Frank Auerbach’s Vérités Brutes
“Je trouve tout cela très difficile,” a déclaré l’artiste britannique d’origine allemande, décédé, et peu de peintres ont autant œuvré pour montrer la lutte de l’effort créatif.
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Fin novembre, le Téléthon donnera le coup d’envoi de sa campagne annuelle de collecte de fonds en collaboration avec France TV, tandis que les Enfoirés mettront leur billetterie à disposition : en somme, les initiatives caritatives soutenues ou mises en place par les médias depuis les années 1980 demeurent prisées. Toutefois, elles ne sont pas les premières. C’est la Radiodiffusion Française, à la fin des années 1940, qui a introduit cette tradition, en reconstituant un village normand ravagé en 1944 : Epron, le “Village de la Radio”.
Étant donné que l’intelligence artificielle (IA) modifie les dynamiques des entreprises, la sauvegarde des données demeure un défi considérable. Les données synthétiques se présentent comme une réponse innovante pour allier progression et protection. Elles ouvrent de nouvelles avenues.
Le développement de l’IA transforme les méthodes de travail au sein des entreprises, mais cela entraîne également des risques en matière de sécurité. Pour optimiser les modèles d’IA, les organisations accumulent d’importantes quantités de données sensibles. Même en prenant des précautions, le partage interne de ces données peut rendre l’entreprise vulnérable aux fuites ou aux cyberattaques ciblées. Cela pourrait engendrer des répercussions juridiques ou altérer la confiance. En outre, des techniques telles que les « reconstruction attacks » exploitent les modèles d’IA pour extraire des données confidentielles, accentuant ainsi les risques.
L’usage inconsidéré de solutions d’IA générative par le personnel constitue un autre défi. Ces plateformes, en l’absence de directives sécurisées, pourraient exposer des données stratégiques à des entités externes. Simultanément, la pseudonymisation des données, souvent perçue comme une protection adéquate, révèle des faiblesses notables. Grâce au croisement de différents ensembles de données, des informations sensibles peuvent être récupérées, illustrant ainsi les limites de cette méthode.
Face à ces enjeux, les données synthétiques se révèlent être une solution efficace. Produites par des algorithmes à partir de données réelles, elles conservent les caractéristiques statistiques cruciales sans compromettre la confidentialité. Cette approche garantit une anonymisation totale, préservant les informations d’origine tout en favorisant l’innovation. Les avantages de cette méthode sont nombreux. Puisqu’elle permet un partage sécurisé des données, elle promeut la coopération entre entreprises et l’optimisation des modèles d’IA. Une autre force des données synthétiques réside dans leur potentiel à réduire les biais.
Les entreprises peuvent ainsi élaborer des modèles d’IA plus justes et diversifiés, accroissant ainsi leur fiabilité et leur pertinence. En plus d’entraîner les modèles, ces données artificielles sont également très utiles pour tester et développer des systèmes informatiques. Les développeurs peuvent travailler dans des environnements proches de la réalité sans les dangers liés aux informations sensibles, cela permet d’optimiser l’efficacité des cycles de développement.
Adopter une méthode durable pour l’IA nécessite plus qu’une simple gestion des données. Une préoccupation clé est la dette technique. Des solutions IA, qu’elles soient sur mesure ou open source, peuvent sembler avantageuses, mais peuvent engendrer des frais de maintenance considérables si elles ne sont pas conçues pour l’industrialisation dès le départ.
La dimension écologique est tout aussi cruciale. L’entraînement de modèles exige beaucoup d’énergie, entraînant une empreinte carbone notable. Rationaliser les modèles pour une efficacité énergétique améliorée est donc essentiel, tant pour diminuer les coûts que pour répondre aux préoccupations environnementales. L’indépendance technologique est également un aspect indispensable : éviter le verrouillage fournisseur et privilégier des solutions ouvertes permet une plus grande flexibilité pour l’avenir. Les entreprises doivent également aborder les cas d’hallucination des modèles d’IA, où des informations erronées peuvent être générées. La mise en place de mécanismes de surveillance et de validation rigoureux est nécessaire pour assurer la fiabilité des résultats.
Article basé sur un communiqué de presse reçu par la rédaction.
Le matin après l’élection, l’historien a discuté de certains livres qui éclairent les précédents de notre moment politique fracturé.
Beaucoup pensent maintenant que les États-Unis pourraient sombrer dans la violence politique. Certains rejoignent des communautés survivalistes, mettent des aliments en conserve—et achètent des armes.
À mesure que la résistance à l’intégration augmentait, Florence Mars acheta un appareil photo et commença à photographier des milliers de sujets, y compris le procès des meurtriers d’Emmett Till.
Rescapé du chemsex, Jérémie s’est adonné durant 20 ans aux « plans plombe », des relations sexuelles non protégées aux bras d’hommes brûlants de réaliser leur fantasme : contracter son virus.
The post J’ai voulu transmettre le VIH de manière intentionnelle – et consentie appeared first on VICE.
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CANCER DU SEIN – Âgée de 47 ans, je vis au rythme des assauts d’un cancer du sein diagnostiqué en 2014. J’ai vécu à l’époque une double mastectomie (ablation des deux seins). Ensuite, j’ai bénéficié d’un traitement par chimiothérapie et radiothérapie. À l’issue des cinq années d’hormonothérapie synonymes de rémission, je suis entrée en phase métastatique au cours du printemps 2020. Mon état de santé est à nouveau stabilisé après chimiothérapie et ovariectomie, à l’aide d’un double traitement associant immunothérapie et hormonothérapie. En amont de l’ablation de ma poitrine, je m’étais débarrassée de mes soutiens-gorge ainsi que de mes robes décolletées. Pourtant, à la sortie de mon séjour hospitalier, j’ai subi la même humiliation que la poétesse Audre Lorde dans les années 1980: une infirmière croyant bien faire m’a tendu des prothèses externes alors que j’avais décidé d’assumer mon “buste aérodynamique” et de réaménager ma garde-robe en conséquence. À lire aussi sur Le HuffPost: MA solution: dentelle et tatoos Mais c’était sans compter sur le regard sociétal, conjugal, amical, porté sur ma platitude. Désorientée à plusieurs reprises à force de propos sur les beaux seins auxquels je pourrais prétendre, j’ai assisté sans conviction à une réunion d’information sur la reconstruction mammaire et rencontré deux chirurgiens plasticiens. Mais je n’ai trouvé MA solution qu’après déconstruction des clichés ambiants grâce à un article paru en 2018 dans le magazine Rose-up consacré aux 75% de femmes qui font un autre choix que la chirurgie reconstructrice. Quitter mes seins n’impliquait pas de renoncer à la dentelle. Or, faute de recourir à des prothèses externes, j’étais condamnée à la brassière de sport, la double peine! Pour pallier cette situation, je me suis offert une œuvre d’art à fleur de peau, un tatouage réalisé par Lisa Fuchs @renarde.tattoo. Publicité David Commenchal pour Pink Vous avez envie…
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