Pourquoi les Grammys ont besoin d'évoluer, avec le PDG Harvey Mason Jr.

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE

Pourquoi les Grammys ont besoin d’évoluer, avec le PDG Harvey Mason Jr.

Image : The Verge ; Photo de Rebecca Sapp / Getty Images pour l’Académie des Grammy Awards Réinitialiser le roster de membres, diffuser le spectacle en ligne — est-ce suffisant à l’ère de l’IA ? Aujourd’hui, je dialogue avec Harvey Mason Jr. Il est à la tête de l’Académie des Grammy Awards, une organisation à but non lucratif qui coordonne les Grammy Awards — les distinctions les plus reconnues dans le domaine musical — et administre la fondation MusiCares, qui soutient les artistes en difficulté. Harvey est une personne captivante — en tant que musicien et producteur, il a collaboré avec des artistes comme Destiny’s Child, Britney Spears, Michael Jackson, Girls’ Generation, entre autres, et a également produit des bandes-son de films tels que Pitch Perfect et Straight Outta Compton. Harvey a eu un emploi du temps chargé depuis qu’il a pris son poste de PDG de l’Académie des Grammy Awards en janvier 2020 — son prédécesseur ayant été évincé seulement cinq mois après son arrivée en raison de divers scandales. Les Grammy Awards — tout comme les Emmy et les Oscars — ont été confrontés à un examen minutieux des inégalités raciales et de genre dans la répartition des prix. En outre, l’industrie musicale a connu un coup d’arrêt complet pendant la pandémie de covid-19, avec l’annulation des concerts en direct et des remises de prix, rendant MusiCares plus nécessaire que jamais. Harvey a donc été très occupé ces dernières années. Actuellement, le secteur musical est en plein essor, avec quelques-unes des plus grandes tournées de l’histoire et une nouvelle génération d’artistes émergents. Les nominations pour les Grammy Awards de 2025 viennent d’être révélées, et vous pouvez constater que des artistes tels que Chappell Roan et Sabrina Carpenter figurent dans la liste pour l’Album de l’année aux côtés de…

Drame de la rue d’Aubagne à Marseille : les défis d’un procès colossal

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Drame de la rue d’Aubagne à Marseille : les défis d’un procès colossal

Marseille (Bouches-du-Rhône).– Monstre, dans le sens de dévoiler et prouver. Le procès qui débute jeudi 7 novembre, dans la salle des audiences extraordinaires du tribunal de Marseille, situé à la caserne du Muy, fait partie de ces sessions atypiques, en raison du nombre de parties civiles, qui dépasse 80, et de sa durée, six semaines, pouvant même s’étendre jusqu’aux vacances de fin d’année.