“Wicked” et “Gladiator II” offrent des affrontements nostalgiques et à moitié satisfaisants
Avec un retour musical à Oz et une épopée sanglante de la Rome antique, les studios hollywoodiens parient sur le spectacle à gros budget.
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De la tendance du “gaming confortable” à une nouvelle génération de compagnons IA, nos appareils essaient de nous envelopper dans un cocon numérique et physique.
D’autres démocraties occidentales ont été troublées par l’utilisation de logiciels espions pour cibler des opposants politiques, des militants, des journalistes et d’autres groupes vulnérables. Cela pourrait-il se produire ici ?
Dans sa quête incessante d’économies, le gouvernement Barnier – suivant les traces de son prédécesseur – s’attaque aux arrêts maladie. En d’autres termes, à « l’absentéisme » au sein des entreprises et des administrations, pour reprendre le jargon des ministres.
Les sommes reversées par l’Etat au titre des indemnités journalières (IJ) perçues par les personnes absentes pour des motifs de santé ont atteint 15,8 milliards d’euros en 2023. Ce qui représente une hausse de 5,4 milliards d’euros par rapport à 2015.
C’est bien trop pour le gouvernement, qui refuse d’admettre les facteurs structurels derrière l’augmentation des arrêts maladie et le coût associé pour les finances publiques. La liste est cependant longue : le vieillissement de la population, la dégradation des conditions de travail et l’allongement de la durée de travail entraînent des arrêts, mais l’augmentation du Smic, qui sert de base au calcul des indemnités journalières, ainsi que l’intégration des travailleurs indépendants et des professions libérales au régime général contribuent également à alourdir la note.
Une étude de la Dares met d’ailleurs en avant l’un de ces éléments. Elle souligne le lien entre une exposition accrue aux risques physiques et psychosociaux (RPS) et les absences pour maladie. Entre 2013 et 2016, le nombre de jours d’arrêt maladie pour une personne soumise à toujours plus de RPS a par exemple triplé.
Mais pour l’exécutif, l’augmentation des arrêts maladie est forcément due à des abus. Du moins en grande partie.
C’est pourquoi pour mettre un terme à cette « dérive », exprimée par Guillaume Kasbarian, le ministre de la Fonction publique, plusieurs options sont envisagées dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), débattu cette semaine au Parlement. Et il n’est pas question de faire de jaloux, les propositions de l’exécutif concernent aussi bien les agents du secteur public que les employés du privé.
La première mesure défendue par le gouvernement consiste à étendre le délai de carence en cas d’arrêt maladie des fonctionnaires à trois jours, contre un seul jour actuellement. Comme nous l’évoquions déjà dans cet article, cet allongement repose sur une comparaison entre le public et le privé qui ne prend pas en compte les spécificités des fonctionnaires, qui comptent plus de femmes et de seniors et qui sont davantage exposés aux métiers difficiles. A caractéristiques équivalentes, cet écart entre le taux d’absentéisme du privé et celui du public se réduit quasiment à néant.
Malheureusement pour le gouvernement, le rapport sur la fonction publique, publié la semaine dernière, révèle que le nombre d’absences pour raison de santé en 2023 chez les agents… est en baisse (12 jours en moyenne en 2023, contre 14,5 en 2022).
Cependant, ces résultats ne ralentissent pas l’exécutif, qui souhaite mener son projet à terme. Même si cette mesure pourrait se révéler contre-productive et coûter plus cher à la Sécurité sociale. Les recherches menées par divers experts (comme nous l’expliquions ici) montrent que l’ajout de jours de carence peut certes réduire le nombre d’arrêts de courte durée, mais accroître ceux de longue durée. Ces derniers étant les plus coûteux pour l’assurance maladie.
« De plus, une telle mesure pourrait encourager le présentéisme, soit le fait de travailler tout en étant malade, met en garde Thomas Coutrot, économiste du travail. Cela aurait des effets négatifs sur la santé à long terme. »
Du côté du secteur public, le gouvernement ne prévoit pas de s’arrêter là. Guillaume Kasbarian a également annoncé son intention de diminuer la rémunération versée aux agents en cas d’arrêt de travail : « Aujourd’hui, dans le public, cela est pris en charge à 100 %. Cela passera à 90 %. »
Comme pour le délai de carence, établi à trois jours dans le secteur privé, le ministre justifie son assertion en comparant les règles du secteur public à celles du secteur privé, plaidant pour un alignement. Toutefois, il omet certains détails : près de 70 % des salariés du privé ont accès à un accord de branche ou d’entreprise qui maintient leur salaire à 100 % dès le premier jour d’arrêt maladie.
Ces deux mesures entraîneraient également une perte de pouvoir d’achat significative pour les agents publics. En tenant compte de l’augmentation du nombre de jours de carence et de la réduction à 90 % du taux de remplacement, le think tank Sens public a calculé qu’un arrêt maladie de 5 jours, par exemple pour une grippe, engendrerait une perte de 215 euros (pour un agent de catégorie C) et de 320 euros (pour un agent de catégorie A).
Ces deux changements affecteraient en particulier les femmes, qui représentent 63 % des effectifs de la fonction publique, ainsi que les seniors, 36 % étant âgés de plus de 50 ans. De plus, cela réduirait l’attractivité de la fonction publique, déjà compromise ces dernières années.
Pourtant, le gouvernement espère économiser 1,2 milliard d’euros (289 millions d’euros pour les jours de carence et 900 millions pour la diminution de la prise en charge). Cette décision est inacceptable pour les syndicats (CGT, CFDT, Unsa, FSU, Solidaires, CFE-CGC, FA-FP), qui ont appelé à une grève le 5 décembre.
Les employés du privé peuvent se « rassurer », le gouvernement Barnier ne les oublie pas. Dans sa lutte contre les arrêts maladie, l’exécutif a annoncé vouloir réduire le plafond des indemnités journalières. Ce dernier devrait passer de 1,8 Smic (3 180 euros bruts mensuels) à 1,4 Smic (2 473 euros bruts mensuels) en 2025.
Pour rappel, actuellement, la Sécu couvre 50 % de la rémunération d’un individu arrêté pour des raisons de santé, dans la limite de 1,8 fois le Smic mensuel. Son employeur complète alors pour un maintien de salaire d’au moins 90 %. Souvent, la prise en charge est même plus élevée, grâce à des accords internes ou des conventions collectives.
Cependant, réduire le plafond des IJ versées par la Sécu pénalisera ceux qui ne bénéficient pas de cette couverture.
« Cette mesure pourrait donc exacerber les inégalités, reprend Thomas Coutrot. Les personnes avec une santé plus fragile et celles travaillant dans des conditions plus difficiles seraient les plus affectées. »
Ce point est également dénoncé par la CGT, qui détaille dans un communiqué :
« Une telle réforme affectera de manière significative les salarié·es des TPE-PME qui ne sont que très rarement protégés par des accords, de même que les salarié·es de particuliers employeurs tels que les aides à domicile et les assistantes maternelles, certains intérimaires, les intermittents ou encore les demandeurs d’emploi. »
Cependant, cette proposition ferait principalement économiser 600 millions d’euros à la branche maladie. Mais ce qui est le plus choquant, selon Thomas Coutrot :
« C’est que toutes ces initiatives sont une façon de refuser d’aborder les conditions de travail et de s’attaquer aux véritables causes des arrêts maladie. On impose aux individus ce qui relève de la responsabilité des dirigeants tout en restant à la surface des choses. C’est un peu comme administrer de l’aspirine à un patient atteint d’un cancer. »
Des influenceurs générés par l’IA à partir d’images volées de créateurs de contenu pour adultes de la vie réelle inondent les réseaux sociaux.
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Il ne reste que quelques jours avant le Black Friday et il est temps de dénicher des offres intéressantes sur internet. Cela va sans aucun doute accroître les risques de cyberattaques, car les fraudeurs vont tirer parti de cet événement pour piéger les acheteurs les plus naïfs. D’autant plus en cette époque où l’IA offre aux délinquants de nombreuses opportunités pour réussir leurs plans. Mais pas de panique, je vais partager quelques conseils pour vous prémunir contre les attaques liées à l’IA avant, pendant et après le Black Friday.
Si ce n’est pas déjà fait, sachez que l’ANSSI ou l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information nous a alertés sur la complexité des tactiques utilisées par les cybercriminels.
En d’autres termes, grâce à l’intelligence artificielle, le nombre de sites frauduleux et de publicités nuisibles va exploser.
Étant donné que notre article se concentre sur le Black Friday qui se déroulera le 29 novembre prochain, il est crucial de vous informer sur les nouvelles escroqueries alimentées par l’IA en lien avec cet événement.
En plus de générer des images et des vidéos, l’IA permet également de concevoir divers types d’escroqueries en ligne.
Ainsi, en premier lieu, les cybercriminels créeront, comme mentionné plus haut, de faux sites web qui ressemblent parfaitement à de véritables boutiques en ligne.
Vous pourriez également recevoir des courriels de phishing ou des offres promotionnelles très convaincantes, qui, dans la plupart des cas, semblent trop belles pour être vraies.
Dans d’autres situations, les escrocs pourraient développer des applications de shopping imitant parfaitement celles des détaillants les plus connus.
À cela s’ajoutent les faux chatbots IA de service client dont le seul but est de dérober des informations personnelles sensibles, notamment vos mots de passe, votre numéro de carte bancaire, etc.
Cependant, ce n’est là qu’une liste non exhaustive des diverses formes d’escroqueries alimentées par l’IA que vous pourriez rencontrer durant le Black Friday.
Il est essentiel de rester vigilant à l’approche d’un événement comme le Black Friday. Les arnaqueurs trouveront toujours des opportunités pour faire preuve de créativité dans leurs tentatives d’escroqueries basées sur l’IA.
Pour éviter de vous faire avoir, privilégiez les sites sécurisés identifiables par leur URL en « https ».
Je vous conseille aussi de privilégier les paiements via des solutions numériques comme les portefeuilles électroniques, tout en maintenant une vigilance constante sur vos relevés bancaires, qui sont parmi les réflexes essentiels.
Rappelez-vous que les consommateurs avertis savent très bien qu’une offre exceptionnellement intéressante doit éveiller leur méfiance plutôt que leur enthousiasme.
Remember the #TakeFive advice to avoid purchase fraud:
⚠️Watch out for too good to be true offers/prices
⚠️Use the secure payment method recommended by reputable online retailers and auction sites
⚠️Do plenty of your own research#BlackFriday #StopChallengeProtect✋☝️👊 pic.twitter.com/5tkfenknOu— Regional Organised Crime Unit (West Midlands) (@ROCUWM) November 18, 2024
La sécurité en ligne durant le Black Friday repose ainsi sur une gestion minutieuse de vos accès numériques.
L’utilisation de mots de passe solides et uniques pour chaque compte, associée à un suivi régulier de vos transactions, peut par exemple réduire de manière significative les dangers liés au vol d’identité et à la fraude.
Face à l’augmentation des attaques en cette période festive, la prudence demeure le meilleur moyen de défense contre les cybercriminels.
Autrement, vous pouvez également activer l’authentification à deux facteurs (2FA) pour ajouter une couche de protection supplémentaire à tous vos comptes.
Le Black Friday est une occasion en or pour faire de bonnes affaires, mais cela nécessite une attention particulière pour éviter les pièges.
Il est donc crucial de rester attentif aux offres qui semblent trop alléchantes. En outre, sachez que les vendeurs fiables n’usent jamais de pressions ni de méthodes de paiement douteuses.
Votre intuition pourra néanmoins vous aider à identifier les situations suspectes.
Dans un environnement où l’intelligence artificielle perfectionne les stratagèmes d’escroquerie, la meilleure défense passe par une approche organisée lors de vos achats.
Commencez par définir un budget clair et identifiez précisément vos besoins avant de faire vos emplettes. Orientez vos recherches vers les enseignes fiables qui ont déjà prouvé leur valeur.
Souvenez-vous qu’il est toujours préférable de laisser passer une offre que de céder à une proposition frauduleuse.
Et voilà ! Il est tout à fait possible d’économiser en toute sécurité même face aux escroqueries liées à l’IA.
Gisèle Pelicot a renoncé à son anonymat pour mettre le viol facilité par des drogues sous les projecteurs, et ses expériences de violence sexuelle ont choqué le monde. Que savons-nous d’autre sur ce crime des plus cachés ?Magistrate et cadre des ressources humaines dans la cinquantaine avancée, stable, célibataire, sans fréquentations ni activité sexuelle, Jo sentait que son risque de devenir victime de viol était passé, ou était certainement faible – et que le viol facilité par des drogues, en particulier, était quelque chose qui arrivait aux jeunes, dans les clubs, lors de fêtes, « sur les applis ». Lorsqu’il lui est arrivé il y a deux ans, c’est son fils adulte qui a dû en faire le sens, et expliquer pourquoi elle s’était réveillée nue à côté d’un homme pour lequel elle n’avait aucun sentiment, du sang sur le lit, une douleur entre les jambes, sa mémoire de cette nuit étant un espace vide.Son violeur était quelqu’un qu’elle connaissait depuis le secondaire, un ancien camarade de classe qu’elle n’avait pas vu depuis leur dernier A-level, jusqu’à cette semaine de novembre 2022. À un moment donné, il avait émigré et s’était ensuite reconnecté avec Jo (ce n’est pas son vrai nom) via Friends Reunited. Ils échangeaient des messages une fois par an autour de leurs anniversaires, qui sont proches l’un de l’autre. C’était le seul contact qu’ils avaient jusqu’à ce qu’il prenne contact pour dire qu’il était de retour pour rendre visite à sa famille, et que dirait-elle d’un café ? Continue reading…
Le ciblage des sous-stations connectées à trois centrales nucléaires en fonctionnement risque une catastrophe nucléaire en Europe, déclare GreenpeaceLe réseau électrique de l’Ukraine est à un “risque accru d’échec catastrophique” après l’attaque par missile et drone de la Russie dimanche, a averti Greenpeace, soulevant des craintes quant à la sécurité des trois centrales nucléaires opérationnelles du pays.Les frappes de Moscou visaient des sous-stations électriques “critiques pour le fonctionnement des centrales nucléaires de l’Ukraine” et il existe une possibilité que les réacteurs perdent leur alimentation et deviennent dangereux, selon une note d’information préparée pour le Guardian. Continue reading…
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