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Le 3 décembre, WIRED s’associera à certaines des plus grandes figures de la technologie, des affaires, de la science et au-delà pour une journée entière remplie de conversations approfondies.
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La généticienne Edith Heard et le streamer Arkunir sont les invités de Clique. Médaillée d’or du CNRS et directrice générale du Laboratoire européen de biologie moléculaire, la scientifique partage ses travaux sur l’épigénétique. Arkunir, qui a plus d’un million de suiveurs sur X, évoque sa collecte de don du sang aux ambitions records, aux côtés de Mouloud Achour.
Edith Heard, une scientifique sur le plateau de Clique
Edith Heard est une chercheuse éminente. Biologiste concentrée sur l’étude de l’épigénétique et du chromosome X, elle a récemment reçu la médaille d’or du CNRS. C’est la huitième femme à être honorée ainsi depuis que ce prix existe en 1954. Elle enseigne actuellement au Collège de France après des passages à l’Institut Pasteur et l’Institut Curie. “Pour comprendre le fonctionnement de la vie, il faut d’abord saisir nos origines.” Ses travaux apportent des connaissances cruciales sur le fonctionnement de l’ADN des mammifères.
En plus de ses recherches sur l’épigénétique et les chromosomes, Edith Heard est une ardente défenderesse de l’environnement et de sa sauvegarde : “Sans le soutien de notre planète, l’humanité ne pourra survivre. Nous avons le devoir de la protéger. Tout ce que nous avons, nous le lui devons.” Elle incite le public à faire confiance aux experts scientifiques et les incite à offrir des discours clairs et compréhensibles. “Au cours des 100 dernières années, notre espérance de vie a doublé. L’humanité peut être très forte si elle prend soin d’elle-même et permet à la science de progresser.”
« Ça peut sauver des vies » – @arkunir est sur le plateau de Clique pour évoquer sa collecte record de don du sang, à la place de l’Hôtel de ville de Paris, du 28 novembre au 1er décembre.@EFS_Sante pic.twitter.com/oW627MMlx3
— CLIQUE (@cliquetv) November 18, 2024
Une collecte de sang record portée par Arkunir
En deuxième partie d’émission, Edith Heard est rejointe par Arkunir. À seulement 22 ans, le streamer donne sa première interview télé sur le plateau de Clique. Il compte déjà un million d’abonnés sur X, anciennement Twitter, où il s’est fait connaitre après avoir remporté 40 000€ suite à un défi lancé par le célèbre YouTubeur américain Mr. Beast. Cette somme a été intégralement reversée à la Fondation 30 millions d’amis. “Je souhaite utiliser ma notoriété pour faire des bonnes actions, afin que lorsque cela s’arrêtera, je puisse dire que j’ai été bénéfique.”
Arkunir s’est associé à l’Établissement français du sang dans le cadre d’une collecte de sang visant des résultats records. Ainsi, du 28 novembre au 1er décembre 2024 à l’Hôtel de Ville de Paris, ils espèrent inciter 4 000 individus à participer. “J’ai remarqué qu’associés à des évènements comme le Z Event, on privilégie souvent les dons sur les réseaux sociaux, en négligeant des actions concrètes comme le don de sang.” Arkunir observe que les campagnes de don de sang classiques n’atteignent pas toujours les jeunes et souhaite remédier à cette problématique.
L’interview d’Edith Heard et d’Arkunir peut être visionnée en replay sur myCANAL.
Arkunir et Edith Heard sont les invités de Clique, ce soir à 23H sur CANAL+. @Arkunir dévoile le lancement de sa collecte de don du sang aux objectifs records. De son côté, la généticienne médaillée d’or du CNRS discutera de ses travaux en épigénétique. pic.twitter.com/gZK4kpn3YQ
— CLIQUE (@cliquetv) November 18, 2024
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L’agence dédiée à la protection des nouvelles innovations a interdit presque tout usage interne des outils GenAI, bien que les employés puissent encore participer à des expériences contrôlées.
Alors que tout s’enflamme, agissons sans tarder ! Tel est le propos de nos invité·es du jour.
Climatologues, experts des écosystèmes et planétologues, ils et elles relatent chaque jour l’intensification de la crise climatique. Cependant, ils et elles affirment également qu’une issue favorable est possible, à condition de tout transformer, dès à présent.
Depuis plusieurs années, des scientifiques spécialisés en écologie et climat s’impliquent dans les luttes pour le climat. Dans un ouvrage récemment publié, Sortir des labos pour défendre le vivant (Seuil), ces « scientifiques en révolte » soulignent l’urgence d’agir ainsi que la nécessité de la désobéissance civile pour bâtir un monde plus habitable et éviter le réchauffement climatique et ses conséquences. Plusieurs d’entre eux sont présents en tant qu’invité·es de « À l’air libre ».
Une émission préparée et animée par Mathieu Magnaudeix et Mickaël Correia, journaliste au pôle écologie de Mediapart.
Avec :
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Les astronomes se sont précipités pour collecter autant de données que possible sur le mini-lune temporaire de la Terre avant qu’elle ne parte. Ils ont découvert qu’elle pourrait avoir une origine lunaire.
Les scientifiques ont trouvé des preuves que pendant la Terre boule de neige, d’épaisses couches de glace recouvraient certaines régions tropicales, suggérant que des glaciers recouvraient la surface de la Terre.
Les critiques technologiques sont plus sophistiqués que jamais. Ils ont toujours tort.
« Répondre aux besoins présents sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs » : telle était la définition de la durabilité donnée par les Nations unies en 1987. En ce qui concerne la pêche, il est clair que le système de gestion actuel échoue à relever ce défi.
Au contraire, l’IPBES, la plateforme scientifique intergouvernementale sur la biodiversité, identifie cette gestion comme la première cause de dégradation des océans. De 1974 à 2021, la proportion de stocks de poissons exploitée selon des pratiques durables a chuté de 90 % à 62 % au niveau mondial.
De plus, « de nombreux produits de la mer présentés comme durables ne le sont pas », avertissent les auteurs d’un article récent appelant à une redéfinition de la pêche durable. Paru dans une revue de Nature, ce texte est le résultat de deux ans de recherches menées par un groupe d’une trentaine de scientifiques.
Sous l’égide de l’association Bloom, ces chercheurs, experts en sciences halieutiques, écologie marine, biodiversité ou économie marine, ont été réunis lors de plusieurs ateliers ayant conduit à cette publication, dirigée par Callum Roberts, professeur de conservation marine à l’université d’Exeter.
« Le modèle actuel de “pêche durable” employé par les gouvernements et les acteurs privés depuis l’après-guerre est désormais obsolète sur le plan scientifique », déclare-t-il.
Les chercheurs analysent ainsi les limites du concept de rendement maximal durable, également appelé RMD. Ce paramètre est défini comme la quantité maximale théorique qu’il est possible de prélever d’un stock de poissons sans entraver son renouvellement. La gestion au RMD vise donc à établir des taux de capture permettant une exploitation soutenable des ressources. Depuis 2013, l’Union européenne en fait un objectif central de sa politique de pêche commune.
Cependant, le RMD repose sur une « approche monospécifique », ignorant les effets de la pêche sur les habitats marins, les interactions inter-espèces et les contributions écologiques de ces espèces. Par exemple, la pêche intensive de poissons « fourrages », tels que les anchois, affecte l’ensemble des niveaux trophiques supérieurs.
Le RMD néglige aussi la question des prises accessoires, c’est-à-dire les espèces capturées de manière accidentelle, favorisées par certaines méthodes de pêche.
De plus, alors que le RMD est fréquemment présenté comme un but à atteindre pour optimiser la productivité de la pêche, les chercheurs insistent sur l’importance de considérer l’incertitude provoquée par la dégradation de la biodiversité et le changement climatique, en fixant des taux d’exploitation plus prudents.
Les auteurs suggèrent un ensemble de onze mesures pour parvenir à une gestion véritablement durable des ressources, articulées autour de deux principes fondamentaux : « Pour chaque poisson pêché, il convient de minimiser l’impact écologique et de maximiser les bénéfices sociaux.&em> »
Les chercheurs recommandent surtout d’interdire les engins et techniques de pêche responsables de fortes quantités de prises accessoires ou de destruction des habitats marins, comme le chalutage de fond – dont l’interdiction envisagée dans certaines zones rencontre déjà une vive opposition en Europe. Ils préconisent également de limiter la taille des navires et d’interdire la pêche dans les zones les plus vulnérables, comme les grands fonds.
Leurs recommandations touchent également les dimensions humaines et sociales de la pêche. « Pour tirer le meilleur parti de la richesse de la vie marine, les poissons devraient être réservés à une consommation humaine directe, localement, via des circuits courts », précisent-ils.
Ils soulignent la nécessité de réformer les systèmes de gestion de la pêche pour assurer une distribution équitable et transparente des bénéfices et respecter le droit à la sécurité alimentaire des petits pêcheurs et des communautés autochtones.
« La question est de savoir si les bénéfices économiques de la pêche doivent être accaparés par quelques grands armateurs ou partagés de manière équitable à l’ensemble de la société grâce à une petite pêche côtière, avec des emplois en amont et en aval… », résume Didier Gascuel, professeur en écologie marine à l’Institut agro de Rennes-Angers et co-auteur de l’article.
Les signataires insistent sur l’importance de poursuivre les recherches afin d’adapter leurs propositions aux contextes locaux, tout en rappelant que de nombreuses initiatives similaires sont déjà mises en place ici et là.
Par exemple, au Canada, la pêche au homard à casier est proscrite dans les zones d’alimentation des baleines protégées lorsqu’elles y sont présentes. En Namibie, les prises accessoires des pêcheurs leur sont facturées. En Indonésie, des avancées dans la lutte contre la pêche destructrice s’appuient sur la mobilisation des communautés locales.
Ces exemples pourraient inspirer de nouvelles orientations dans les politiques de gestion des pêches, alors que la France accueillera en juin la troisième conférence des Nations unies sur les océans.
La NASA collabore avec Microsoft pour développer un chatbot basé sur l’IA afin de simplifier l’accès et la compréhension des données scientifiques concernant la Terre. Cet outil, nommé Earth Copilot, sera en mesure de répondre à des interrogations sur notre planète en résumant la vaste gamme d’informations géospatiales fournies par la NASA en réponses facilement compréhensibles. Pour mettre en place cet outil, la NASA intègre l’intelligence artificielle dans son dépôt de données, permettant à Earth Copilot de se référer à ces données lors de la réponse à des questions comme « Quel était l’impact de l’ouragan Ian sur l’île de Sanibel ? » ou « De quelle manière la pandémie de COVID-19 a-t-elle influencé la qualité de l’air aux États-Unis ? » La NASA a pour objectif de « démocratiser » l’accès aux données scientifiques grâce au lancement d’Earth Copilot, car accéder et comprendre les renseignements contenus dans la base de données de la NASA est actuellement plus complexe pour les individus qui ne sont ni chercheurs ni scientifiques. « Pour de nombreuses personnes, localiser et extraire des renseignements implique de parcourir des interfaces techniques, de saisir des formats de données et de comprendre les subtilités de l’analyse géospatiale – des compétences pointues que peu d’utilisateurs non spécialisés possèdent », a déclaré Tyler Bryson, vice-président des secteurs publics et de la santé chez Microsoft, dans le communiqué. « L’IA pourrait optimiser ce processus, réduisant la durée nécessaire pour obtenir des informations à partir des données terrestres à quelques secondes. Actuellement, Earth Copilot n’est accessible qu’aux scientifiques et aux chercheurs de la NASA, qui vont évaluer les capacités de cet outil. Ils examineront par la suite son intégration dans la plateforme d’analyse, de visualisation et d’exploration de données (VEDA) de la NASA, qui permet déjà d’accéder à certaines données de l’agence.
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