement national de Marine Le Pen, d’extrême droite et anti-immigration. Au total, 331 législateurs — une claire majorité — ont voté mercredi soir pour faire tomber le gouvernement. Barnier devra démissionner en tant que premier ministre, ayant averti avant le vote que la France serait “plongée dans l’inconnu”. Le renversement du gouvernement laisse le président, Emmanuel Macron, face à la pire crise politique de ses deux mandats. Il y a de l’incertitude sur la manière dont un budget 2025 peut être…
La Corée du Sud avec le secrétaire général Mark Rutte déclarant la relation avec le pays d’Asie de l’Est comme étant inébranlable. “Nous suivons les événements en Corée du Sud, nous sommes intéressés par l’évolution de la situation,” a-t-il déclaré lors d’une réunion de l’OTAN à Bruxelles. “Notre relation avec la Corée du Sud est essentielle, notre relation avec la Corée du Sud est inébranlable,” a-t-il ajouté. Corée du Sud. Il est 16h à Séoul ce mercredi. Voici un récapitulatif des deux derniers jours tumultueux dans la politique sud-coréenne :
Les partis d’opposition ont soumis une motion de mise en accusation du Président Yoon Suk Yeol pour sa déclaration de loi martiale de courte durée.
Yoon fait face à des appels croissants à démissionner après avoir déclaré la loi martiale dans une adresse surprise, tard dans la nuit de mardi, un…
Emmanuel Macron sera-t-il amené à démissionner ? À la suite de la tempête politique qui s’abat actuellement sur le gouvernement Barnier, l’exécutif n’a plus de recours, à part lui-même… Emmanuel Macron sera-t-il amené à démissionner ? À la suite de la tempête politique qui s’abat actuellement sur le gouvernement Barnier, l’exécutif n’a plus de recours, à part lui-même. Et les demandes de démission ou de destitution d’Emmanuel Macron se font de plus en plus pressantes dans tous les partis d’opposition, de LFI à LR, y compris chez des centristes. Michel Barnier se trouve en mauvaise posture, trois mois seulement après sa prise de fonction à Matignon. Ce bouleversement politique remet sur la table le débat sur la destitution, voire sur la démission du président de la République. Cette question précise de la destitution avait été mise en avant il y a quelques semaines par les Insoumis. On se souvient qu’une de leurs propositions de loi allant dans ce sens avait été débattue puis largement rejetée en commission des lois début octobre, avec 54 députés sur 69 ayant participé au vote contre. Alors, le départ d’Emmanuel Macron, serait-ce la conséquence logique de cette séquence parlementaire de fin d’année ? Sa popularité, quant à elle, est au plus bas. D’après un sondage réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV, 63 % des Français se prononceraient en faveur d’une démission du président de la République Emmanuel Macron en cas de chute du gouvernement Barnier. Nous en discuterons dans un instant avec Beligh. Et dans la seconde partie de cet échange, nous aborderons l’actualité à Gaza, ainsi qu’une question troublante au regard du bilan humain des frappes israéliennes depuis un peu : pourquoi le déni du génocide persiste-t-il ? Éléments de réponse, comme toujours, dans cette chronique de Beligh Nabli.
Ce mardi, l’émission “Toujours debout l’info” se concentre sur des actualités cruciales, diffusée sur divers supports. La première partie, la plus longue, vise à devenir un véritable journal télévisé, dépendant d’une collecte de 200 000 euros. Les sujets abordés incluent le débat sur le 49-3 et les motions de censure à l’Assemblée Nationale, où le vote pourrait menacer le gouvernement Barnier. D’autre part, les universités manifestent pour protester contre une réduction prévue de financements. Enfin, des bombardements israéliens au Liban, malgré un cessez-le-feu, ont causé la mort de neuf personnes.
DésinvoltureDésinvolture envers la vérité, manque de scrupules moraux, soif de pouvoir… Depuis la crise déclenchée par la dissolution de l’Assemblée nationale, le 9 juin 2024, l’exercice du pouvoir par Emmanuel Macron se révèle plus que jamais pour ce qu’il est : autoritaire, nocif, désordonné, insensé. Le sociologue Marc Joly a consacré un ouvrage entier à la personnalité du président de la République, dont le titre en résumé la critique : La Pensée perverse au pouvoir (Anamosa, 2024).
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